Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
  • Contact

De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

Recherche

Archives

4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 10:24

Algérie - En partenariat avec des constructeurs automobiles allemands : Le groupe émirati Aabar produira des véhicules en Algérie
voitures-algerie-copie-1.jpg

Le Conseil d’administration de la firme Aabar a décidé de s’engager, à hauteur de  24, 5% dans un projet de réalisation d’un projet industriel en Algérie.  Ce qui n’est pas moindre comme volume d’investissement direct étranger (IDE). Le groupe émirati «Aabar Investments» a finalement confirmé, sa décision de participer à la construction d’une usine de véhicules en Algérie, en partenariat avec le gouvernement algérien et cinq firmes allemandes.
Il s’agit des sociétés germaniques Daimler, Ferrostaal, Deutz, Rheinmetall et le motoriste MTU, selon un communiqué rendu public.  Certaines sources proches  de la Chambre algéro-allemande de l’industrie et du commerce, confirment entre autres, la marque Mercedes pour les véhicules de type utilitaire. Le Conseil d’administration d’Aabar, groupe originaire des Emirats arabes unis, a décidé de s’engager donc à hauteur de 24,5% dans le capital du joint-venture qui devrait produire, selon la même source, quelque 10 000 véhicules par an. La production est destinée, en partie, au marché local algérien.  Mais le reste des véhicules sera  destiné à l’exportation.  Ce qui ne manquera  pas de booster  et de diversifier l’économie nationale hors hydrocarbures. Le montant des travaux de construction de l’usine n’a pas été  encore précisé.Mais certaines sources l’évaluent, selon le communiqué, à plus de 700 millions de dollars. Les travaux de la construction de l’usine seront entamés cette année.
Mais aucun délai de réalisation n’a, à ce jour, été avancé, rapporte le même communiqué. Enfin, le nom du site sur lequel sera bâtie cette usine n’a pas été, non plus, rendu public. Les noms de Tiaret, Aïn Smara et Oued Ahmimine,  localités situées dans la région de Constantine, ont été avancés, selon certaines sources de la Chambre algéro-allemande.
Un responsable  du ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements (MIPI) ne voulait ni infirmer les informations ni les confirmer. Mais le projet de la réalisation d’une filière automobile en Algérie se concrétisera, dit-il, avant la fin de l’année 2010.  La décision d’Aabar intervenant après l’annonce de négociations entre le groupe Renault et les autorités algériennes en vue de l’implantation d’une usine de production de 50.000 véhicules destinés au marché local confirme ainsi l’intention du gouvernement algérien de se lancer dans la construction d’une filière d’industrie automobile.
Mais la différence est de taille entre les deux projets. Alors que Renault-Dacia annonce la destination de la totalité de la production des véhicules pour le marché national, le groupe Aabar Investments ne parle que d’une partie seulement. L’exportation des véhicules est donc envisagée par les constructeurs.
Source Horizons Meziane Atmani.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 10:04

Algérie - Promotion de la participation de la femme dans la vie politique : La loi organique est fin prête, souligne Mme Nouara Saâdia Djaâfer
Nouara_Djaafer.jpg

« Le projet de loi organique relatif à la promotion de la femme dans les assemblées élues est fin prêt et est est actuellement sur la table du gouvernement », a indiqué la ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine, Mme Nouara Saâdia Djaâfar.
Lors de son intervention sur les ondes de la chaîne I, elle a précisé que l’adoption de cette loi donnera effet à l’application de l’article 31-bis de la Constitution qui stipule la promotion de la participation de la femme dans la vie politique. « Cet article ne peut être appliqué avant l’adoption de la loi organique. Cela fait une année qu’elle est en préparation», souligne la ministre.
Ayant fait l’objet de discussions dans le cadre de la commission constituée de juristes, des universitaires, des représentants de la société civile et du ministère délégué chargé du dossier de la Femme, le projet de loi a été transmis au ministère de la Justice pour validation. Il est nécessaire de rappeler que c’est le département de Tayeb Belaïz qui a été chargé par le président de la République le 8 mars dernier d’installer une commission et de chapeauter l’opération d’élaboration de la loi organique. Selon la ministre, le projet de loi a eu un écho favorable auprès de la classe politique.
«Cette loi les incite à donner plus de chances à la femme de participer dans la prise de décision et d’avoir un rôle efficient dans la société », souligne Mme Nouara Djaâfer. Tout en déplorant la « modeste » participation de la femme dans la vie politique, l’invitée de la radio estime que la responsabilité incombe aux partis politiques qui devront, selon elle, ouvrir des opportunités et assurer l’équité dans les droits entre leurs militants. « Il n’est plus acceptable que la femme se positionne à la seconde place ou qu’elle reste considérée comme un élément de complémentarité.
A mon sens, elle doit être une politicienne à part entière », a indiqué la ministre avant d’ajouter que les décideurs au niveau des formations politiques doivent prendre conscience du rôle important de la femme. Pour la ministre, le blocage ne se situe pas au niveau des textes de lois puisque la volonté de mettre cette catégorie de la société au-devant de la scène politique  existe mais c’est au niveau des partis politique. La preuve, le peu de femmes figurant en tête de liste lors des élections, a-t-elle dit. Et d’ajouter que la présence de la femme au parlement ne représente que 7,8% des membres de l’APN et 5% de ceux du Sénat. Dans l’administration, elles occupent 36% des postes. Le système de quotasconstitue, selon l’invitée de la radio, un passage obligé mais qui ne « doit pas durer dans le temps ». Le parlement autant que les médias ont un rôle à jouer dans ce cadre. Optimiste, la ministre a indiqué que « la prochaine étape sera meilleure et verra l’émergence d’une concurrence pour l’intégration de la femme dans la vie politique ». En guise de conclusion, elle a souligné que le président de la République a « tenu ses engagements », citant ainsi la désignation de 4 femmes dans le tiers présidentiel du Sénat.
Source Horizons
Wassila Ould Hamouda.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 08:10

