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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 12:45

Tipasa  - Démantèlement d’un réseau de vente illicite de boissons alcoolisées à Bou Ismaïl

Bou Ismail

 

Nous venons d'apprendre auprès des services de police de la wilaya de Tipasa, que le 28 décembre 2010, un individu âgé de 35 ans venait d'être mis sous mandat de dépôt par le parquet de la justice de Koléa, pour le motif de vente illicite de boissons alcoolisées.

Selon nos informations, il s'agirait d'un réseau qui alimenterait d'autres sites clandestins de consommation de boissons alcoolisés à Bou Ismaïl. Au commencement, les services de police ont été informés de mouvements suspects au niveau de la cité des 40-Logements. Placé sous surveillance, le quartier révéla de grosses surprises. Le 25 décembre, aux environs de 14h, les services de police interceptèrent une cargaison de 1 392 pièces, allant de la canette de bière aux spiritueux d'une valeur de plus de 25 millions de centimes. La perquisition du local clandestin de vente a permis la saisie d'autres cartons de boissons alcoolisées.

Source Le Soir d’Algérie L.H.

Le Pèlerin

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 05:13

Koléa (Tipaza) - 2 741 RDV pour le passeport biométrique

passeport biometrique

 

En attendant la généralisation du nouveau passeport biométrique, les services de la daïra de Koléa continuent à établir l’ancien passeport dont la date butoir de validité est prévue pour le 24 novembre 2015. Cependant, l’établissement des nouveaux passeports biométriques a été lancé à titre pilote au niveau de la daïra depuis le 4 avril écoulé. Selon les autorités locales, 2 741 personnes concernées se sont présentées à leurs rendez-vous au service du biométrique depuis le coup d’envoi de l’opération au 21 décembre 2010, à raison d’une quinzaine de rendez-vous /jour. 1 560 personnes se sont manifestées et ont eu leurs rendez-vous maintenus et confirmés, mais 1 181 autres ont été différés ou reportés pour de multiples raisons dont l’absence du concerné ou des problèmes au niveau des dossiers. Parmi ces dossiers maintenus, l’on compte 1 453 adultes et 107 enfants âgés de moins de 12 ans. Ces derniers dont l’âge ne permet pas le prélèvement des empreintes, ont été uniquement pris en photo. Pour les autorités locales de Koléa, le personnel mobilisé pour cette opération du biométrique – devenue un acte simple – est suffisant et actuellement rodé au niveau de tout le service notamment l’accueil, la vérification, la saisie, la certification et l’enrôlement. Enfin, pour les cartes d’identité nationale, c’est un non-stop de rendez-vous au niveau du service concerné soit une trentaine quotidiennement car leur établissement ne passe pas par la phase de l’enrôlement selon nos interlocuteurs. Toutefois, il y a lieu de signaler que le retrait de l’extrait de naissance «12 S» au niveau de la daïra qui compte trois communes (Koléa, Hattatba et Chaïba), constitue une contrainte pour les services de la commune notamment pour Koléa et également pour les citoyens. La commune de Koléa connaît un grand afflux de demandeurs du «12 S» suite aux importants taux de naissances quotidiens au niveau de son hôpital qui était un CHU auparavant. Quelque 1 681 demandes sont en cours de traitement selon nos interlocuteurs et en fonction de la disponibilité des documents. A travers ces trois communes de la daïra, 7 461 passeports ont été délivrés dont les 2/3 au niveau de la commune de Koléa. Ce qui constitue un gros travail pour les éléments chargés de l’établissement du document et la longue attente de beaucoup de citoyens qui nous ont exposé leurs préoccupations par rapport à la lenteur de délivrance. Les autorités locales nous ont confirmé l’insuffisance de documents. Ce qui les pousse à délivrer en priorité le «12 S» d’abord aux demandeurs les plus distants et surtout pour les cas urgents (maladies…).

Source Infosoir Souad Labri

Le Pèlerin

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 08:17

Algérie - Cher réveillon à Tipasa

reveillon 2011

La fête de fin d’année à Tipasa fait partie de ses coutumes. Les complexes touristiques de l’EGT Tipasa animent le passage d’une année à une autre selon les goûts. En 2010, le réveillon se fête selon les bourses.

