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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 09:56

Abdallah Khanafou de Tipaza - «L’aquaculture, seule alternative»

aquaculture

«On a jugé qu’on peut tolérer l’injection des petits métiers car ils n’ont pas une importante incidence sur la ressource halieutique.»

Une nouvelle approche est préconisée pour les jeunes, dont le retour de la subvention dans le secteur de la pêche. Et l’investissement dans le créneau de l’aquaculture reste la seule alternative pour augmenter la production de poisson. Reste la bonne volonté du jeune à investir.

C’est ce qui ressort de la visite de travail et d’inspection avant-hier, jeudi, du ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Abdallah Khanafou, effectuée à Cherchell, Hadjout et Bou-Ismaïl (Tipaza). A chaque halte, le ministre se trouvait interpellé par les jeunes et les professionnels du secteur qui lui faisaient part de leurs soucis dont les autorisations pour les petits métiers, les contraintes quotidiennes du travail et la pêche à la dynamite. M. Khanafou ne cessait de leur rappeler les nouvelles procédures en leur faveur dont la remise des autorisations et la facilitation pour l’acquisition de projets et de crédits, ainsi que celles intervenues dans le cadre de la loi de finances en matière d’importation de l’aliment des poissons et alevins et la réduction des tarifs de l’énergie électrique.

«On a jugé qu’on peut tolérer l’injection des petits métiers, car ils n’ont pas une importante incidence sur la ressource halieutique», a-t-il expliqué considérant que l’aquaculture est la seule alternative pour augmenter la production. Il a nié l’existence de 220 000 tonnes de stock pêchable, «c’est l’ancienne étude qui a donné ce chiffre». En réponse à InfoSoir sur ce qu’offre aujourd’hui le ministère de la Pêche, M. Khanafou nous a annoncé que son département a autorisé les jeunes à acquérir les petits métiers et les invite à investir dans le créneau de l’aquaculture.

«Les jeunes peuvent s’inscrire dans la démarche que nous préconisons pour des projets de moyennes et petites tailles. Ils peuvent se rapprocher des différentes structures que nous avons, car nous comptons reprendre la subvention pour ces projets.» Pour l’aquaculture marine, le ministre a encouragé les jeunes à se lancer dans ce créneau à travers les cages flottantes, «qui nous ont évité les problèmes de concessions, le foncier, etc.» Pour l’aquaculture continentale, le problème ne se pose pas selon le ministre «pour les gros bateaux, la ressource est sérieusement menacée. Elle est en diminution d’année en année», a-t-il repris annonçant que son département lancera prochainement un bateau scientifique en juin pour une campagne d’évaluation de cette ressource «à la base des résultats d’ici à la fin de l’année, nous aurons une idée comment est répartie notre ressource pour aller vers des plans de gestion de cette ressource et décider ou non de l’injection d’unités selon les régions», a-t-il précisé.

Source Infosoir Souad Labri

Le Pèlerin

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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 07:48

Des visites guidées pour des projets dépassés.

poisson algerie

Abdallah Khanafou, ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, n’a pas dissimulé son mécontentement lors de sa visite de travail effectuée jeudi dernier dans la wilaya de Tipasa. Il avait été à maintes reprises interpellé par les hommes de la mer qui lui ont fait part de leur désespoir et de leur désarroi. A Bou Ismaïl, au niveau du centre conchylicole en cours de travaux, Abdellah Khenafou s’est interrogé sur l’utilité d’un centre pilote de démonstration et de formation dans l’élevage des moules et des huîtres implanté au bord d’une mer polluée, d’une part, et sur l’inefficacité de la ferme pilote, un projet algéro-espagnol, d’autre part.

«Ce projet est malheureusement dépassé, c’est une dépense inutile d’argent et une perte de temps», déclare-t-il aux responsables du Centre national de développement de la pêche et de l’aquaculture (CNRDPA). «Nous avons des centres similaires ailleurs à Boumerdès, et je ne comprend pas pourquoi nos chercheurs ne se rapprochent pas de ces centres sous-exploités, ajoute-t-il, depuis mon arrivée à ce ministère on me fait visiter des projets pilotes dépassés.» Face aux multiples questions des jeunes qui s’interrogeaient sur leur avenir dans le secteur de la pêche, le ministre de la Pêche n’a pas cessé de rappeler aux marins que les aides accordées actuellement aux jeunes sont plus intéressantes et avantageuses que celles d’avant. Le membre du gouvernement aura quand même été informé sur certains dysfonctionnements grâce à ce contact direct avec les professionnels de la mer.

