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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 08:24

Sidi-Ghilès (Tipasa) - Le siège de la mairie brûlé par un groupe de citoyens

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La grogne et le tumulte ont commencé avant-hier. A Sidi Ghilès, chacun s'imaginait que ce n'était qu'un chahut de gamins dans cette ville de 15 000 habitants. L'origine de la contestation fut un immense hangar commercial que certains convoitaient, du fait de son positionnement idéal bordant la Route Nationale N°11.

Mais ce fut l'intérêt public qui a prédominé. Les responsables de la commune et de la daïra ont opté pour l'impérieuse nécessité d'affecter cet hangar à la CNAS en vue d'y ériger une antenne. «Dès que les aménagements commencèrent, un habitant de la ville, dont le kiosque a été érigé juste à l'entrée de cet hangar, n'a pas accepté d'être délogé de ce kiosque précaire, argumentant qu'il lui revenait de droit de bénéficier de ce local aux lieu et place de la CNAS», nous a précisé le chef de la daïra de Cherchell. «N'ayant pas obtenu gain de cause par la grogne et le tumulte, cette personne, qui a des antécédents judiciaires ainsi qu'une dizaine de jeunes, se sont dirigés vers le siège de la commune de Sidi Ghilès, munis de bidons d'essence et de massues et hurlant des slogans hostiles et incendiaires à l'encontre du président de l'APC. Malgré l'intervention des services de sécurité pour calmer les esprits des contestataires, l'un s’est introduit dans les bureaux de la commune et aspergé d'essence plusieurs documents, chaises, bureaux et bibliothèques», a ajouté le chef de la daïra de Cherchell. Plusieurs témoins oculaires, présents sur les lieux du drame, nous ont informé que le feu s'est propagé aux salles mitoyennes à une vitesse foudroyante. En à peine quelques minutes, l'ensemble de la bâtisse s’est transformé en un brasier. Ces témoins ont relaté que malgré l'intervention des éléments de la Protection civile et des services de sécurité, le feu a consumé plusieurs bureaux. Selon le chef de la daïra, «le principal assaillant et la dizaine de jeunes qui lui ont prêté main forte ont été arrêtés». Les responsables de la police nous ont informé qu'à la suite de cette opération, plusieurs jeunes arrêtés ont été remis en liberté. Mais le principal assaillant a été placé en garde à vue. Toutefois, il convient de rappeler que la petite commune de Sidi Ghilès, située à quelques kilomètres au sud-ouest de Cherchell et à 100 kilomètres d'Alger, est auparavant sortie de son anonymat à la suite de plusieurs épisodes similaires. Cette ville avait, dans le passé, connu plusieurs autres manifestations de ce type, comme lors de la distribution de logements en 2009, où des édifices publics ont été mis à mal et qui avait vu le départ du l'ancien maire de la ville. Dans cette même ville, les habitants de l’agglomération semi-urbaine appelée Hai-Hamdani nous ont rappelé le problème vécu, lors des années précédentes où des habitants de cette cité, au nombre de 30, qui occupaient illégalement une grande parcelle en friche, depuis les années soixante-dix, ont été sommés d’évacuer les lieux. Ces habitants nous ont fait savoir qu'ils rejetaient cette décision. Ils estiment que les occupants ne gênaient personne, du fait qu’ils étaient sur une terre domaniale à l’abandon. Mais dès que l'Etat avait voulu récupérer cette parcelle de terre en vue d'y ériger une structure sociale d'accompagnement, le problème a revêtu un aspect ayant entraîné des troubles.

Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 07:44

Le ministre de l’enseignement supérieur à Tipasa - Les projets universitaires visités

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Rachid Harraoubia, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a procédé, samedi, à une visite de travail et d'inspection des projets universitaires de Koléa et de Tipasa.

