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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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26 décembre 2010 7 26 /12 /décembre /2010 10:53

Algérie - Tipasa - Pour une gestion rationnelle du foncier

Tipaza projets

 

En visitant les projets dans les différentes communes de la circonscription, le wali de Tipasa, Mostefa Ayadhi, a soulevé dans chacune des étapes de son déplacement l’absence de rationalité dans l’utilisation des terrains domaniaux. «Notre wilaya enregistre un déficit énorme en matière de foncier», a-t-il indiqué.

«Je n’arrive pas à comprendre pourquoi l’on mobilise des surfaces aussi énormes pour ériger des projets et des équipements publics», a fait remarquer le premier responsable de la wilaya devant les responsables locaux. Le chef de l’exécutif de la wilaya juge ainsi trop disproportionnées les surfaces réservées à la construction d’une urgence médico-chirurgicale (UMC) à Cherchell et d’un hôpital psychiatrique à Nador. «Des espaces peuvent être récupérés et serviront à l’inscription d’autres projets», a-t-il préconisé. L’autre point noir qui a fait l’objet de critiques est l’utilisation jugée excessive du béton dans les projets et les retards cumulés dans la réalisation.

Le wali a ainsi insisté sur le fait que les P/APC concernés devront être présents avec les techniciens le plus fréquemment possible sur les sites pour s’enquérir de l’état d’avancement des chantiers inscrits dans leur commune. Le wali a pris exemple sur le chantier des 8 logements programmés, en annexe d’un établissement pénitentiaire à Sidi Moussa (Nador), pour regretter le fait que ce sont finalement les entreprises de réalisation qui imposent leur planning à l’administration. Avant de quitter le chantier, il a instruit le directeur du logement et des équipements publics (DLEP) de reprendre l’échéancier du chantier pour en accélérer la cadence.

Source El Watan M'hamed Houaoura

Le Pèlerin

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 08:11

Tipasa: 4 et 5 ans de prison à l'ex-maire de Menaceur et l'ex-SG de l'APC

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Quatre ans de prison ferme pour A.A. ex-P/APC de Menaceur dans la wilaya de Tipaza et 5 ans à l'encontre de B.A., ex-secrétaire général de la même commune, tel a été le verdict prononcé par le tribunal criminel près la cour de Blida au cours de son audience du mardi dernier à l'encontre de ces deux ex-gestionnaires de l'APC de Menaceur, commune sise dans la wilaya de Tipasa.

Ces derniers ont été accusés de dilapidation de deniers publics, faux et usage de faux documents officiels avec usurpation d'identité. A l'origine , cette affaire fut provoquée par un retrait de confiance des membres de l'APC à l'encontre de leur président. Ces membres de l'APC de Menaceur avaient préalablement informé le wali des raisons qui les ont amenés à prendre cette décision, portant sur les agissements douteux et illégaux du président d'APC et de son secrétaire général.

Une enquête fut alors diligentée par l'inspection générale de la wilaya de Tipasa puis par les services de sécurité qui découvrirent que les deux inculpés avaient, entre 2002 et 2007, imité les signatures des membres de l'APC sur les registres des réunions, en plus de celles concernant des documents relatifs à la concession d'un local ou encore des ventes de matériel réformé aux enchères. C'est alors qu'il a été découvert que des factures d'achat de diverses fournitures ont vu leurs montants augmenter de façon anormale, comme celle concernant la réparation d'un véhicule de l'APC pour un montant de 23 millions de centimes, sachant qu'il aurait pu être réparé au niveau du parc de l'APC. Des accusations furent portées aussi contre les deux inculpés qui avaient exigé des pots-de-vin à des citoyens pour l'obtention de logements ou d'autres droits. Plusieurs spécimens de signatures ont été expertisés par le laboratoire de la police qui avait découvert qu'elles étaient fausses sur la base d'indications et des preuves fournies à ce sujet par les membres de l'APC qui avaient contesté leur authenticité. L'expert financier désigné pour vérifier les factures entre 2002 et 2007 découvrit que la plupart d'entre elles étaient non conformes, soit incontrôlables ou ne comportant pas de visa ou de date.