Algérie - Zidane et son père reçus à la Présidence
zidane-bouteflika.jpg

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a reçu hier à Alger l'ancien footballeur international de l'équipe de France, d'origine algérienne, Zinedine Zidane. Cette rencontre qualifiée de conviviale a été marquée par la présence du père de la star mondiale du football et des deux frères du président, MM. Saïd et Mustapha. C'est ce qu'indique un communiqué de la présidence de la République, qui en précisant que les deux frères du président étaient présents à cette rencontre, met un terme aux rumeurs qui circulaient ces derniers jours, un peu partout, faisant état du décès d'un membre de la famille Bouteflika.
Zinedine Zidane se trouve depuis lundi à Alger où il a pris part avec l'équipe de France championne du monde en 1998 à un tournoi de l'Amitié algéro-française de futsal (football en salle) contre les sélections d'Algérie de 1982, 1986 et 1990.
L'ancienne star de la sélection française de football et du Real Madrid, Zinedine Zidane, a été accueillie à son arrivée à l'aéroport international Houari Boumediène par le ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Hachemi Djiar, et le président du Comité olympique algérien (COA), M. Rachid Hanifi. L'ex-capitaine des «Bleus» était accompagné de son père, de ses frères, de Bernard Lama, de Christian Karembeu, de Michel Hidalgo et l'ex-joueur international algérien Noureddine Koraichi. C'est la deuxième fois depuis qu'il a pris sa retraite en juillet 2006, après le Mondial en Allemagne, que Zidane séjourne dans le pays d'origine de ses parents. La famille de la star est originaire d'un village de Béjaïa, en petite Kabylie. Zidane s'était déjà rendu en Algérie en décembre 2006 sur invitation du président Abdelaziz Bouteflika.
Source Le Quotidien d’Oran Djamel B.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:54

Algérie - Alimentation en eau potable d’Alger : 98,2% de la population desservie H24
eau-alger.jpg