Le pôle universitaire de Tipasa comprendra 4 000 places pédagogiques, qui seront livrées en deux tranches à la fin de cette année, soit 2 000 places au mois de septembre, le reste en octobre prochain. Il disposera d'un institut des sciences de la nature (1 000 places pédagogiques), d'un institut de lettres et de langues (1 500 places) et d'un institut d'histoire et d'archéologie (1 500 places). Le ministre a insisté auprès de l'entreprise de construction chinoise pour qu’elle respecte les délais de livraison prévue la prochaine rentrée. Dans le cadre de son périple, Rachid Harroubia s'est déplacé à Koléa pour visiter les chantiers du pôle universitaire, situé à l’extrémité est de la ville, et qui se trouve intégré dans un plan d’occupation du sol (POS) de 200 ha. Il comprend l’Ecole supérieure de commerce, qui remplacera celle située actuellement à la rue de Béziers à Alger, l’Ecole supérieure de management, l’Institut national du commerce, l’Institut national de planification et des statistiques, transfuge de l’établissement de Ben-Aknoun. A cet ensemble universitaire de plus de 11 000 places pédagogiques, s’ajoutera l’Ecole nationale des sports, qui jouxtera l’actuel stade semi olympique de Koléa. Au sein de ce pôle universitaire seront intégrées des résidences universitaires de 5 500 lits dont 500 lits pour l’Ecole supérieure de commerce, 1 500 lits pour l’Institut national de commerce, 1 000 lits pour l’Ecole supérieure de management et 1 500 lits pour l’Institut national de planification.

Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 16:45

Tipasa - Le chemin reliant Khemisti à Attatba : A refaire

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Autant les paysages sont beaux et invitent au farniente à Tipasa, autant certaines routes sont carrément délabrées et méritent une réfection et un entretien permanent comme c’est le cas de la route reliant Khemisti à Attatba.

Pendant la saison du printemps, ou plutôt lorsqu’il fait beau, la RN 11, axe important du littoral reliant la partie Est à celle de l’Ouest de la wilaya de Tipasa, est fréquemment empruntée par des centaines de véhicules. Durant les week-ends, dans la matinée et en fin d’après-midi, des embouteillages se forment au point où la circulation devient quasiment impossible.

Le phénomène prend plus d’ampleur, à telle enseigne que de longues files de véhicules se forment au niveau des villes côtières de la wilaya, notamment Aïn Tagourait, Bouharoun et Khemisti. Alors, afin d’éviter les «bouchons», nombre d’usagers en partance vers le chef-lieu de wilaya ou d’autres agglomérations voisines, se rabattent sur les chemins de wilayas, particulièrement celui permettant la jonction entre la RN 11 et la RN 67, soit le tronçon reliant Khemisti à Attatba.

Seulement cette option ne s’avère plus avantageuse, et pour cause, la route est entrecoupée, pour ainsi dire, dans différents endroits, par des «champs de cratères». «Sincèrement, j’ai failli y laisser la suspension de mon véhicule. Je roulais à 60 km/h lorsque je me suis retrouvé à la sortie d’un virage face à d’énormes trous défigurant la chaussée. J’ai réussi, par réflexe à éviter le premier, mais pour les autres c’était impossible.

Je me demande comment les usagers de la route empruntent ce tronçon en hiver ?», se demande Sid Ali de Tipasa. Et d’ajouter : « et pourtant, tout est agréable ici pour faire de ce trajet une véritable escapade, tant les paysages environnants sont merveilleux».

En effet, le chemin de wilaya en question laisse découvrir aux visiteurs d’immenses étendues vertes qui servent de pâturages aux troupeaux de bovins et d’ovins. Ce joli spectacle vaut vraiment le détour, selon M’hamed, un habitant d’El Quendouri, un petit village dépendant administrativement d’Attatba. «C’est bien simple, lorsqu’on voit les vaches investir  ces vastes champs, pour nous les habitants d’Attatba, il n’y a plus de doute, le printemps est aux portes», lance-t-il avec une certaine fierté.

Seulement,  la seule ombre noire au tableau est, selon lui, l’état déplorable de la route. «Si ceux qui sont uniquement de passage pestent sur son état, que dire alors de nous, qui habitons  la région» ? s’interroge un autre citoyen de la localité.