Au terme de son réquisitoire, le représentant du ministère public requit une peine de 20 années de prison ferme contre chacun des deux accusés. Le tribunal, après délibération, condamna à des peines de 4 et 5 ans de prison ferme l'ex-P/APC et l'ex-SG de l'APC de Menaceur.

Source Le Quotidien d’Oran L. Houari

Le Pèlerin

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 07:55

Tipasa : Deux appareils de chauffage défectueux tuent un homme et sa mère

wilaya-de-tipasa.jpg

Depuis le mois de novembre à ce jour, le monoxyde de carbone (CO), émanant des appareils de chauffage, a tué deux personnes et provoqué une asphyxie dangereuse pour quatre autres sauvées de justesse, suite à l’intervention de la Protection civile.

«Les corps sans vie des deux victimes décédées, un homme de 65 ans et sa mère âgée de 92 ans, ont été découverts, selon le lieutenant Michalikh, chargé de la communication à la direction de la Protection civile de Tipasa, le 15 décembre dernier dans leur domicile familial, situé dans la commune de Bou-Ismail.

«Nous les avons retrouvés à 10h10.  L’homme était  dans une chambre. Sa mère quant à elle a été découverte morte dans la salle de bain. Leur décès a été causé par le monoxyde de carbone émis par le chauffage et le chauffe-bain»,  précise l’officier. Deux jours après ce drame, deux personnes résidant dans le quartier Sidi Abdelkader ont failli perdre la vie suite à l’inhalation des émissions de monoxyde de carbone d’un appareil de chauffage. Un cas similaire s’est produit en novembre dernier dans la ville de Cherchell où deux personnes ont été sauvées d’une asphyxie. «Ce qu’il faut savoir est que le monoxyde de carbone est un gaz hautement toxique qui hélas est indétectable, car il est inodore et incolore», prévient le lieutenant Michalikh. «Pour éviter sa propagation dans un environnement clos, à l’instar des maisons, il faut prendre des précautions simples mais très efficaces. Notamment, effectuer au minimum une fois chaque année, un nettoyage (ramonage) des conduits et cheminées. Avoir le réflexe d’aérer l’intérieur de l’habitat, et aussi respecter les consignes d’utilisation des appareils de chauffage, tout en les faisant vérifier, au moins une fois par an aussi, par des professionnels».

Toujours à propos des dangers du monoxyde de carbone, Isahli Fella, chargée de communication à la direction de Tipasa de la société de distribution d’électricité et de gaz (SDA) tient elle aussi à rappeler que 0,1% de CO2 dans l’air peut provoquer une mort après une exposition d’une heure seulement, alors qu’une concentration à hauteur de 10% engendre le décès dès la première inhalation.

«Le danger du monoxyde de carbone, qui résulte de la combustion d’une énergie inflammable incomplète, réside dans le fait que ce gaz prend la place de l’oxygène dans le sang. Une fois la personne est intoxiquée, elle risque une asphyxie et même une mort certaine, si elle n’est pas secourue à temps», prévient-elle. Par ailleurs, les deux interlocuteurs précisent que des campagnes de sensibilisation contre les risques d’intoxication au monoxyde de carbone et les dangers d’explosion de gaz naturel sont régulièrement menées, notamment avant le début de la saison hivernale, à travers tout le territoire de la wilaya.

Source Horizons Amirouche Lebbal.

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 00:44

Algérie - Ambitieux programmes de logements pour Attatba et Koléa

5 kolea aerien

 

Plusieurs programmes de logements, lancés au profit des villes de Attatba et Koléa, viennent d’être réceptionnés. Outre les projets des logements ruraux, la ville avait mis en chantier trois importants programmes de construction de logements sociaux locatifs. 30 logements sur un ensemble de 1 000 logements sociaux locatifs au profit de toute la daïra de Koléa, lancés en 2008, viennent d’être réceptionnés. Il s’agit de trois bâtiments de 15 F2 et de 15 F3 construits sur un terrain domanial de 3 280 m2. Ces logements d’un coût global de près de 4 milliards de centimes, prévus pour être réceptionnés dans un délai de 12 mois, ont accusé un important retard. 20 logements sociaux locatifs sur les 300 prévus pour toute la daïra de Koléa – deux bâtiments de 10 F2 et de 10 F3, dont le prix avoisine trois milliards de centimes – ont été, eux aussi, réceptionnés. Le troisième programme de 40 logements sociaux locatifs concerne un lot de cinq bâtiments de type F2 et F3, construits sur un terrain agricole de 2 500 m2, dont le prix de construction est de cinq milliards et demi de centimes. Ce dernier programme, prévu pour être réceptionné en mars 2008, a aussi accusé du retard et a été réceptionné récemment.