L’exemple lui est venu d’un ramendeur, réparateur des filets de pêche. «Je constate qu’une anarchie règne dans les ports de pêche. L’absence d’organisation est à l’origine de plusieurs difficultés rencontrées par les gens des métiers de la mer», précise-t-il.

«Ces espaces portuaires nous échappent, et justement, c’est à ce niveau que surgissent les problèmes. Notre secteur a besoin de cet espace vital pour sa bonne gestion, car cette défaillance entrave son développement. Il y a manque d’intelligence. Bien entendu, j’ai toujours besoin de ces infrastructures portuaires, du moment que notre secteur agit en amont et en aval, sans maîtriser ces ports.

Par ailleurs, j’ai décidé l’arrêt de construction des plages d’échouage, qui ne servent à rien», conclut-il. Le ministre de la Pêche semble décidé à remettre le secteur de la pêche sur la bonne voie.

Source El Watan M'hamed Houaoura

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 07:37

Tipasa - Abdellah Khanafou pour la facilitation des procédures d'accès aux métiers de la pêche

Bou Ismail

 

C'est jeudi dernier que Abdallah Khanafou, ministre de la Pêche, s'est rendu en visite de travail et d'inspection dans les différentes structures rattachées à son département ministériel.

C'est à Bou-Ismaïl que le ministre s'est attardé au niveau du centre conchylicole, un site vivier destiné à effectuer des essais et développement des nouvelles techniques d'élevage en mer dans le domaine de la conchyliculture (huîtres et moules). Ce centre est aussi destiné à la réalisation des projets de recherche dans le domaine spécifique à la culture des huîtres et des moules. Ce centre qui dispose d'une superficie en mer de 5 hectares et de 2 000 mètres carrés en terre se consacre au système d'élevage en filière sub-surface. Les espèces ciblées étant les mollusques bivalves, leur production annuelle est de 50 tonnes. Le ministre a attiré l'attention des cadres présents qu'il a été informé sur les problèmes liés à l'environnement dans cette région, constituant des facteurs de risque de pollution pour la production de moules dans le secteur de Bou- Ismaïl. Le responsable du projet de Bou-Ismaïl, tout en confirmant cet aspect, mettra à contribution le responsable local de l'environnement à Tipasa, qui affirmera qu'un ensemble de dispositions est envisagé en vue d'éradiquer le problème de pollution dans cette région. Le ministre visitera ensuite l'Ecole de formation technique des pêcheurs de Cherchell, où un immense ensemble de formation est réalisé pour un montant de 158 millions de dinars. Cette structure, qui s'étend sur près de 5 000 mètres carrés, constitue l'une des plus importantes écoles de formation de pêcheurs et patrons pêcheurs du Centre algérien. Le ministre de la Pêche s'est ensuite rendu au port de pêche de Cherchell qui a, quant à lui, bénéficié d'une importante enveloppe financière pour son réaménagement. M. Khanafou avait, lors de sa visite et à l'occasion d'une rencontre avec les pêcheurs de Bou-Ismaïl, exhorté les responsables concernés du secteur de faciliter aux jeunes l'accès aux métiers de la pêche et de délivrer toutes les autorisations nécessaires pour l'exercice de ce métier.

Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 07:56

Algérie - Situation toujours tendue à Bousmaïl - Six jeunes chômeurs arrêtés

bou smail institut maritime

 

Six jeunes chômeurs ont été arrêtés, dans la matinée de ce mercredi 2 mars, par les forces de sécurité à Bousmaïl, dans la wilaya de Tipaza, a appris TSA auprès de sources concordantes locales. « Ils sont partis pour discuter avec le président de l’APC. Mais ce dernier a refusé de les recevoir et a appelé la police », indique Sid Ahmed, un habitant de Bousmaïl, joint au téléphone. Il a ajouté qu’il devait lui‑même se joindre à ce groupe pour discuter avec le maire. La route principale de cette localité était toujours fermée à la circulation vers 18 heures, a‑t‑il indiqué. « On allait juste réclamer nos droits, c’est tout », a‑t‑il insisté.