Et de poursuivre : «dans l’ensemble, ce chemin de wilaya est praticable et il estmême en bon état, cependant, il comporte des tronçons qui dissuadent le plus téméraire des automobilistes à s’y aventurer». En somme, ce n’est pas toute la route qui est donc à refaire, mais juste quelques endroits de la chaussée  lesquels, selon notre interlocuteur «n’ont  que le nom de route».

«A vrai dire, cela ne nécessite pas beaucoup de moyens pour rendre ce chemin profitable à nouveau. Ainsi, on demande seulement, à ce que les services concernés  se chargent du problème afin d’éviter les désagréables surprises à ses usagers», souhaite- t-il

Source Horizons Amirouche Lebbal

Le Pèlerin

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 09:00

Tipasa - Retard dans l'aménagement du port de pêche et de plaisance

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Situé au cœur du port actuel de Tipasa, le projet d’aménagement du port de pêche et de plaisance est, selon ses concepteurs, destiné à promouvoir l'activité touristique et la pêche côtière. Rappelons que les travaux avaient démarré le 26 septembre 2006 pour être finalisés en décembre 2008.

Or, près de trois années après la date de réception prévue, ce projet est encore à la traîne. Doté d’une enveloppe de 155 milliards de centimes à l’origine, il continue à engloutir les sommes destinées à la révision du montant initial. Le port comprend deux bassins. L’un destiné à la plaisance, l'autre réservé à la pêche. Les caractéristiques du port de plaisance portent sur la réalisation d'une jetée principale de 235 mètres linéaires. Les ouvrages d'accotement, qui, à l’origine, étaient de 70 m, seront portés à 185 m. La surface du plan d'eau, à l’origine de 1000 m2, sera portée à 16 500 m2, tandis que la surface du terre-plein sera de 12 000 m2. La capacité d'accueil de ce port de plaisance est de 70 bateaux, yachts et autres canoës. Quant au port de pêche, sa jetée secondaire sera portée à 145 m. L'ouvrage d'accostage aura une longueur de 228 m. La surface du plan d'eau est estimée à 5 800 m2, tandis que la superficie du terre-plein sera de 6 000 m2. La capacité d'accostage prévue est de 20 unités de pêche (sardiniers, chalutiers, palangriers et petits métiers). La production halieutique passera à 400 t de poisson par an, elle est de 40 t actuellement.

Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 09:48

Plus de sensibilisation que de ventes

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Tomber de rideau, hier, de la 14e édition du Salon de l’automobile d’Alger. Les visiteurs et les concessionnaires exposants ont exprimé leurs satisfaction du point de vue organisation et produits exposés. L’édition a permis aux visiteurs de découvrir les nouveautés des quelque 40 concessionnaires installés en Algérie.

Du coup, ces derniers ont profité de l’événement pour sensibiliser et lutter contre les fléaux du commerce des pièces de rechange contrefaites, l’une des principales causes des accidents de la route en Algérie.

Pour la journée d’hier, pas d’encombrement à l’entrée de la Safex, où habituellement, la file d’attente des automobilistes arrive jusqu’à la route de Mohammadia, jouxtant la Foire d’Alger. Au niveau des stands, la musique, les lumières et les hôtesses à l’accueil donnent l’impression d’un jour de fête.

Par contre, du côté des ventes, les petits rayons aménagés en espaces commerciaux n’affichent pas complets. Les familles et les groupes de jeunes qui s’y rendent s’adonnent plutôt à des séances photos souvenirs et certains d’entre eux profitent de l’immensité du site pour passer une journée de détente avec leurs enfants ou leurs copains, surtout qu’un parc d’attraction est tout prêt du lieu de l’exposition. Côté affaires, les concessionnaires déclarent qu’ils n’ont pas enregistré de bénéfices comme en 2009. « La suppression du crédit à la consommation continue de nous poser réellement problème », nous indique le représentant de Kia. Par contre, le représentant de Renault indique que « les points de vente, à travers du territoire national, ont connu une certaine animation ces jours-ci ».