Source le Soir d’Algérie Larbi H.

Le Pèlerin

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 09:08

Algérie - Tipasa -La vie sur les navires en débat

cherchell-panorama rocher-blanc.jpg 

Les conditions de vie sur les navires et bateaux de commerce constitue le thème d’un séminaire national, ouvert, hier, lundi, par les responsables de l’Ecole supérieure maritime de Bou Ismaïl en présence de spécialistes venus de Béjaïa, de Batna et d’Alger. Cette rencontre scientifique, qui regroupe des universitaires, des spécialistes des questions de sécurité sur les navires et du droit ainsi que des professionnels du secteur maritime, vise à débattre des différents problèmes auxquels sont confrontés les gens de la mer et de leur quotidien sur les bateaux, marqué par de nombreux accidents qui peuvent être évités pour peu que l’on respecte un minimum de règles. Pour les organisateurs, ce thème est d’autant plus important à débattre que, selon l’Organisation maritime internationale(OMI), 80% des accidents enregistrés sur les navires sont dus à des facteurs humains, tandis que 20% sont liés à des facteurs extérieurs. L’objectif principal de cette rencontre est d’attirer l’attention, et même d’alerter sur la nécessité de mettre en place une démarche de prévention et de veiller à créer des conditions de travail viables pour l’ensemble du personnel de bord des navires commerciaux. Ce n’est malheureusement pas le cas aujourd’hui, selon les organisateurs qui précisent que «la situation est marquée par une concurrence déloyale entre les armateurs, qui se joue sur le registre de la sécurité, des soins médicaux, de la nourriture à bord et des salaires». Ce séminaire traitera notamment des conditions requises pour le travail à bord des navires et de l’emploi des gens de la mer, de la protection sanitaire, de la question du logement des marins et des loisirs proposés sur les navires. Les travaux de ce séminaire sont axés sur trois approches, à savoir une pédagogie basée sur la formation et le management du risque, une deuxième juridique et une troisième sociologique. A signaler que la cérémonie d’ouverture a été présidée par Abdelkrim Rezzal, directeur central chargé des études et de la formation au ministère des Transports.

Source Infosoir R.L. / APS

Le Pèlerin

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 08:46

D’importants projets touristiques viennent enrichir le secteur du tourisme au niveau de la région de Cherchell.

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Le premier projet d’aménagement dénommé «Projet Cap rouge», qui s’étend sur une superficie de 48 ha comprenant un immense complexe hôtelier de haut standing structuré autour de petits hôtels de 600 lits chacun, de niveau trois étoiles, est toujours à l’état de construction depuis quelques années et toujours non finalisé à ce jour. Cet espace touristique qui prévoit aussi la construction d’un village artisanal regroupant toutes les activités artisanales et culturelles axées sur le tourisme et la préservation de l’art local, (gastronomie, poterie, musique, etc.), est lui aussi dans l’attente de sa réalisation. Un immense chantier qui reste à réaliser. Un autre programme d’envergure touristique situé à l’est de la ville de Cherchell est dans l’attente de potentiels promoteurs touristiques depuis plusieurs années. Plusieurs noms de promoteurs célèbres sont avancés, mais aucune proposition concrète n’est avancée. Certaines indiscrétions ont avancé le nom d’un important industriel algérien, qui se serait rétracté à cause du montant exorbitant de la caution, et qui, selon ces sources, dépasserait plusieurs milliards. Il s’agit de l’immense zone d’expansion touristique de Hamdania (ZET), située à 10 km de la ville et qui s’étend sur une superficie de 182 ha. Pour cette zone, il est prévu la création d’un port de plaisance, d’une zone hôtelière, d’une zone résidentielle avec villas et bungalows, d’une zone sportive avec terrain de sport en plein air, d’une zone commerciale, d’un théâtre de plein air, d’une salle des fêtes, des piscines et des espaces verts, parkings, etc. Hélas, à ce jour, ce sont des vœux pieux. Pourtant, ces projets touristiques sont à même de générer des milliers d’emplois pour toute la région de Tipasa. A qui incombe la décision finale de relancer réellement le tourisme local ? Plusieurs élus locaux rejettent la balle à un niveau supérieur. Quant à la zone d’expansion touristique de Oued Bellah, située quant à elle à 2,5 km de Cherchell, elle couvre plus de 102 ha et s’étend de cap Blanc à la pointe Riad.La plage de cette zone pourrait accueillir 3 000 baigneurs par jour et permettre le développement de plusieurs formes de tourisme. Dans cette zone touristique est prévu un espace hôtelier de plus de 70 000 m2, comprenant des appartements et hôtels de type quatre étoiles, une zone sportive de près de 12 000 m2 et une zone commerciale de 10 000 m2. La région de Tipasa reste toujours dans l’attente d’une décision salutaire au profit du tourisme local.