Les éléments de la Gendarmerie nationale et de la Sûreté nationale ont installé leurs dispositifs, y compris en ville, pour «nettoyer» les espaces de la fête des fauteurs de trouble, d’une part, et épargner aux citoyens les soucis de l’insécurité, d’autre part. Au complexe Matarès, les fêtards commencent à se manifester au niveau de la réception pour réserver leurs places. En effet, ce complexe touristique propose des forfaits en demi-pension pour 2 personnes aux prix de 7000 DA et 9500 DA, respectivement à l’hôtel Résidence et l’hôtel de la Baie, alors qu’une seule personne paye 5000 DA pour passer son réveillon en toute quiétude dans ce complexe touristique.

Les responsables du complexe Matarès ont décidé de faire une offre de prix de 30 000 DA pour réveillonner en demi-pension dans l’une des villas d’une capacité d’hébergement de six personnes. Même les familles qui veulent juste passer — sans pension faut-il le préciser — les fêtes de fin d’année dans des appartements de type F2 et de type F3 sont tenues de payer respectivement 6000 DA et 9000 DA. Ce complexe touristique public permet donc aux citoyens à faible revenu de passer leur réveillon. Bisque de crevettes, espadon ou gigot d’agneau accompagnés d’une bouquetière de légumes et d’une salade mimosa, corbeille de fruits et pâtisserie de fin d’année, tel est le menu proposé par le complexe aux familles.

Youcef Cherchali, talentueux chanteur et animateur, sera chargé de créer l’ambiance, comme à l’accoutumée, pour faire oublier, durant quelques instants, le stress de 2010. De l’autre côté de Tipasa, le complexe Corne d’or propose un tarif en demi-pension de 14 000 DA pour 2 personnes. Chaque année, ce complexe paradisiaque affiche complet. Son repas de fin d’année amélioré est attendu par des gourmands qui viennent de Blida, de Boumerdès et d’Alger. C’est dans un cadre dégageant quiétude et sérénité qu’est proposé le menu de la Corne d’or.

Après le cocktail de bienvenue, le menu s’articule avec une bisque de crevettes, de l’espadon à la catalane, une dinde aux marrons accompagnée d’amandes effilées et des pommes aux noisettes, une corbeille de fruits, du café et du thé à la menthe, avant d’offrir la bûche de fin d’année aux familles. Bien entendu, l’orchestre El Founoun, qui chante son répertoire, surfe sur les différents styles, pour créer l’ambiance et susciter la nostalgie aux familles présentes. Le DJ Abdellatif tâchera de détendre tout le monde avant de l’inciter à plonger en douceur dans l’univers 2011.

Source El Watan M'hamed Houaoura

Le Pèlerin

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 06:02

Il est vrai que ce lieu chéri par les amoureux de la nature faisait peur aux citoyens

projet-oued-el-bellah.jpg

Actuellement Djamel, le Robinson Crusoé de ces lieux, y réside ai mileu d'une végétation merveilleuse

 

La zone d’expansion touristique de Oued El Bellah, située à 2,5 km de Cherchell, s’étend de cap Blanc à la pointe Riad et occupe un site de 3 ha. Ce projet est situé dans la périphérie immédiate, à l’est, de la ville de Cherchell, au cœur de la zone d’expansion touristique (ZET). La création de cette zone et l’affectation à son profit de plusieurs sites balnéaires a permis à la wilaya de Tipasa de faire place nette au profit de potentiels investisseurs touristiques et de promouvoir ces sites à cette fin. Précisons à ce titre que le projet de Oued El Bellah avait fait l’objet d’une étude à trois variantes, présentée par un bureau d’études espagnol, et dont la réalisation nécessiterait un investissement fabuleux et colossal, se chiffrant à plusieurs dizaines de milliards. Le projet de complexe touristique de Oued El Bellah est de type résidentiel avec bungalows hyper luxueux dotés de piscines individuelles, et un système hôtelier très performant destiné à une clientèle recherchée, diplomates et hommes d’affaires. Il y est prévu la création d’un port de plaisance, d’une zone hôtelière, d’une zone résidentielle avec villas et bungalows, d’une zone sportive avec terrain de sport en plein air, d’une zone commerciale, d’un théâtre de plein air, d’une salle des fêtes, des piscines et des espaces verts, parkings, etc. Hélas, à ce jour, ce projet reste en attente. En dépit de ce salutaire investissement nécessaire au développement de la région, il faut reconnaître qu’un marasme dramatique continue à affecter le secteur du tourisme dans la wilaya de Tipasa. La plage de cette zone pourrait accueillir 3 000 baigneurs par jour et permettre le développement de plusieurs formes de tourisme. Dans cette zone touristique est prévu un espace hôtelier de plus de 70 000 m2, comprenant des appartements et hôtels de type quatre étoiles, une zone sportive de près de 12 000 m2 et une zone commerciale de 10 000 m2. La région de Tipasa reste dans l’attente d’une décision salutaire au profit du tourisme local. Mais à Cherchell, le paradoxe est criant. Deux importants sites, à vocation touristique, restent sous-utilisés. Il s’agit de la prestigieuse plage «Mer et soleil» de Tizirine qui faisait autrefois la fierté des Cherchellois, celle de Sidi Braham El-Ghobrini, anciennement fréquentée exclusivement par la gent féminine et, enfin, celle de la petite plage située à proximité du port, aujourd’hui disparue. Ne subsistent à ce niveau que les coquettes cabines près des restes et des vestiges de l’ancien restaurant La Vague.