Alger est « complètement sécurisée » en matière d’eau selon les responsables de l’hydraulique. La wilaya d’Alger a organisé une visite des chantiers au profit des élus de l’APW.
La première halte de la délégation conduite par le SG de la wilaya a eu lieu sur le chantier du collecteur intercommunal (CIC) dont la livraison est toujours reportée. L’occasion pour les responsables de l’hydraulique de rappeler la promesse « non encore tenue » d’atteindre une alimentation sans interruption à Alger. « 98,2% (56 communes) de la population sont alimentés aujourd’hui H24. La commune de Rahmania est desservie au quotidien, alors que quelques autres localités du sud d’Alger, telles que Oued Chebel, Baba Ali, Saoula, D’Himat, Houaoura et Raïs à Sidi Moussa, sont alimentées soit au quotidien, soit un jour sur deux », a précisé Ramdane Kerbadj, chef de service AEP à la direction de l’hydraulique, qui explique cette situation par le retard pris dans le transfert de gestion des eaux des communes et, quelques fois, de particuliers à Seaal, chargée de la gestion déléguée des eaux.
Le chef de service reconnaît aussi l’existence de « points noirs » dans des communes alimentées en continu dûs en grande partie à la vétuste du réseau dans l’hypercentre urbain. « Plusieurs autres quartiers d’Alger-Centre connaissent des perturbations dues aux réseaux vieux et jamais remplacés. Nous avons constaté que nous devons remplacer 400 km du réseau au centre-ville », assure-t-il. Pour les responsables de l’hydraulique, Alger est « complètement sécurisée car, en plus de l’apport des barrages de Keddara et Taksebt, la capitale est alimentée à partir de la station de dessalement et de 200 forages situés surtout à l’est et au sud d’Alger. Un plan de lutte contre les inondations est par ailleurs mené. A Bab El Oued, le collecteur de Oued M’Kacel connaît un taux d’avancement jugé ‘‘appréciable’’ ». Il en est de même de quelques projets à la périphérie : à Mahelma, un projet de dédoublement du collecteur de Mahelma, qui traverse la ville de Zeralda, a été lancé.
« L’installation du monolithe avance bien. Nous en sommes à des taux d’avancement très appréciables. Il faut se rappeler qu’en 2007, de graves inondations ont touché le bidonville qui se trouvait sur le lit de l’oued Bab El Oued. Les 200 familles qui s’y trouvaient ont été complètement relogées. Le projet d’un collecteur a été inscrit en 2009, et lancé la même année », s’enorgueillit-on.
Source El Watan Nadir Iddir
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:49

Algérie - Tipasa. Nouveau complexe culturel : Un espace de choix
tipasa-centre-culturel.jpg

Au bord de la Méditerranée et au pied du mont Chenoua, vient d’être érigé un complexe culturel baptisé du nom du célèbre chef d’orchestre et maestro, Abdelwahab Salim, en dépit de l’adversité et de l’hostilité d’un environnement.
Cet espace, autrefois lugubre et en pleine dégradation, aura été durant des années un nid pour les maux sociaux et une destination discrète pour les parasites. La transformation de cet espace situé le long de la corniche du Chenoua en un lieu d’épanouissement des citoyens de 7 à 77 ans, favorisant ainsi les échanges culturels au pluriel, dans le chef-lieu de la wilaya de Tipasa, constituera sans aucun doute un des acquis pour cette wilaya, qui a tant besoin d’une multiplication des activités culturelles diverses. L’imposant édifice, qui n’échappe pas aux regards des passants qui empruntent la route de la corniche du Chenoua, est coiffé d’un dôme, pour permettre aux astronomes de scruter le ciel et de pénétrer dans ses secrets.
Une enveloppe d’un montant de 310 millions de dinars a été consacrée pour sa construction. Son équipement aura nécessité un autre apport financier de 50 millions de dinars, pour doter le planétarium d’instruments, aménager et équiper les salles, l’acquisition des équipements bureautiques et informatiques, l’achat des instruments et matériels de musique et des ouvrages pour la bibliothèque et enfin pour l’installation de la climatisation. La grande salle de conférences d’une capacité de 300 places est pourvue d’une acoustique remarquable.
Les galeries répondent aux normes internationales pour abriter des expositions d’art plastique et visuel. L’ensemble du complexe culturel du Chenoua est relié au système internet. La médiathèque, le cyberespace, la bibliothèque (150 places), le théâtre de verdure (1000 places), un salon de thé, une terrasse avec une vue sur la mer et la ville de Tipasa et un parking souterrain sont autant de refuges qui ont été incrustés dans ce bâtiment construit pieds dans l’eau. Le secteur des travaux publics a alloué une enveloppe d’un montant de 50 millions de dinars pour le traitement de la façade maritime et l’aménagement d’une terrasse.
Cet édifice a été confié à la direction générale de l’ONCI (Office national de la culture et de l’information) d’Alger. La difficulté résidera irréfutablement dans son entretien, car l’avenir de ce joyau, un véritable patrimoine immobilier du secteur de la culture, dépendra de la bonne volonté des responsables de l’ONCI. La wilaya de Tipasa peut s’enorgueillir de ce nouveau-né réalisé, faut-il le souligner, depuis très peu de temps.
Source El Watan M’hamed H.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:42

Algérie - Une pagaille indescriptible au stade du 5 juillet : Le football « victime » de sa réussite
le-stade-du-5-juillet.jpg