Mardi, deux habitants ont tenté de s’immoler par le feu, le siège de l’APC a été saccagé et la route principale a été fermée à la circulation. Plusieurs jeunes ont été arrêtés puis relâchés.

Les habitants de Bousmail ont réinvesti la rue pour protester contre le mal‑logement, le chômage et la mal‑vie. Le 27 février, des centaines de jeunes ont bloqué la route principale reliant Bousmaïl à Koléa pour protester contre les nombreuses promesses non tenues du président d’APC.

En janvier dernier, les violentes émeutes qui ont éclaté dans la région ont fait plusieurs blessés et un mort.

Source TSA Samia Amine

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 09:25

Bous Smail : Des chômeurs brûlent la mairie, deux jeunes s’immolent, le maire toujours absent

mairie-bou-smail.jpg

 

Des dizaines de jeunes chômeurs ont saccagé dans la journée de mardi 1er mars le  siège de la mairie ville de Bou Smaïl, à 50 Km à l’Ouest d’Alger a appris DNA auprès d’un habitant. Au cours de cette manifestation, deux personnes ont tentés de s’immoler par le feu à l’intérieur de l’édifice communal. Le maire de la ville est toujours porté au abonnés absents. La commune de Bou Smail a connu une importante émeute en janvier 2011 au cours de laquelle un homme est décédé.

Exaspérés par les promesses non tenues par le maire, les jeunes de la ville ont une fois de plus bloqué la route principale reliant cette ville côtière vers la ville de Koléa.

Les manifestants protestaient contre le mal-vie, le chômage, et le mal-logement. Ils dénonçaient une fois de plus les promesses sans suite du premier responsable de la commune.

C'est aux environs de 15h que des manifestants ont donné l’assaut au siège de la mairie alors que le maire était absent. « Des jeunes en colère ont profité de l’absence du maire pour s’introduire à l’intérieur. Ils ont tout saccagé sur leur passage », ajoute notre interlocuteur.

Deux personnes ont tenté de s’immoler par le feu au cours de cette manifestation. « Heureusement, les gens qui étaient sur place ont intervenu à temps pour les empêcher d’accomplir leur geste », confie à DNA Amine Menadi, membre de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, aile de la société civile.

Dépêchés sur les lieux, les forces de l’ordre n’ont pas fait usage de violence à l’encontre des manifestants. « Au moment où je vous parle (20H), il y a des renforts des forces de l’ordre. Ils sont en train de gérer la manifestation de manière diplomatique. Pour l’instant, ils se tiennent à l’écart », précise-t-il.

Dimanche 27 février, des centaines de jeunes chômeurs de Bou Smail ont bloqué le même axe routier pendant plusieurs heures. Ce sont les promesses sans lendemain du maire de la ville qui avaient mis le feu aux poudres.

Cet édile communal aurait promis aux jeunes chômeurs des locaux commerciaux ainsi que des lots de terrains. Il aurait même délivré de faux documents dans l’espoir d’apaiser la colère des jeunes chômeurs.

Deux jours après ces émeutes, le maire n’a pas daigné faire de déclarations pour confirmer ou infirmer ces accusations pas plus qu’il ne s’est exprimé sur ce mouvement de contestation qui a touché sa commune.

Le 7 janvier 2011, la commune de Bous Smail a été secouée par des émeutes qui ont fait une victime. Akriche Abdelfattah, 32 ans, agent de sécurité à Nafyal, a été tué au cours d’affrontements entre émeutiers et éléments de la police anti-émeute.

Abdelfattah serait décédé après avoir reçu une grenade lacrymogène en pleine figure.