Source Le Soir d’Algérie Larbi H

Le Pèlerin

Ce projet balnéaire et touristique de grande envergure s’étend sur une superficie de 182 hectares, au niveau d’un cap en forme de corne.

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 05:44

Algérie - Centrale électrique de Hadjret Ennouss : Les travailleurs se dotent d’un syndicat

Hadjret-Ennous.jpg

Et oui aujourd'hui il y a un très gros complexe de production d'élecrticité...

Au grand dam des habitants de ces lieux et des amoureux de la nature

 

La centrale électrique de Hadjret Ennouss, wilaya de Tipasa, a connu, le 15 décembre dernier, un événement fort rare sur l’échiquier des entreprises économiques étrangères activant sur le sol national. En effet, une section syndicale a été, à cette date, officiellement installée en présence du représentant de la direction.

«C’est un petit pas pour les 130 employés de la centrale électrique de Hadjret Ennouss, mais c’est un grand pas franchi par les travailleurs des sociétés étrangères ou mixtes ayant investi en Algérie», estime un membre du syndicat local, qui compte désormais dans ses rangs plus de cent adhérents.  Ces propos résument la rupture d’un tabou qui freinait toutes volontés ou initiatives de défendre légitimement les droits des travailleurs dans des sociétés étrangères. L’inexistence de structures syndicales dans bon nombre d’entreprises en question a conduit à des débordements qui se traduisent par des sanctions lourdes ou pis par des licenciements abusifs.

Et pourtant, comme l’explique un autre adhérent de la section syndicale de la station électrique de Hadjret Ennouss, «la mise sur pied de notre  structure syndicale est l’expression de la volonté même des travailleurs, que nous sommes, d’œuvrer de concert avec la direction pour assurer la pérennité de notre société et améliorer le bien-être des travailleurs». «C’est ce qu’ont peut qualifier de relation gagnant/gagnant», souligne, à ce propos, un travailleur. L’idée de la création de la section syndicale qui relève de l’union locale de l’UGTA de Cherchell, remonte au mois d’octobre dernier. « C’est suite à une concertation entre un groupe de travailleurs que l’idée de créer un syndicat a germé. On a pris attache avec les membres de l’union locale de l’UGTA à Cherchell. Ces derniers nous ont conseillés, comme le stipule d’ailleurs la réglementation, de réunir les signatures de 20% de l’ensemble des travailleurs de la société.

Chose qui a été satisfaite peu de temps après», raconte un syndicaliste. Et d’ajouter «après avoir répondu à toutes les conditions devant permettre d’ouvrir une section syndicale, on a procédé à la convocation d’une assemblée générale constitutive à l’issue de laquelle nous avons élu le bureau exécutif , le secrétaire général ainsi que deux membres pour la formation du conseil syndical».

Actuellement la tâche du bureau est de tracer une feuille de route qui définira les rapports de travail et portera les revendications de la base concernant entre autres, le passage à la qualité de CDI (contrat à durée indéterminée) pour toutes recrues réunissant les conditions, les fiches de poste pour éviter tout éventuel enchevêtrement entre les fonctions des travailleurs, et aussi les promotions. «On projette également de mettre sur pied une commission interne des œuvres sociales et un comité de participation », précise un autre syndicaliste, un autre qui s’empresse de souligner que «le syndicat n’est aucunement, comme le soutiennent quelques-uns, un ennemi pouvant ralentir les performances d’une entreprise».

La centrale électrique de Hadjret Ennouss, d’une capacité de production de 1227 mégawatts marque le couronnement d’un investissement mixte entre l’Algérie et la société canadienne SNC Lavalin.