De mémoire de sportifs et supporters, jamais un match de football n’a suscité, en Algérie, un tel engouement qu’hier pour la rencontre amicale Algérie-Serbie. Dès les premières heures de la matinée, le stade du 5 Juillet a été pris d’assaut par des dizaines de supporters, munis ou pas du fameux sésame (ticket), qui voulaient coûte que coûte assister au rendez-vous footballistique.
Ce football-mania aussi inattendue que surprenant a pris de vitesse les organisateurs, eux-mêmes, débordés par la très forte demande qu’ils ne pouvaient satisfaire. Il y a eu une explosion en matière de demandes. Malheureusement, elles ne pouvaient être complètement satisfaites en raison de la faible capacité d’accueil du stade cité qui « offrait » 56 000 places, alors qu’il y avait au moins plus de 100 000 candidats-spectateurs qui voulaient suivre le match.
Un observateur, qui a ses habitudes au stade du 5 Juillet, croisé hier matin aux alentours du complexe olympique, a lancé : « Le football ne va pas pouvoir capitaliser cet élan de sympathie né de l’épopée de Khartoum à cause des insuffisances en matière d’infrastructures d’accueil des spectateurs. Le réveil risque d’être dur. Les gens qui n’auront pas eu la chance de trouver une place dans les tribunes vont se désintéresser du football. L’engouement extraordinaire qu’il y a eu autour de ce match amical (Algérie-Serbie) prouve deux choses essentielles : d’abord, les Algériens se sont réconciliés avec l’équipe nationale, ensuite ils découvrent effarés qu’ils ne peuvent pas se rendre au stade pour supporter les Verts... faute de places. » C’est le comble pour des citoyens qui surfent sur une vague de bonheur offerte par des joueurs algériens tellement décriés auparavant. Bref rappel. Il y a deux ans seulement, l’Algérie affrontait le Soudan en match amical au stade du 5 Juillet. A l’époque, il y avait environ 200 irréductibles supporters des Verts dans les gradins.
La victoire (1-0) ramenée d’Omdurman au Soudan face à l’Egypte, lors du match d’appui qualificatif à la Coupe du monde 2010, a complètement bouleversé les données. Les supporters se sont identifiés à leurs idoles (joueurs), le commerce de la chanson sportive a dépassé toutes les prévisions, les foyers ne vibrent que pour le football, les enfants rêvent tous d’être Ziani, le marché de l’habillement sportif a prospéré au point de mettre, de nouveau, en péril la survie en Algérie de la marque de l’équipementier officiel de la fédération (Puma), de grandes boîtes accompagnent désormais la fédération en tant que partenaires et sponsors. Les joueurs signent des contrats à tour de bras avec des sponsors. Les médias ne sont pas restés en marge de ce tableau. Quotidiennement, ils narrent les faits et gestes des joueurs qui évoluent à l’étranger.
En bout de course, la mayonnaise a bien pris. Le football est devenu, réellement, un fait de société. Les 56 000 billets imprimés se sont vendus comme des petits pains. Hier, une partie d’Alger était paralysée dès les premières lueurs du jour. La configuration du site, qui a accueilli la rencontre, a contribué à la pagaille qui y a régné durant plusieurs heures autour de cette enceinte. Les voies de pénétration et de dégagement vers ce lieu sont une des causes principales des embouteillages monstres que les Algériens ont vécus avec effarement. Il y a trois semaines, les 8 et 9 février, deux experts anglais de la fédération de Sa Majesté sont venus à Alger, à l’invitation de la Fédération algérienne, pour parler de l’expérience anglaise dans ce domaine précis. Ils ont parlé des trois drames (Bradford, Midllesbrough et Heysel) qui ont provoqué des centaines de morts britanniques, pour les deux premiers cas, et italiens pour le troisième, ayant contraint le gouvernement à adopter 76 recommandations du rapport Taylor (un juge) qui imposaient aux 96 clubs professionnels anglais de rénover leur stade, d’offrir toutes les (bonnes) conditions d’accueil aux supporters, de prendre en charge leur confort dans l’enceinte, grâce à l’instauration de places numérotées, (contrôlées) assises, de restaurants, de loges, parfois des hôtels au sein du stade, des accès et sorties sécurisés, parkings aménagés, maîtrise totale de la vente des tickets (tiens, tiens !), caméras de surveillance dans tous les stades, un Monsieur sécurité au sein de chaque club qui coordonne avec le Monsieur sécurité de tout le royaume.
Tout cela a bien sûr un prix. Les Anglais n’ont pas lésiné sur les moyens parce que pour eux « la vie, la sécurité et le confort d’un spectateur passent avant tout », a indiqué Brian Drew, directeur de l’unité britannique du maintien de l’ordre du football, lors de son intervention au Hilton. Depuis que l’Angleterre a modernisé ses stades, dans la moitié des années 1990, la violence et l’insécurité ont fortement baissé sur l’île. Les stades sont devenus des lieux où il fait bon vivre pendant deux heures. Le colossal investissement financier, qui a servi à relooker les stades, a été amorti. Les exemples les plus édifiants dans ce domaine sont la destruction et la reconstruction des stades de Wembley, le Millénium de Cardiff et Heigbury (Arsenal), qui a pris l’appellation d’Emirates. Les délais n’ont pas dépassé 30 mois. Le temps est venu pour qu’en Algérie, on pense enfin à une véritable politique sportive, dans tous les segments et domaines de cette activité, en lieu et place de celle du replâtrage de circonstance et au gré et humeur des décideurs en place.
Franchement, très souvent il faut être téméraire et pas regardant du tout sur les conditions d’accueil dans nos stades pour acheter un ticket et prendre place dans la tribune. Si ce n’était la passion du football qui habite chaque Algérien, les stades et tribunes dépotoirs auraient été désertés depuis longtemps par ceux qui entretiennent la (fine) flamme de la passion du football. Pour s’en convaincre, il suffit de faire un tour dans les stades. Des tribunes sans sanitaires, pas d’eau, la poussière et la saleté se disputent les espaces où s’asseyent les spectateurs, des bâtisses fissurées, des portes d’entrée et de sortie condamnées, des grillages partout qui donnent une allure de Guantanamo où les acteurs-joueurs sont « encagés ». Une sorte de fosse aux lions version 2010. La fédération consciente de l’importance de tous ces aspects, mesurant parfaitement la fragilité de la situation qu’elle subit depuis toujours, a fini par tirer la sonnette d’alarme. La survie du football algérien passe nécessairement par une refondation du football dans tous les domaines de son activité. Le passage au professionnalisme qu’elle appelle de tous ses vœux est resté lettre morte jusqu’à présent. Dans deux ans au maximum, en 2012, si le football algérien ne passe pas une autre étape, il ne survivra pas.
Le ballon rond rentrera dans les rangs. Nos équipes et footballeurs se contenteront d’animer des rencontres et tournois de quartier et l’engouement populaire pour un match de l’équipe nationale, comme celui d’hier soir, ne sera plus qu’un lointain souvenir. La famille du football nourrit beaucoup de craintes à ce sujet.
Source El Watan Yazid Ouahib
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:27