Source le Soir d’Algérie Larbi H.

Le Pèlerin

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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 00:51

Algérie - Tipasa - «Le danger de l’anarchie urbanistique»

tipasa_construction.jpg

 

Tipasa l Afin d’éviter la boue et les gravats charriés par les pluies, la wilaya de Tipasa devrait être protégée de l’anarchie urbanistique. Selon le directeur de l’hydraulique, Youcef Gabi, que nous avons rencontré en marge d’une visite de travail et d’inspection du wali à Gouraya, on ne devrait plus parler de «protection des villes contre les inondations, mais plutôt de protection des villes de la wilaya contre l’anarchie urbanistique». «Il faut qu’il y ait un meilleur contrôle des pluies qui entraînent boue et gravats». M. Gabi se désole de voir que certains citoyens construisent sur le lit des oueds dits talwegs. Ce ne sont pas des oueds au sens propre du terme, mais des chaâbate». Parfois, on y trouve même certaines structures publiques», se désole-t-il. «Cela risque de mettre des vies en danger.» M. Gabi rappelle qu’«il n’y a pas de villes cuvettes dans la wilaya de Tipasa. Toutes les villes sont situées sur le flanc des collines en pente vers la mer. L’eau ne stagne pas. Mais ce qui gêne le plus, ce sont les coulées de boue que nous recevons depuis des talwegs qui se trouvent tout au long de la zone côtière allant de Douaouda à l’Est jusqu’à Damous à l’extrême Ouest». Gênées par les constructions, les eaux de pluies s’évacuent vers la mer, entraînant avec elles boue et gravats comme cela a été le cas pour la commune de Bouharoun, le 27 septembre 2009, où les pluies avaient charrié 60 000 m3 de boue. «Or, nous avons réalisé des projets et des canaux. Ces derniers étaient destinés à recevoir de l’eau de pluie, mais pas des tonnes de mètres cubes de boue, des gravats, des ceintures de béton armé, des murs de clôture», reprend M . Gabi, appelant à une meilleure discipline urbanistique. «L’écoulement des eaux pluviales est un problème d’aménagement urbain plus qu’un problème de protection des villes contre les inondations».

Source Infosoir Soual Labri

Le Pèlerin

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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 00:49

Aghbal (Gouraya) - Deux nouveaux forages en 2011

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Faute de nappes, les citoyens de la commune de Aghbal sur les hauteurs de Gouraya, souffrent d’un déficit en eau potable et d’irrigation.

Alimentée à partir des puits situés en pleine montagne, la commune de Aghbal qui se trouve à plus de 11 km du chef-lieu de la daïra de Gouraya et compterait plus de 7 121 ha, selon le dernier recensement de 2008 répartis sur 14 douars, bénéficiera à partir de l’année prochaine, de deux nouveaux forages pour la récupération et le captage des eaux souterraines, pour réduire ce déficit et renforcer l’alimentation actuelle en eau, selon le directeur de l’hydraulique de la wilaya de Tipasa, Youcef Gabi. Néanmoins, la solution finale du problème d’alimentation en eau potable dans cette commune et d’autres localités de l’ouest de la wilaya en l’occurrence les daïras de Gouraya et Damous, ne viendra, selon notre interlocuteur, que dès la finalisation du barrage de Kef Eddir en cours de réalisation à Damous.