Source Horizons Amirouche Lebbal

Le Pèlerin

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 05:38

Station de dessalement d’eau de mer d’Oued Essebt : Un projet d’envergure «Made In Algeria»

station-de-dessallement-Oued-Essebt.jpg

 

Le projet de réalisation de la station de dessalement d’eau de mer d’Oued Essebt (w. Tipasa) d’une capacité de production de 100.000 m3, sera lancé vers la fin du premier trimestre de l’année prochaine.

Initialement il a été projeté de mettre en service la station en 2011. Seulement entre temps, le 27 juin 2009, la société anglaise Biwater construction LTD/ Arcofina, a décidé de résilier le contrat de partenariat avec la partie algérienne, en l’occurrence Algerian Energy company (AEC), pour la réalisation, et à terme la production et la gestion de ce projet.

La rétractation du partenaire anglais a induit inéluctablement un report de la date de l’entame des travaux et causé un préjudice certain. Devant ce fait accompli, tous les moyens nationaux susceptibles de réactiver le projet ont été mis à contribution. Actuellement, un accord d’association entre des entreprises nationales en phase de finalisation.

Celui-ci permettra de créer une société pour réaliser la station de dessalement d’eau de mer d’Oued Essebt. Les actions de la future entreprise seront détenues, selon des informations, par l’AEC (36%), Sonatrach Aval (34%), Sonelgaz (15%) et l’algérienne des eaux (ADE) (15%). Une fois la société mise sur pied, il sera ensuite question de l’élaboration du planning du projet, donc la préparation de toutes les conditions devant permettre la réussite de l‘étape importante de la réalisation.

Ainsi la grande station d’Oued Essebt sera la première du genre à être réalisée entièrement sans avoir recours à des compétences et au savoir-faire étranger. Dans ce cas, l’outil national, en se lançant ce pari s’en sortira doublement vainqueur. D’une part, il a réussi à réactiver un projet que d’aucuns vouaient à l’échec sans le concours de partenaires étrangers, et de l’autre, il donne la preuve qu’il maîtrise le savoir-faire dans le créneau de dessalement d’eau de mer.

Ceci a été possible grâce au transfert de la technologie qui s’est opéré notamment, avec le capital d’expérience cumulé lors de la construction des différentes stations de dessalement déjà mises en service ou sur le point de l’être.

Source Horizons Amirouche Lebbal

Le Pèlerin

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 00:43

DGSN - Algérie - Les élèves officiers finaliseront leur formation à l’Académie militaire de Cherchell

cherchell-vue-aerinne.jpg

 

 

Les élèves officiers de la police finaliseront leur formation à l’Académie militaire interarmes de Cherchell (AMIA) a annoncé, lundi sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale, le général Abdelghani Hamel, directeur général de la sûreté nationale. « Les durées de formation seront prolongées de deux années pour les agents et les lieutenants de police. S’ajoute à cela, la consécration des formations spécialisées qualifiantes pour l’ensemble des corps préalables aux promotions dans les grades et la fonction. Je préfère une formation qualifiante à une formation diplômante », a-t-il indiqué.

La durée actuelle de la formation des agents policiers et des lieutenants de police est de neuf mois. Il a précisé que des matières liées aux nouvelles formes de criminalité seront introduites dans les programmes de formation accompagnées de « méthodes pédagogiques novatrices ». « Il faut préparer le policier à un savoir-faire opérationnel et aux maîtrises des techniques policières. L’aspect pratique sera ajouté aux cours théoriques au niveau de la formation », a-t-il noté. « Les conditions de recrutement des policiers seront révisées à la hausse. Désormais, le niveau minimal pour le recrutement des policiers sera celui de la 3e AS », a-t-il dit. 

 Selon M. Hamel, un code de déontologie policière sera mis en application. « C’est celui d’une police républicaine respectueuse des lois et des droits de l’homme et crédible aux yeux des citoyens. Le régime disciplinaire sera plus adapté. Toute faute qui relève du droit pénal fera l’objet d’un dossier disciplinaire ou d’un procès verbal qui sera transmis à la justice. Le policier sera protégé par l’Etat contre toutes les formes de pression et d’intimidation. La police doit assumer ses missions en toute neutralité », a-t-il dit. Abdelghani Hamel a par ailleurs annoncé que l’effectif de la police algérienne est de 170 000 agents dont 8,04 % de femmes (presque 14 000). Selon lui, 1200 femmes policières sont recrutées chaque année. « Je dois préciser que la qualité et le grade priment sur le genre. Une place plus importante sera accordée aux femmes lors des recrutements », a-t-il annoncé.