Algérie - Femmes au stade, entre fantasmes et réalités : Les limites d’un match « familial »
election-algerie.jpgLa femme peut changer le cours des choses

C’est officiel : Les femmes algériennes dans les stades est un vœu pieux qui restera longtemps au stade du fantasme. Et ce n’est pas l’ambiance d’avant-match à l’occasion de cet Algérie-Serbie qui nous démentira. Même le centenaire du 8 Mars n’y changera rien.
Pourtant, hier, aux abords du sanctuaire du ballon rond, au 5 Juillet, elles étaient relativement nombreuses, nos braves compatriotes grimées en supportrices élégamment moulées dans l’emblème national, et qui sont venues dignement enflammer l’arène aux cris de « One two three, viva l’Algérie ! »Mais elles se rendront assez vite à l’évidence qu’aller au stade n’est guère une sinécure pour une Algérienne. C’est le cas de cette dame en hidjab, accompagnée de ses enfants, qui l’a appris à ses dépens. « C’est l’anarchie la plus totale », s’indigne-t-elle, avant d’ajouter : « Je suis venue avec mes enfants soutenir notre équipe nationale et aussi permettre à mes gosses de se défouler un peu. Et voilà comment on nous reçoit ! »
Allusion au dispositif de sécurité qui n’a pas réservé de traitement de faveur aux familles, ceci, dans une atmosphère électrique où, dès la matinée, le périmètre du 5 Juillet était pris d’assaut par des dizaines de milliers de supporters, se disputant âprement une place dans les gradins. « Mon mari est quelqu’un de distingué et n’acceptera jamais qu’on aille au stade dans une telle pagaille. Il ne va pas tarder à nous rejoindre et nous allons certainement rentrer à la maison. On ne peut pas assister au match dans des conditions aussi déplorables. C’est la première fois de ma vie que je viens au stade et ce sera probablement la dernière », renchérit notre interlocutrice, fortement déçue par l’organisation autour du stade et l’acheminement du public vers les tribunes.
« Quand nous avons acheté les tickets, les femmes avaient eu droit à un guichet spécial, et tout s’est bien passé. J’ai pensé naïvement que la même organisation serait reconduite et que les familles auraient accès au stade par un couloir spécial. Or, voilà qu’on nous mélange avec tout le monde. On nous dit d’aller à la porte 38 mais cette même porte 38 est envahie par les jeunes. »
Pas de dispositif « spécial familles »
Lounès, un inconditionnel des Verts, a fait le déplacement depuis Oran pour assister au match. Accompagné de ses quatre enfants dont deux filles qui, pour la circonstance, ont mis leurs plus beaux atours, aux couleurs de l’EN bien sûr, il ne cache pas sa colère. Avec d’autres familles, il tente, en vain, de négocier l’accès par l’entrée VIP, située côté Dély Ibrahim, non loin des locaux de la FAF. « Pourquoi ne nous laisse-t-on pas pénétrer par cette porte ? », s’écrie-t-il. Le policier, armé de matraque, ne veut rien entendre : « Ce n’est pas possible, veuillez emprunter les accès réservés au public. » Vive protestation : « Mais nous, on est en famille. Cette entrée est réservée à la "kiada", c’est ça ? Nous, on est des harkis ou quoi ? », fulmine Lounès.
Il nous explique : « Je suis venu spécialement d’Oran avec toute ma famille pour apporter notre soutien à l’équipe nationale et dire notre amour du drapeau et de la patrie, et voilà comment on nous le rend ! » Un autre supporter se lâche : « Moi, j’ai fait la route depuis Khenchela avec toute ma famille pour soutenir notre chère équipe nationale. Nous sommes arrivés à Alger hier, nous avons passé la nuit à l’hôtel. Nous nous sommes donné un mal fou pour venir jusqu’ici pour qu’à la fin, on nous inflige ce traitement. C’est la dernière fois que je ferai ça ! » Une jeune fille lance : « Nous, nous avons cru ce qui s’est dit dans les médias, comme quoi les familles seront choyées. C’est cette publicité qui nous a induites en erreur », regrette-t-elle. Malgré ce ton désenchanté, les filles, jeunes et moins jeunes, continuent d’affluer, dûment « chaperonnées » par des hommes. Ont-elles peur d’être agressées ? « Non, pas particulièrement », rétorque l’une d’elles.
Algérie-Serbie : L’autre guerre des « balcons »