Au stand des voitures allemandes, règne une autre atmosphère. Certains concessionnaires confirment qu’ils ont tout de même écoulé, pour la durée du Salon, une quarantaine d’unités pour ce qui est du représentant de la marque allemande Sovac. Car « pour ce qui est des voitures haut de gamme, les clients ne cherchent pas de crédit à la consommation », a indiqué le représentant de Sovac. Ce qui attire l’attention, c’est le stand de Peugeot qui s’est mis en vert. A l’occasion du match de l’équipe nationale contre le Maroc, es mannequins et les représentants de cette marque de voiture sont vêtus des couleurs de l’équipe nationale. Sur l’écran géant qui surplombe le stand, on peut voir les Fennecs en séances d’entraînement ainsi que des extraits du match historique face à l’Egypte disputé en 2009 au Soudan.

Source Horizons Abbas A.H.

Le Pèlerin

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 07:38

Tipasa : Les bureaux de poste ne désemplissent pas

algerie poste

 

A l’instar de bon nombre de wilayas, les centres payeurs postaux de Tipasa ne désemplissent pas et ce, à longueur de journée, des scènes devenues, selon les citoyens de la wilaya, quasiment banales.

Mieux encore, remarque ironiquement un habitant de Hadjout, «tant qu’il y a foule devant les guichets, je suis rassuré, car c’est un signe non trompeur de la disponibilité de  liquidités. Aussi pour moi les longues files sont des dommages collatéraux qu’on doit subir en attendant la mise en circulation des nouveaux billets de banque de 2000 DA»

Même si les propos de cet interlocuteur revêtent une note d’humour, il n’en demeure pas moins qu’ils traduisent on ne peut plus clair, le marasme dans lequel se débattent les milliers de salariés et autres retraités utilisateurs de compte CCP. A vrai dire, même les préposés aux guichets des centres payeurs postaux de la wilaya n’arrivent plus à canaliser la forte demande observée actuellement.

«Si par le passé on enregistrait des pics de demandes vers la fin du mois surtout au moment  des virements des salaires ou des pension, ces derniers temps c’est quasiment tous les jours qu’on doit faire face aux immenses chaînes qui se forment dès l’ouverture.

Malheureusement, ces jours-ci, à cause du manque de liquidités, les citoyens repartent bredouilles», affirme un agent de la poste du chef-lieu de wilaya. Il faut dire que les citoyens qui viennent retirer leur argent des bureaux de poste à Tipasa  ne sont pas tous issus de la wilaya. On y rencontre souvent des personnes qui se déplacent jusqu’ici depuis Aïn Deffla et Chlef. «Ce n’est pas du tout rare que des gens habitant d’autres wilayas viennent jusqu’ici pour toucher leur salaire. A la longue, leur nombre augmente de jour en jour», ajoutera à ce propos le même interlocuteur.

Comme pour confirmer les allégations de ce dernier, un citoyen a tenu à dire qu’il vient de Tissemssilt. «J’ai fait des kilomètres jusqu’à Tipasa non pas pour faire du tourisme mais juste pour pouvoir retirer mon argent», peste-t-il. «Les responsables de la recette principale à Tipasa ne lésinent sur aucun effort pour que les fonds soient disponibles, car on ne peut pas laisser notre clientèle sans ressources», dira un responsable du bureau de poste du chef-lieu.

Toutefois, les citoyens de Tipasa espèrent, avec la mise en circulation du nouveau billet de banque de 2000 DA, ne plus entendre parler de manque de liquidités.

«Il était temps que les autorités règlent définitivement ce problème qui n’a que trop duré. Je crois avec ce nouveau billet on subira moins de tracasseries», affirme Hamid, un jeune agronome de Hadjout. Pour Larbi, un retraité de Bou-Ismaïl, cette nouvelle mesure est une bouffée d’oxygène compte tenu de la situation actuelle.

«Je demande aux autorités de procéder le plus tôt possible à la mise en circulation de ce nouveau billet».

Source Horizons Amirouche Leball

Le Pèlerin

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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 08:20

Tipasa - Les familles des victimes du terrorisme menacent de marcher sur la capitale

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Lors d’une conférence de presse organisée récemment à la maison des jeunes de Tipasa, Ahmed Abaya, le secrétaire général de la coordination de wilaya des familles victimes du terrorisme interpelle les plus hautes autorités de l'Etat sur leur situation.