«L’appel d’offres a été lancé par l’Anbt pour l’étude du transfert à partir de ce barrage», nous a informés le directeur de l’hydraulique. Selon le vice-président de la commune, M. Bouyacoub, quatre forages sont inscrits dans le cadre de l’actuel quinquennat 2010-2014 pour régler le problème d’eau. «Actuellement, on utilise des citernes à travers plusieurs douars. Certains quartiers, à l’image de Khirnass, Beni Nadhor, Bouaiche et Solaya, n’ont plus de problème d’eau», nous a-t-il souligné. Lors d’une récente visite de travail et d’inspection du wali de Tipasa à la localité de Aghbal, le président de l’Assemblée populaire communale, Khaldi Belkacem, avait présenté le problème de l’eau potable et d’irrigation dont souffrent ses citoyens ainsi que celui de la dégradation des routes. «Le temps de nous brancher au barrage de Damous, actuellement, nous procédons à l’aménagement des sources et des forages. Pour les douars les plus distants, nous leur avons acheminé l’eau potable par camions-citernes».

Le maire de cette commune a également parlé des contraintes des agriculteurs qui ne sont soulagés que durant l’hiver grâce à la pluviométrie «mais les mois d’août et septembre sont très durs pour eux. Je propose l’installation de grands bassins pour la collecte d’eau et des semi-barrages pour leur permettre d’irriguer leurs arbres fruitiers durant cette saison chaude de l’année». En outre, la même commune recense, selon notre interlocuteur, 25 km de chemins en piteux état, inscrits, pour leur revêtement, dans l’actuel plan quinquennal.

D’autres projets sont en cours dont une antenne administrative, une demi-pension au niveau du CEM du chef-lieu de la commune, une cantine scolaire à l’école Belaâfia, la réfection de l’école de Chehafa, l’extension du siège de l’APC et enfin trois opérations d’extension et d’assainissement dans le cadre du Programme communal de développement au profit des douars Belaâfia, Solaya et Beni Nadhor.

Source Infosoir Soual Labri

Le Pèlerin

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 08:15

Sites archéologiques de Tipasa - Le plan de sauvegarde adopté

ruines romaines tipasa

 

Ce plan a été réalisé en collaboration avec les experts et sur la base des recommandations de l’Unesco.

La 3e phase du Plan permanent de mise en valeur et de sauvegarde des sites archéologiques (Ppmvsa) de la commune de Tipasa vient d’être adoptée par la session ordinaire de l’APW. Pour le wali, l’étude de ce plan pilote constitue «un signe que toutes les périodes historiques de notre pays sont défendues et doivent être sauvegardées afin de laisser à nos enfants des vestiges, témoins de ce passé et non pas seulement des cartes postales de ce patrimoine».

Pour éviter tout malentendu quant à la finalité et aux objectifs du Ppmvsa, le wali a invité les responsables de la culture à organiser des journées d’information et de sensibilisation sur les trois phases du plan en direction des citoyens, voire même des portes ouvertes «sur la nécessité de préserver le patrimoine qui est notre mémoire collective».

La wilaya, a-t-il dit, «est prête à financer des sorties pour les enfants» sur les sites historiques «afin de mieux les sensibiliser sur la nécessité de préserver cet héritage».

Les responsables locaux, a-t-il ajouté, doivent être intransigeants et inflexibles quant au respect de la réglementation relative à la protection des vestiges historiques et culturels.

Le directeur de la culture, M.Hocine Ambès, a présenté les grandes lignes de ce plan réalisé en collaboration avec les experts et sur la base des recommandations de l’Unesco dont l’objectif principal, a-t-il expliqué, est de protéger la cité historique dont une grande partie est classée sur la liste du patrimoine mondial depuis 1982. La première phase de ce Ppmvsa, qui a nécessité une enveloppe financière globale de 15 millions de DA, a permis de faire un diagnostic de la situation des sites archéologiques classés de Tipasa (les parcs archéologiques romains Est et Ouest et le mausolée royal de Maurétanie) et de proposer des actions urgentes à lancer pour leur préservation et leur mise en valeur dans le cadre d’une exploitation durable de cette mémoire collective et ce, à travers un plan de gestion.