Un autre chef de famille, avec femme et enfants, porte une petite fillette sur ses épaules. Il a l’air désemparé. Il s’approche, perplexe, du cordon de policiers qui surveillent hermétiquement les accès pour négocier une solution. La partie s’avère difficile tant le match supporters-service d’ordre est serré. A un moment donné, le bras de fer, véritable match dans le match, tourne à l’avantage des aficionados de l’EN qui, ingénieux comme ils sont, croient déjouer la vigilance des forces antiémeute en se servant des barrières de police comme d’une échelle pour enjamber la muraille qui ceint le stade. Mais les CNS finissent par intervenir pour les déloger avec autorité, usant parfois de la manière forte, gourdin et jets d’eau à l’appui. Des gravats et autres blocs de pierres jonchant le sol témoignent d’échauffourées musclées.
Le chaos est à son comble à l’ouverture des portes pour le public (vers les coups de midi). Les femmes et les familles arborent des signes d’angoisse patents, elles qui se demandent comment accéder aux gradins dans un climat si peu propice à la fête. On est bien loin des célébrations bon enfant en ville. Ici, avoir son ticket est loin d’être une garantie. Encore faut-il crier, transpirer, finasser, se bagarrer, jouer des coudes, pour se « qualifier » au… spectacle. Cela accentue l’image d’un pays hostile, austère, fâché définitivement avec la fête, et où le moindre moment de gaieté s’obtient à l’arraché, jamais dans la sérénité.
4h. Le stade affiche déjà complet. D’aucuns se retrouvent sur la touche alors qu’ils ont leur billet. « Ya âmou dakhalna » (tonton, faites-nous entrer !) ne cessent de nous harceler des galopins frustrés. D’autres nous font : « Vous êtes de Canal Plus ? De grâce, prenez-nous avec vous ! » Certains spéculateurs proposent des tickets au marché noir à 1500 DA (au lieu de 3000 DA un peu plus tôt). Le service d’ordre semble, par moments, totalement dépassé devant l’engouement des masses juvéniles. Sous les insistances des familles, les policiers finissent par aménager une entrée par un portail précédemment défoncé par la foule. Les « célibataires » en conçoivent une noire jalousie : « H’na gaâ familia ouahda » (nous sommes tous une même famille), martèle un adolescent. Une boutade qui rappelle l’esprit de fraternité qui régnait dans la foulée des festivités qui ont suivi la campagne de Khartoum. Les filles se réjouissaient alors de côtoyer les « durs à cuire » du monde du foot « en toute impunité ». Elles pouvaient parader dans les rues d’Alger et d’ailleurs aux côtés de leurs « frères » sans se sentir le moins du monde agressées.
Le stade « familial » du machisme
Une impression corroborée par ces images tellement galvaudées d’Algériennes harnachées aux couleurs nationales et faisant l’objet de gros plans à la télé, elles qui ont arraché leur place de haute lutte dans les gradins, et criant « Maâk yal Khadra » au même titre que les hommes. Hier, dans le chaudron du 5 Juillet, dans cette ambiance chaotique où les places s’arrachaient sans merci, la galanterie était remisée aux vestiaires, et l’opération « femmes au stade », lancée quelques jours auparavant tambour battant, avec, à la clé, 6000 places réservées à la gent féminine, semblait sérieusement buter contre la résistance des vieux réflexes.
Les supportrices les plus chevronnées réalisaient brutalement à quel point nos terrains de football sont restés des espaces hautement machistes. Mieux : ils passent même pour être des territoires anomiques, réservés à une certaine catégorie de spectateurs que d’aucuns n’hésitent pas à qualifier de « âraya » (voyous) ; des territoires qui demandent à être codifiés (certains diraient « pacifiés »), avant de se prêter à une vraie mixité sociale et générique. « Moi, je suis un mec et je n’ose pas aller au stade dans ces conditions. Ils ont bien du courage ces gens qui laissent leurs femmes et leurs filles aller au 5 Juillet et subir toute cette agression, et entendre tous ces gros mots », commente un « footeux » dépassionné. Dans un pays où l’épithète « familial » (salon de thé « familial », « plage familiale », film « familial », etc.) a fait fortune au point de s’ériger en « argument de vente » pour appâter les consommateurs conservateurs qui voient le méchant loup partout, il faut croire que même nos stades vont devoir se plier à la règle s’ils veulent s’attirer d’autres publics et une autre clientèle que les « chenaoua » et autres « kawasser ».
Sur un autre plan, il est désolant de constater que la force est le seul régulateur des rapports entre le pouvoir et la société. Et cette image d’un policier antiémeute en casque et bouclier protégeant une supportrice qui tente à grand-peine de se frayer un passage parmi un ciment de jeunes survoltés en dit long sur le chemin qui reste à parcourir avant d’arriver jusqu’à la tribune… « familiale ».
Source El Watan Mustapha Benfodil
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 07:20