Dans le mémorandum que le secrétaire général a adressé au président de la République, il demande une intervention urgente et la prise en charge des problèmes de ces familles. Ahmed Abaya met en avant la précarité des veuves des victimes et des blessés du terrorisme. Il précise que la pension qui était de 8 000 DA par mois jusqu'en 2004 a été revalorisée à 16 000 DA. Il note aussi que ce montant reste insuffisant eu égard à la cherté de la vie. Il met en évidence les problèmes induits par la non-prise en charge sociale de ces personnes (retraite et assurances sociales). Le secrétaire général rappelle à l'assistance que l'ancien ministre de la Solidarité s'était engagé pour la construction de 100 logements par wilaya au profit des victimes du terrorisme. «C'est un projet mort-né», déclare-t-il, en ajoutant : «Les veuves et familles des victimes du terrorisme habitent actuellement des bidonvilles et des habitations précaires.» Il met à l'index les services de la wilaya dans la prise en charge des dossiers des familles. «Le règlement des pensions s'effectue sur la base de la date du dépôt du dossier et non celle initiale de la reconnaissance de victimes du terrorisme», clame le secrétaire général . Il insiste par ailleurs sur «la contribution de ces familles qui a permis l'adoption des textes de lois de la réconciliation et de la concorde nationales, particulièrement son article 47». C'est à ce titre qu'il revendique l'adoption d'une loi spécifique à la condition des familles victimes du terrorisme. Se faisant plus menaçant, Ahmed Abaya, tout en refusant de recourir à la rue et aux manifestations violentes, estime qu'«il est temps pour l'Etat de revoir les conditions de prise en charge de cette frange de la société, et à ce titre, un ultimatum de 40 jours est donné pour le règlement de ces problèmes, sinon, une marche vers la capitale pourrait avoir lieu à la fin du mois d'avril».

Source Le Soir d’ Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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24 mars 2011 4 24 /03 /mars /2011 09:13

Tipasa - 1 200 familles victimes du terrorisme menacent de marcher sur la capitale

wilaya-de-tipasa.jpg

 

Dans une conférence de presse organisée récemment au niveau de la maison de jeunes de Tipasa, Ahmed Abaya, secrétaire général de la coordination de wilaya des familles victimes du terrorisme, interpelle les plus hautes autorités de l'État sur la situation de cette frange de la population.
Dans un mémorandum adressé au président de la République, il demande une intervention urgente visant la prise en charge des problèmes que vivent ces familles. Dans sa déclaration, Ahmed Abaya met en avant la précarité sociale des veuves de victimes ainsi que celle des blessés du terrorisme. Il déclarera, en outre, que toute pension attribuée est aussitôt supprimée dès le décès de chaque victime du terrorisme, notamment pour les blessés et handicapés. Il ajoutera que la pension qui était de 8 000 DA par mois jusqu'en 2004 a été revalorisée à 16 000 DA à l’heure actuelle. Il fera remarquer, par ailleurs, que ce montant reste insuffisant par rapport au coût de la vie. Il mettra aussi en évidence le problème induit par la non-prise en charge sociale de ces personnes (retraite et assurances sociales). Le secrétaire général de la coordination de wilaya de Tipasa rappellera à l'assistance que l'ancien ministre de la Solidarité s'était engagé pour la construction de 100 logements par wilaya au bénéfice des victimes du terrorisme. «C'est un projet mort-né, dont on n'a plus entendu parler ensuite», déclarera-t-il, en ajoutant : «Les veuves et familles des victimes du terrorisme habitent actuellement des bidonvilles ou des habitats précaires.» Il mettra à l'index les services de la wilaya dans la prise en charge des dossiers de ces familles. «Le règlement des pensions s'effectue sur la base de la date du dépôt du dossier et non celle de la reconnaissance comme victime du terrorisme», clamera A. Abaya. Il insistera, par ailleurs, sur «la contribution de ces familles ayant permis l'adoption des textes de lois sur la réconciliation et la concorde nationale, particulièrement l’article 47». C'est à ce titre qu'il revendiquera l'adoption d'une loi spécifique à la condition des familles victimes du terrorisme. Se faisant plus menaçant, ce dernier, tout en refusant de recourir à la rue et aux manifestations violentes, estimera qu'il «est temps pour l'état de revoir radicalement les conditions de prise en charge de cette frange de la société, et à ce titre, un ultimatum de 40 jours est donné pour le règlement des problèmes soulevés. A défaut de quoi, une marche sur la capitale pourrait avoir lieu à la fin du mois d'avril 2011».
Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 09:03