Source TSA

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28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 08:37

Algérie - Championnat national militaire de karaté à Koléa : 12 Ecoles militaires présentes

 karate-kolea.jpg

 

L’Ecole supérieure des transmissions de Koléa abrite, depuis hier, le championnat national militaire de karaté do, avec la participation de 90 athlètes, dont 11 de sexe féminin, issus de 12 Ecoles militaires, dont l’Académie interarmes de Cherchell.

Cette compétition qui se déroule sur deux jours, en individuel et en équipe, opposera les participants dans deux types de disciplines, kata et kumité. Lors de son allocution précédant le coup d’envoi officiel du championnat, le général Megdad Meziane, chef de service des sports au niveau du ministère de la Défense nationale, a mis l’accent sur l’importance de ce genre de compétition, car, selon lui, elle reflète les efforts déployés pour promouvoir davantage le sport militaire.

«Cette volonté s’inscrit en droite ligne avec les orientations du commandement supérieur de l’Armée nationale populaire, sous-tendant notamment l’ancrage de la culture de la pratique du sport dans l’esprit de l’ensemble des franges et éléments de l’ANP, hommes ou femmes» souligne-t-il. Dans  son discours, le général Megdad a aussi mis en relief les bons résultats réalisés sur le plan international. Sur ce registre, il a rappelé à l’assistance la performance très honorable produite par la délégation algérienne lors des derniers Jeux arabes militaires organisés en octobre dernier en Syrie. «En dépit que notre délégation a participé à cette compétition régionale avec uniquement 47 athlètes, alors que les délégations des autres pays étaient composées chacune d’au moins 200 participants, nous avions pu au final arracher un palmarès de 21 médailles, dont six en or et huit en argent», confie-t-il. Seulement, l’émergence de l’Algérie dans le créneau du sport militaire durant les dernières années s’est traduite aussi, sur le plan continental, par un autre succès. En effet, le représentant de l’ANP a été élu, par ses paires des pays africains, à la tête de l’Organisation sportive militaire africaine. «L’élection de notre représentant exprime on ne peut plus la confiance que vouent les autres pays à l’Algérie à travers ses capacités et ses compétences dans ce domaine et renforce aussi sa bonne notoriété sur le plan continental», assure-t-il à ce propos. Par ailleurs, les compétitions programmées dans ce championnat national militaire de karaté do qui prendra fin aujourd’hui seront supervisées techniquement par des arbitres appartenant à la Fédération nationale de karaté (FAKT).

Source Horizons

Le Pèlerin

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28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 08:13

Algérie - Douaouda (Tipaza) - «Nous avons le droit au logement nous aussi»

logements-promotionnels.jpg

Les représentants de la commune de Douaouda revendiquent le logement social et veulent se rappeler au bon souvenir des autorités locales pour ce qui est de certains projets de développement dans leur importante ville touristique et agricole.

Qualifiée de miroir de la wilaya de Tipaza et dite Porte Est de la wilaya, la commune de Douaouda compte d’importants atouts touristiques et agricoles soit 3 km de côte et 1 131 ha de terres agricoles dont 134 de forêts. Les représentants de certains quartiers ont saisi l’occasion de la séance de travail, tenue samedi, avec le wali à la fin de sa tournée de travail et d’inspection au niveau de toute la daïra de Fouka avec les citoyens des communes de Fouka et Douaouda.

Unanimes dans leurs plaidoyers, exprimant leurs revendications de bénéficier de projets, dont des logements sociaux, les citoyens de ces localités déplorent le ralentissement de certains projets ou encore l’absence d’autres programmes qui tardent à venir.

Les représentants de la commune de Douaouda ville et Douaouda marine estiment que beaucoup sont oubliés dans l’octroi du logement social, notamment les citoyens aux ressources limitées. «Nous sommes de la localité mais nous sommes écartés du logement.

La plupart des citoyens ne peuvent remplir les critères requis par le dispositif du logement participatif. Ce sont des bénéficiaires ‘’étrangers’’ à la localité ou à la région qui en bénéficient. Les projets de logements sont en majorité entre le promotionnel et le participatif. On voudrait un peu d’équilibre», a souligné le représentant de l’association Hai Essaâda de la ville de Douaouda. «Nous n’avons pas de problèmes avec nos responsables locaux. C’est juste un problème d’organisation entre nous, citoyens, suite au manque de motivations et de décisions car nous savons bien que la commune de Douaouda est un pôle touristique et agricole, mais cela ne se voit pas. Pourtant cette ville existe depuis 1948», a-t-il ajouté. Un autre jeune de la même association, nous a fait part, en fin de cette séance, de la mauvaise répartition des logements entrant dans le cadre du dispositif de Résorption de l’habitat précaire (RHP).