Source DNA Sabrina Boubekeur

Le Pèlerin

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 07:10

Tipasa - Projet de la forêt récréative à Hadjout : A quand le lancement ?

projet-de-foret-recreative-a-Hadjout.jpg

 

Le projet de transformer le bois de Sidi Slimane, endroit situé presque en équidistance entre Hadjout et le village agricole Errahaba, en une forêt récréative, verra-t-il le jour dans un futur proche? En tout cas, c’est ce que souhaitent les membres de la Bulle verte, une association à caractère écologique activant principalement dans la commune de Hadjout.

Ces derniers font le serment de «laver» Sidi Slimane des souillures avilissantes qu’a imprimées, à cette île verte, l’action anthropique depuis des années maintenant. Inspirés par la réussite du projet de la forêt récréative de Benchicaou à Médéa, les adhérents de la Bulle verte s’étaient lancés le pari, il y a plus de deux ans, de concrétiser la même opération à Sidi Slimane.

«Pour donner corps à notre idée, nous avions décidé en premier lieu d’organiser un volontariat, en impliquant les enfants pour faire, si l’on peut dire le ménage dans la forêt qui a été transformée hélas en un dépotoir de différentes sortes de déchets y compris les ordures ménagères», regrette Hellal Youcef, vice-président de la Bulle verte. Cette «Touiza» des temps modernes, a eu instantanément l’effet souhaité par ses initiateurs dans la mesure où les services de l’APC ainsi que ceux de la subdivision de la conservation des forêts ont mobilisé d’importants moyens humains et logistiques. «Il faut d’abord savoir que la forêt de Sidi Slimane est une création récente.À l’origine, on en a fait une plantation d’eucalyptus afin d’assécher cette zone de ses marécages. Malheureusement, Sidi Slimane a perdu pour ainsi dire de sa splendeur en cédant le pas devant la prolifération des ordures terriblement nuisibles à l’équilibre biologique ambiant», retrace le même interlocuteur. Forts donc de l’intérêt unanime que suscite le devenir de la forêt en question, les membres de la Bulle verte sont, sans attendre passés à une deuxième étape.

«On a préparé une fiche technique détaillée avec des illustrations dans l’optique de lancer le projet de la création de la forêt récréative. Cette initiative a reçu un aval de principe de la part des autorités locales. L’ancien wali, en l’occurrence Mohamed Ouchen, a débloqué, après bien sûr un examen minutieux des teneurs de notre proposition, une enveloppe de 1,5 million de dinars pour entreprendre l’étude du projet.

Celle-ci est actuellement achevée et toutes les contraintes et autres réserves ont été levées», affirme Hellal Youcef. Seulement depuis, le projet reste toujours sur papier, son lancement est tributaire de son inscription qui se fait apparemment désirer, dit-on, à Hadjout.

Et pourtant, sa concrétisation, outre le fait qu’elle permettra de juguler définitivement toute agression contre la nature locale, contribuera aussi à la création d’opportunités d’emploi, direct et indirect, considérables (notamment un parking pour voitures, une cafétéria, une pizzeria et tout un espace réservé à la commercialisation de produits artisanaux) pour promouvoir entre autres l’agro-tourisme, y seront ouverts. «Aussi, pour le bonheur des enfants et des familles il y aura des aires de jeux et même un circuit de poney», promet Hellal Youcef.

Source Horizons Amirouche Lebbal.

Le Pèlerin

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 10:36

Formation Professionnelle à Tipasa

Des parents de postulants rejettent l’équivalence des niveaux scolaires

formation tipasa

 

Les dix-huit centres de formation professionnelle de la wilaya de Tipasa, dont un institut spécialisé, offrent plus de 10 000 places pédagogique pour l'année 2011/2012, dont 5 750 lors de la rentrée du 27 février 2011 (y compris les formations résidentielles, apprentissage, cours du soir, femmes au foyer, alphabétisation et formation en milieu carcéral).