Algérie - Tipasa - Les cadres de la direction de l’hydraulique en colère

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Un regroupement inhabituel des cadres et fonctionnaires de la direction de l'hydraulique a eu lieu lundi à proximité de la direction. Une feuille signée circulait au sein du groupe ayant pour objet : «la revendication d'un statut particulier des corps techniques du ministère des Ressources en eau».
Parmi le groupe contestataire, des cadres supérieurs de cette direction de wilaya, des ingénieurs d'Etat, des ingénieurs principaux des subdivisionnaires, ainsi que de hauts responsables. Plus de 50 fonctionnaires étaient là pour observer «une journée de protestation », comme nous l'a affirmé un cadre de cette direction. «Cette forme de revendication consiste en un arrêt de travail, jusqu'à ce que des suites soient données à un plus haut niveau», ajoute ce cadre. Selon ces contestataires, «ces revendications et manifestations consistent à attirer l'attention du ministre des Ressources en eau sur la précarité de notre statut toujours régi par les dispositions du décret exécutif n°91/225 du 14 juillet 1991, portant statut particulier des travailleurs appartenant aux corps techniques du ministère de l'Equipement et du Logement». Ils s'insurgent contre le fait que 20 années après la promulgation de ce décret, régissant un autre type d'organisation, ils continuent pour certains en leur qualité de fonctionnaires cadres supérieurs d'être classés selon une grille des salaires révolue, comparativement aux autres secteurs ministériels, en leur qualité de fonctionnaires d’Etat. Ces contestataires affirment que «les primes et indemnités pour les cotisations de retraite restent immuables à notre détriment, tandis que la situation salariale et le pouvoir d'achat sont autres et radicalement différents de ceux de 1991, date de promulgation du décret précité ». A ce titre, ils demandent les revalorisations salariales et indemnitaires de l'ensemble des postes du secteur de l'hydraulique ainsi que ceux des postes supérieurs (subdivisionnaires, ingénieurs principaux, etc.) en tenant compte de certains facteurs à l'instar de la responsabilité et de la gestion des programmes publics. Il est demandé en outre la révision de l'actuelle grille des salaires avec son lot de primes et indemnités, et partant, la notification des rappels, en application des dispositions relatives aux corps techniques. Mieux, ces cadres exigent un éclaircissement des prérogatives, attributions, tâches et missions imparties à la fonction de subdivisionnaire. Ils demandent en outre la titularisation des fonctionnaires contractuels dans le corps technique. A la question de savoir quelle sera la réaction de ces fonctionnaires dans le cas de la non-satisfaction de leurs revendications, ces cadres déclarent que «le mouvement a une envergure et une ampleur nationales. Toutes les wilayas sont concernées. A défaut, nous maintiendrons notre contestation».
Plusieurs véhicules saccagés à Kerkouba
Un individu a été aperçu par une patrouille de police de Koléa au niveau de l'agglomération urbaine de Kerkouba, en train de s'acharner sur les vitres d'un véhicule en stationnement. Poursuivi, le malfaiteur fut vite rattrapé et arrêté en possession de diverses pièces de véhicules et d'outils. Agé de 26 ans et demeurant à Fouka, il aurait des antécédents judiciaires. Il convient de préciser que c'est après le recoupement avec les plaintes pour casse et vols de véhicules de plusieurs victimes que la police judiciaire de la daïra de Koléa avait pris en charge ce dossier. Les enquêteurs de la police judiciaire, après perquisition au domicile du mis en cause, ont retrouvé diverses pièces de véhicules. Les victimes ont identifié les pièces qui leur furent volées. Le voleur a été présenté devant le magistrat instructeur du parquet de Koléa, qui l'a placé sous mandat de dépôt.
Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 07:46

Algérie - Emploi des jeunes à Tipasa - 4759 postes permanents créés dans le secteur des forêts

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L’administration des forêts compte générer exactement 4759 emplois permanents et 13 575 emplois temporaires.