Le plan, confié au bureau d’étude Cneru, a fait l’objet, par la suite, d’une présentation des grandes lignes des trois phases par l’architecte Youcef Chenaoui, qui a rappelé, qu’il a été tenu compte des recommandations des experts de l’Unesco au moment de la levée des réserves sur le site de Tipasa classé en 2002 sur la liste du patrimoine en péril en raison de nombreuses dégradations constatées suite aux différentes extensions urbaines.

La réalisation du Plan de sauvegarde de Tipasa et de Cherchell, qui est en cours, a pour objectif de sauver le centre historique constitué, pour la ville de Tipasa, des deux parcs archéologiques, du musée et du mausolée royal de Maurétanie dont les zones tampon ont été arrêtées définitivement. Un plan de développement adapté aux spécificités de la ville et mettant en valeur ses atouts culturels et historiques a été proposé.

Prenant en considération le développement et l’urbanisation inéluctables des villes, le plan de sauvegarde sera un instrument intégré dans le Pdau et un moyen de les protéger ou du moins d’atténuer les effets des dégradations et autres atteintes directes ou indirectes aux sites classés tout en instituant des zones interdites à la construction et des servitudes.

Le plan en préparation, depuis 2004 par le Cneru, vise à délimiter les zones contenant les vestiges et monuments importants afin de préserver l’authenticité du site, celles dites tampon (proches des vestiges) et à proposer des constructions et aménagements qui collent aux spécificités de la zone tout en valorisant ces sites à travers un plan de gestion.

Le Ppmvsa sera présenté aux experts de l’Unesco lors de son assemblée générale qui se tiendra en février 2011 avant d’entrer en application en Algérie qui a entièrement financé les plans de Tipasa et de Cherchell en cours d’étude.

Source L’Expression R.C.

Le Pèlerin

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 04:42

APW de Tipasa : Malentendus autour du logement

Tipaza projets

 

Une superficie de 37,3624 hectares relevant du domaine agricole de la wilaya de Tipasa (hors surface agricole utile) a été récupérée au profit de nouveaux projets de développement à travers 16 communes sur les 28 que compte la wilaya.

Ces nouvelles assiettes de terrain permettront le lancement d’un programme d’habitat de 2100 LPA (logements participatifs aidés) et 1300 logements selon la formule CNEP/banque.

Toutefois, si l’inscription  de ce programme de logements a reçu l’aval de l’ensemble des élus, les deux projets LPA, dont l’implantation est prévue à Douaouda (500) et à Koléa (100), n’ont pas été entérinés par le groupe RCD de l’APW. « Nous avons voté contre l’inscription du projet des 500 LPA (ex LSP) à Douaouda pour des considérations d’intérêts de développement local et de la population de la commune. En clair, en 2006, Douaouda a bénéficié d’un programme similaire de 1200 unités. Malheureusement 90% des bénéficiaires sont issus d’autres wilayas, au moment où l’urgence, selon la législation, exige que les prétendants potentiels doivent être recrutés prioritairement parmi les résidents de la commune, d’autant plus qu’une crise de logement couve Douaouda », souligne Bellizim Ouahid, élu RCD à l’APW. Et d’ajouter :« la deuxième considération est inhérente à l’exploitation à long terme des instruments urbanistiques, notamment du PDAU de Douaouda, adopté en 2006, censé prendre en charge des projets multisectoriels pour le développement de la commune. Compte tenu de son exploitation abusive, on sera obligé à court terme de le réviser». S’agissant des 100 logements LPA de Koléa affectés pour le personnel de la compagnie d’Air Algérie, le même interlocuteur considère que ce type de projet devrait être réalisé au profit des habitants de la wilaya. «La législation ne prévoit pas l’affectation d’un quota de logements à des organismes ou bien à des secteurs bien précis. Ce sont des programmes destinés pour atténuer la forte demande exprimée par la population locale» précise l’élu.

Toujours dans le cadre de la conversion des terres agricoles, l’APW a adopté l’inscription de plusieurs projets de développement dont le marché de gros de Cherchell, des salles de soins, cinq mosquées, des terrains de proximité, bureaux de poste, annexes administratives ainsi qu’un groupe scolaire.

Source Horizons  Amirouche Lebbal

Le Pèlerin

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