Ce volume de places pédagogiques offert cette année est plus important que lors des années précédentes, à l'instar de l'année 2010 qui a vu 9 666 places offertes dont 4 599 nouvelles. Mais face à cet important investissement des pouvoirs publics, dédié à la formation professionnelle, des parents sont indécis à inscrire leurs enfants à cause de «l'assimilation et de l'équivalence du cycle élémentaire et primaire avec le cycle moyen». En effet, certains nous ont fait part de leur dépit «face à l'absence de validation de paliers intermédiaires de recrutement à l'instar des 1re, 2e et 3e années moyennes». Ils déclarent être «désagréablement surpris lorsqu'on voit une assimilation des formations destinées au niveau élémentaire et primaire avec le niveau moyen de nos enfants. On leur offre les mêmes formations qu’à ceux du primaire ; c'est inconcevable, injuste et inacceptable. Nos enfants sont pénalisés de ne pouvoir suivre les mêmes formations que ceux de la 4e année moyenne, que ce soit en formation résidentielle ou pour l'apprentissage». Ils persistent et signent, et comptent attirer l'attention du ministre sur cette inégalité, car ils estiment que cette option défavorise leurs enfants et les décourage. «Nos enfants qui ont fait le cycle moyen refusent de se voir assimilés à des élèves de 1re ou 2e année primaire », clament ces derniers. Rappelons que pour cette rentrée 2011, 1 700 élèves sont inscrits sur les 2010 places prévues en formation résidentielle, soit 85% de nouveaux stagiaires. En formation par apprentissage il est enregistré 1 254 inscrits sur 1 400 places prévues. En cours du soir, il est enregistré un taux record d'inscrits (180%) pour 610 postes prévus. Le même chiffre est enregistré pour la femme au foyer (126%) pour 1000 postes prévus (cuisine et pâtisserie essentiellement). Quant aux autres types de formation, les effectifs prévus ont été largement atteints, notamment 60 places consacrés à l'alphabétisation et 100 places destinées au milieu carcéral. Le CFPA de Sidi Ghilès dispose quant à lui du plus grand nombre d'inscrits de détenus (60 personnes inscrites en informatique, peinture et jardinage), dépassant ses objectifs en formation résidentielle et en apprentissage (plus de 130%). Au niveau wilaya, le taux global d'inscription est supérieur à la norme (105%). Les responsables nous informent par ailleurs que les structures de la formation professionnelle offrent 1 800 repas/jour et plus de 700 lits répartis en 10 internats. Ils nous précisent que le secteur de la formation professionnelle de Tipasa offre 38 spécialités diplômantes réparties en 68 sections pédagogiques, concernant 12 branches d'activité. Au sein de ces sections pédagogiques, 37 sont dédiées au niveau élémentaire du savoir, tandis que 22 sections concernent le niveau de 4e année moyenne. Il convient de préciser en outre que le volume de places pédagogiques prévisionnel pour 2011 englobe tous les types de formation avec 5 750 nouveaux inscrits et 4 913 reconduits dans les formations résidentielles, les formations par apprentissage en cours du soir et celles en milieu carcéral.

Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 00:07

Il s'en passe à Bou Smaïl / Tipasa

Bou Ismail

Bou Smail - Le maire leur avait délivré de faux documents, des chômeurs bloquent les rues de la ville

Des centaines de jeunes chômeurs ont bloqué dimanche 27 février la route principale desservant la petite ville de Bousmail à Koléa dans la wilaya de Tipaza, 70 Km à l’Ouest d’Alger appris DNA auprès de Amine Menadi, membres de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, aile de la société civile.

Confinées au tout début dans les hauteurs de la ville, les barricades dressées par les jeunes protestataires ont gagné le centre-ville aux environs de 18 H, raconte Amine, joint par téléphone, sur les lieux.  « Un policier respecté a invité trois représentants de jeunes chômeurs pour aller discuter avec le maire.

Insatisfaits des réponses du maire, les jeunes ont décidé de radicaliser leur mouvement en bloquant les artères de la ville », ajoute notre interlocuteur.

A l’origine de la colère, les promesses non tenues par le président de l’APC de cette ville côtière. « Après le mort d’un manifestant en janvier dernier et le suicide de deux jeunes chômeurs, le maire, pour calmer  les jeunes, leur a promis des postes d’emplois, des locaux commerciaux et des terrains », raconte Amine. Et d’ajouter : « Il  aurait donné même des documents à certains. Une fois à la wilaya, ces jeunes ont été surpris d’entendre que les documents que leur a délivrés le maire n’étaient pas valables ».

Irrités, les jeunes chômeurs et d’autres malheureux candidats à l’ANSEJ, ont préféré bloquer la voie publique.