La Serbie étrille l’Algérie : Les Verts loin du niveau mondial
serbie-algerie.jpg

L’équipe nationale a enregistré, hier soir au stade du 5 Juillet, une lourde défaite en match de préparation de la Coupe du monde. Face à la Serbie, les poulains de Rabah Saâdane semblaient diminués physiquement et techniquement par rapport aux exigences d’une telle rencontre. Le public est sorti du stade quelque peu déçu d’une prestation qui démontre que la sélection nationale est encore loin du niveau mondial.
Pour son premier match de préparation joué devant des tribunes archi-combles, l’équipe nationale a enregistré une lourde défaite devant la formation de Serbie. Le tableau d’affichage a fait mal aux nombreux supporters déçus par la prestation des Verts, mais il est utile de rappeler que ce n’est là qu’une rencontre amicale qui servira au staff technique de tirer les leçons qu’il faut.
La sélection nationale algérienne de football est entrée hier de plain-pied dans sa préparation pour le Mondial 2010, à l’occasion de son match contre la Serbie qui s’est déroulé devant des gradins pleins à craquer. Plusieurs personnalités sportives et politiques y ont assisté, dont l’ancienne star du football français, Zinedine Zidane, se trouvant à Alger depuis lundi. Le staff technique national a aligné d’emblée le défenseur Raho à la place de Bougherra qui a déclaré forfait à cause d’une blessure contractée lors du derby écossais face au Celtic, mais avec Lacen qui effectue son baptême du feu avec l’EN. Après un quart d’heure de jeu équilibré, la Serbie ouvre la marque par l’intermédiaire de Pantelic.
Ce dernier a profité d’une mauvaise interception du gardien de but Gaouaoui, consécutivement à un centre en retrait de Ivanovic. Ce but hâtif plonge le stade dans un silence de mort. La réaction des camarades de Antar Yahia est intervenue à la 28e minute sur un raid mené par Belhadj, parti comme une flèche sur le flanc gauche avant de servir judicieusement Matmour. L’attaquant de Borussia Munchengladbach contrôle parfaitement le ballon et s’engouffre dans les 18 m et rate l’égalisation. C’était l’unique action qui mérite d’être signalée côté algérien durant cette première mi-temps qui s’est déroulée sous le regard d’un superviseur anglais ayant pris beaucoup de notes et d’enseignements.
Après la pause-citron, Rabah Saâdane a préféré poursuivre avec le même groupe, tandis que son homologue Antic Radomir a procédé à trois changements. Kozanovic qui venait d’effectuer son entrée a doublé la mise devant une défense médusée consécutivement à un coup franc bien travaillé à partir de l’aile gauche. Ghezzal réagit d’un tir qui a failli faire mouche, obligeant le gardien à étaler toute sa classe pour dévier le cuir en corner. Quelques minutes après, Matmour reprend de la tête un coup franc de Ziani, mais le gardien était sur la trajectoire. Bien organisés, les Serbes ont quadrillé le terrain, empêchant les Verts de développer leur jeu. Sur une action collective, ils sont parvenus à aggraver la marque par l’intermédiaire de Tosie (64’).
Déçus par la tournure des événements, les supporters ont commencé à quitter le stade. Beaucoup d’enseignements sont à retenir de cette confrontation dont le plus important est que notre équipe nationale est bien loin du niveau mondial.
Fiche technique :
Stade du 5 Juillet
Arbitrage : Diata Badara, Samba Hadj Malik et Thiare Mamadou Faililou (Sénégal)
Buts : Pantelic (16’), Kuzanovic (55’), Tosie (64’)
Algérie : Gaouaoui, Raho, Halliche, Yahia, Belhadj, Mansouri, Lacen (Zaoui 80’), Matmour, Yebda, Ziani (Abdoun 70’), Ghezzal (Djebbour 60’)
Entraineur: Rabah Saâdane.
Serbie : Stookovic (Brkic 80’), Ivanovic, Subotic, Lukovic (Kuzanovic 46’), Kolarou, Stankovic, Milijas (Petrovic 61’), Krasic (Ninkovic 76’), Jovanovic (Tosie 53’), Zigic, Pantelic (Lekie 46’).
Entraineur: Antic Radomir.
Source El Watan T. A. S.
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 05:35