«Les constructions illicites et précaires sont toujours occupées, du fait que chaque fois qu’une famille bénéficie d’un logement, elle laisse sa ‘’maison’’ à un autre qui bénéficie à son tour d’un logement social.»

Outre l’implication de la société civile dans les projets, les jeunes revendiquent un centre culturel, une maison de jeunes et des espaces de rencontres. Un autre citoyen demande que tout programme réalisé au niveau de sa commune soit suivi d’un bilan «auquel assisteront les sages de la ville pour arrêter des programmes réalisables financièrement avec la création d’un canal de communication entre citoyens et autorités en amont et en aval».

Ce citoyen a également dénoncé l’accès difficile et impraticable de son quartier du 20-Août, où les enfants doivent se «chausser» de sachets en plastique pour traverser la piste. En réponse, le premier responsable de la wilaya a tenu à rappeler que tous les 15 jours, des réunions se feront avec les P/ APC et chefs de daïra pour exposer tous les problèmes rencontrés. «Désormais tous les projets seront suivis par le Conseil communal et de daïra ainsi que les bureaux d’études. Il appartient au président de la commune d’afficher à chaque fois les réalisations», a-t-il affirmé.

- Les jeunes habitants de Douaouda marine revendiquent des postes d’emploi et l’aménagement de la placette ainsi que la plage Colonel Abbes qui attire des milliers d’estivants chaque année. Cette plage commence à être «nettoyée» des voyous et des agressions, selon le wali qui insiste sur une meilleure exploitation rationnelle de cette plage par de vrais investissements. Les citoyens de toute la commune revendiquent également une maternité pour éviter à leurs femmes les contraintes de déplacements vers Koléa ou Zéralda. Cette situation, selon le président de l’association dans son rapport au wali, a fait que seulement 5 naissances par an sont enregistrées au niveau de l’état civil. Selon le wali, cette maternité n’est pas au programme pour le moyen terme car «construire c’est très facile. Mais le problème réside au niveau du déficit en personnel spécialisé, dont des sages-femmes et des spécialistes. Ce phénomène n’est pas spécifique à la wilaya, mais à tout le pays».

Source Infosoir Souad Labri

Le Pèlerin

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27 décembre 2010 1 27 /12 /décembre /2010 08:05

Algérie - Tipasa : La prise en charge des

SDF a commencé

C’est durant la nuit d’hier que s’est déroulée, pour la deuxième fois en cette période d’hiver à Tipasa, l’opération de prise en charge des SDF (sans domicile fixe) ayant élu demeure à travers les rues du chef-lieu de wilaya. La première initiative a permis à 16 femmes et un enfant d’être accueillis dans une structure à Hadjout.

Selon un employé de la Direction de l’action sociale (DAS), cette mission est dirigée par une commission intersectorielle de wilaya comprenant les services de la DAS, de la Direction de la santé (DSP), de la police ainsi que de la gendarmerie.

Selon lui, elle sera élargie graduellement à d’autres localités de la wilaya, et ce avec la réactivation des commissions intersectorielles au niveau des daïras. «Il faut d’abord souligner que Tipasa, comparativement à d’autres wilayas importantes, ne connait pas en hiver une prolifération importante du phénomène SDF.

A titre d’exemple, l’année dernière nous n’avions recueilli que 9 cas. Cette prise en charge consiste à leur offrir durant l’hiver un toit pour, d’une part, leur éviter des hypothermies et autres problèmes de santé, endémiques en cette saison, et, de l’autre, leur garantir un repas chaud», confie le même interlocuteur. Mieux encore, poursuit-il, «au-delà de ce but, nous essayons d’aider les sans domicile fixe à s’insérer dans leur milieu naturel social, autrement dit rejoindre leurs familles respectives, car dans la quasi majorité des cas, ces derniers sont d’origine d’autres wilayas, et leurs familles ne souhaitent que de les accueillir à nouveau». Néanmoins et comme le confirme un autre employé, il n’est pas facile de convaincre des SDF à intégrer le centre d’accueil. «Parfois on est obligé de faire face à des refus catégoriques de leur part. Alors on tente de les convaincre doucement. Dans la majorité des cas, on y parvient».

Source Horizons Amirouche Lebbal

Le Pèlerin

 

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