Curieusement, aucune présence des forces de l’ordre n’est visible, selon Amine Menadi qui dit que des renforts de CRS auraient été dépêché vers la ville de Cherchell ou un mouvement similaire a été signalé.

Le 7 janvier dernier, un homme de 32 ans a été tué à Bou Smaïl dans des affrontements avec la police. Akriche Abdelfattah serait décédé après avoir reçu une grenade lacrymogène en pleine figure.

Ce fut le début des émeutes généralisées qui ont touché plusieurs régions pays. Cinq personnes y avaient trouvé la mort.

Contestation sociale à Bou Smail

Des centaines de jeunes bloquent la route principale à Bousmail

Des centaines de jeunes ont bloqué ce dimanche 27 février la route principale reliant Bousmail à Koléa dans la wilaya de Tipaza. Exaspérés par les nombreuses promesses non tenues du président d’APC, ces jeunes au chômage ont décidé de descendre dans la rue pour faire entendre leurs revendications.

« C’est vers 16 heures qu’ils ont commencé à mettre des barricades pour fermer la route à la circulation. Vers 18 heures, un agent de police s’est déplacé convoquant quelques jeunes pour s’entretenir avec le maire. Mais ces discussions n’ont abouti absolument à rien », précise Amine Menadi, l’un des membres de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie version société civile, qui était alors sur place.

Après les violentes émeutes de janvier dernier qui ont fait un mort à Bousmail, le président de l’APC avaient promis à certains jeunes des postes d’emploi et à d’autres des locaux commerciaux pour apaiser la colère de la population. « Il aurait même donné des documents à certains, mais une fois partis à la wilaya pour s’enquérir, le personnel leur a dit que les documents ne valent absolument rien », explique M. Menadi.

Source TSA Source DNA Samia Amine / Sabrina Boubekeur

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 09:46

Cherchell - Révolte citoyenne, troubles et mécontentements

ch-001.jpg

 

La ville de Cherchell, commune de 50 000 habitants, dépendant de la wilaya de Tipasa, connaît depuis peu des tensions et des troubles ayant pour cause, un mécontentement citoyen généralisé.