Le mécontentement populaire s’est propagé comme une traînée de poudre au niveau des localités de la wilaya de Tipasa depuis le début de l’année 2011. Le wali de Tipasa s’attelle depuis son arrivée à rencontrer les populations rurales et urbaines mécontentes. Les «élus» de toutes les formations politiques sont devenus indésirables pour les citoyens. Certains chefs de daïra ne sont plus crédibles aux yeux des administrés, en raison de l’inexistence de communication avec les administrés et de l’absence de transparence dans leur gestion. Les manifestants rejettent leurs gestionnaires locaux. Le malaise ne cesse de s’amplifier. Même les imams subissent le même sort que les gestionnaires locaux. L’exemple le plus édifiant vient de la ville de Cherchell, quand les jeunes manifestants avaient dénoncé la magouille de ces hommes de culte. Le secteur des forêts, longtemps marginalisé, est devenu soudain l’issue idoine pour sortir de cette crise du chômage.

En effet, l’administration des forêts vient d’être mise à contribution dans cette atmosphère très tendue. Le dispositif a été mis en place. On a créé une cellule d’animation rurale communale composée de 3 jeunes (un universitaire et 2 techniciens). Elle constitue le secrétariat permanent. Ce noyau (trio, ndlr) vulgarisera les procédures allégées, afin d’inviter les jeunes sans emploi à s’impliquer dans la dynamisation du développement agro-forestier et rural au niveau de chacune des 28 communes de la wilaya de Tipasa. Exploitation et mise en valeur par l’amodiation des vides labourables du domaine forestier ; création de charbonnières dans le cadre de l’assainissement des forêts incendiées et des travaux sylvicoles ; valorisation et exploitation des ressources forestières ; mise en place des distilleries artisanales ; greffage de 2000 (deux mille) ha d’oliviers sauvages ; création de petites unités d’élevage d’escargots, de champignons, apicoles, huileries mobiles, de taille et greffage ; création de 19 forêts récréatives au niveau de 17 communes de la wilaya ; programme TUP-HIMO (Travaux d’utilité publique-haute intensité en main-d’oeuvre).

«L’administration des forêts, à travers cette feuille de route déjà mise en place, compte générer exactement dans ce programme 4759 emplois permanents et 13 575 emplois temporaires», affirme le directeur des forêts de Tipasa. L’échec essuyé par l’Etat dans sa politique de création de 100 locaux par commune, décriée d’ailleurs par la majorité des jeunes frustrés en quête d’emploi, aura été catastrophique. Pourquoi a-t-on inscrit 2025 locaux à Tipasa dans ce programme pour aboutir à ce constat ? La wilaya de Tipasa se vante d’avoir distribué 1336 locaux pour les jeunes. Il suffit de faire une visite sur les sites épars dans lesquels sont érigées «ces barres en béton», pour se rendre compte de l’imposture.

La majorité des locaux demeurent fermés. Les travaux ne sont pas achevés en réalité. Plus de 1600 millions de dinars ont été investis pour la réalisation de ce programme dans la wilaya. Une enquête sur ces locaux devra être déclenchée pour débusquer les intervenants malveillants dans le processus de ce programme depuis leur construction jusqu’à leur affectation. Les promesses relatives aux batteries de dispositifs et mécanismes de soutien et à l’aide de l’emploi des jeunes chômeurs auront atteint leurs limites. Trop de dysfonctionnements. Les responsables de la wilaya viennent de rebondir avec cet ambitieux programme de l’administration des forêts «pour éteindre les départs de feux». Pendant ce temps, une réflexion est engagée pour trouver des possibilités de création d’emplois dans les autres secteurs.

Source El Watan M'hamed Houaoura

Le Pèlerin

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