Ariège – Pyrénées - Où skier aujourd'hui ?
Le bulletin neige
la-neige.jpg 

Les Monts-d'Olmes. Toutes les remontées fonctionnent. Domaine ouvert de 9 heures à 17 heures. Renseignements 05 61 03 89 06.
Goulier. Trois remontées sur quatre sont ouvertes. Domaine ouvert de 10 heures à 17 heures.
Guzet. 11 pistes sur 15 sont ouvertes, ainsi que les pistes de ski nordique. Le snow-park est ouvert. 110 cm de neige en haut des pistes et 65 cm en bas.
Mijanes-Donezan. Toutes les remontées fonctionnent. La piste de luge est ouverte ainsi que la zone nordique et le circuit raquettes. Renseignements au 04 68 20 40 44 ou sur www.donezan.com.
Ax 3-Domaines. 25 pistes sont ouvertes, soit 90% du domaine ainsi que le snow park. Informations au 05 61 64 20 26 ou sur le site www.ax-ski.com.
Ascou-Pailhères. Toutes les remontées fonctionnent. La route est complètement dégagée. Location skis, cafétéria, garderie en libre accès. Renseignements au 05 61 64 28 86 ou sur le site www.ascou-ski.com.
Beille. L'ensemble des pistes sont ouvertes ainsi que le téléski. Espace luge, traîneaux à chiens, base aventure, location matériel et restaurant. Renseignements au 05 34 09 35 35 ou sur www.beille.fr.
Le Chioula. 6 pistes sont ouvertes ainsi que 4 pistes raquettes. Piste luge, point-info nature, location matériel et restaurant. Renseignements au 05 61 64 20 00 ou sur www.chioula.fr.
Site nordique de l'Étang de Lers. L'intégralité du domaine est ouverte. Ski de fond, raquettes, piste pour piétons. Location et restaurant sur place. Renseignements au 05 61 04 91 13 ou sur etang.lers@nordnet.fr.
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 00:35

Le gouvernement britannique recommande le sexe oral aux jeunes ados

Selon le Times, de Londres, plus de 100 000 jeunes âgés de moins de 16 ans, suivent des cours où on leur conseille d'utiliser l'amour oral.
Le programme, intitulé A Pause, encourage les ados, à préférer le sexe oral au lieu d'avoir une relation sexuelle complète afin d'éviter les grossesses prématurées.
Le cours a été développé par l'Université Exeter et il est validé par le Departments of Health and Education.
La Grande-Bretagne détient le record d'Europe pour le nombre de grossesses chez les jeunes et le gouvernement veut réduire le phénomène.
Source Planète Québec
Le Pèlerin
Partager cet article
Repost0