C'est au niveau de l'agglomération secondaire, dite Haï-Taghirint, que la révolte citoyenne a démarré le jeudi dernier. Plusieurs centaines de jeunes, âgés de 18 à 35 ans, ont bloqué à partir de 9 heures 30, la route principale de la ville, à l'ouest de la cité populaire Kaïd-Youcef. Des pneus brûlés ont été placés au milieu de la voie. Les locaux de l'ex-Orlac ont été mis à sac et les rideaux de fer arrachés. La quasi-totalité des commerces de la banlieue ouest de Cherchell ont baissé rideau. A midi, de longues files de véhicules bloquaient la circulation au centre et dans la partie ouest de la ville. La voie bloquée, la RN 11 qui traverse la ville de part et d'autre. Ces troubles et ce mécontentement ont pour origine des revendications citoyennes et des accusations ont été portées à l’encontre des responsables locaux. T. Mohamed, un père de famille de 35 ans, met à l'index les gestionnaires de la ville en les soupçonnant d’attribution partiale et contestable des logements sociaux : «Avec deux enfants à charge, on m'a répondu que je n'ai pas le profil pour ouvrir droit à un logement social.» A. Karim, père de deux fillettes, employé à 3 000 DA dans le cadre du filet social, nous déclare qu'il vient de bénéficier d'un logement social dépourvu de sanitaires, d'eau et d'électricité. «Chaque semaine, je mets à contribution mes voisins et amis pour m'aider à aménager décemment ce logement», s'insurge- t-il. Samir I., un jeune chômeur de 32 ans, est décidé d’aller jusqu’au bout : «On attend la venue du wali pour le règlement de nos problèmes, sinon nous maintiendrons la route bloquée autant de jours qu'il faudra.» K. Mouloud, 36 ans, père de famille, chômeur, résidant chez ses beaux-parents dira à son tour : «Je ne comprends pas, ma famille réside à Cherchell depuis quatre générations et on me dit que je n'ai pas droit au logement social. Pourtant, certains commerçants installés à Cherchell depuis peu et résidant officiellement dans une wilaya limitrophe, se sont vu attribuer un logement social. C'est aberrant !» Il est 15 heures quand une escouade de la police anti-émeute vint disperser violemment les manifestants à l'aide de bombes lacrymogènes et de matraques. Les émeutiers utilisèrent des pierres, des bâtons et autres objets pour se défendre contre les policiers. A 15 heures 30, après un échange de violence, la route est ouverte à la circulation. Dix minutes après, le wali de Tipasa, accompagné du chef de la daïra de Cherchell, se présente devant les émeutiers. Ces derniers scandaient «l'Etat nous agresse, ô wali soit témoin», enhardis par l'arrivée du wali. La marée humaine voulait à tout prix montrer au wali de Tipasa les lamentables conditions d'habitation, tant dans les cités-dortoirs de Kaïd-Youcef, Mahem, Marcada que de la cité DNC, des cités Taghirint, de Roseau et des baraquements de la cité d'Urgence du séisme du 10 octobre 1980. Près de 10 000 personnes habitent dans ces cités-dortoirs datant de 1958, 1964 et 1990. Le wali fut appelé à visiter quelques uns de ces logements. Après d'épuisantes tentatives de faire revenir le calme, le wali est parvenu à réunir les émeutiers au niveau de la salle des fêtes de la ville pour écouter leurs doléances dans le calme. Par ailleurs, il convient de rappeler que des troubles similaires se sont déroulés récemment dans les agglomérations rurales de Bakora, à la cité de Bordj-El-Ghola, et enfin, à Aghbal, une commune rurale, de Gouraya, dont la population avait, dans le passé, souffert des exactions des affres terroristes, qui l’avaient soumise au racket des commerçants et des agriculteurs et à défaut de paiement, ils étaient assassinés. Selon certaines sources, un début de malaise dans certains quartiers de la ville de Bou-Ismaïl est perceptible. Malaise dû à l’attribution controversée de logements sociaux. Ce mécontentement généralisé, s’il est à mettre à l’actif d’une gestion discutable, voire très controversée, des affaires citoyennes, il trouve aussi sa source dans la dégradation du pouvoir d’achat, le chômage important et une paupérisation rampante.

Source Le Soir d’Algérie Larbi Houari

Le Pèlerin

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 07:15

Tipasa : La voleuse du Hammam de Bourkika arrêtée  hammam-algerie.jpg

 

La voleuse de sacs du hammam de Bourkika, wilaya de Tipasa, est désormais derrière les barreaux. Son arrestation a été possible grâce aux investigations des éléments de la sûreté urbaine de Bourkika qui, immédiatement après le dépôt d’une plainte par deux victimes, ont pu identifier la voleuse, une mère de six enfants âgée de 30 ans, native de Mouzaïa, wilaya de Blida et habitant Bourkika. Selon la déposition des victimes, en l’occurrence D.F et D.O, qui sont cousines, la dame voleuse leur a subtilisé une somme de 3.000 DA, des bijoux ainsi qu’un téléphone portable cachés dans le sac lorsqu’elles prenaient leur bain. Ce n’est qu’à leur sortie du hammam qu’elles s’étaient rendues compte que leurs objets de valeur avaient tout bonnement disparu. Entre les mains des policiers, l’affaire n’a pas tardé pour révéler tous ses secrets puisque en recourant à la localisation du téléphone portable avec des moyens technologiques, on a pu remonter la filière jusqu’à Mouzaïa. Après avoir effectué une perquisition dans le domicile de la personne suspectée, les policiers y ont trouvé le téléphone mobile de la victime. Après interrogatoire, le receleur a avoué qu’il l’a acheté pour une somme de 5.000 DA auprès de la voleuse. L’identité de cette dernière enfin connue, les enquêteurs n’ont pas eu de mal à l’interpeller avant de la traduire devant le procureur de la république près le tribunal de Hadjout qui l’a placée, à son tour, sous mandat de dépôt dans la prison de Boufarik. Le receleur, quant à lui, a bénéficié d’une citation directe en attendant le jugement de l’affaire.

Source Horizons Amirouche Lebbal.

Le Pèlerin

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