Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
  • Contact

De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

Recherche

Archives

12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 00:48

Il n'y a plus d'enfants !
La fatigue sexuelle.
- Mademoiselle ! Et si on est victime d'une extrême fatigue sexuelle ?

Le petit Nicolas, 12 ans, est toujours prêt à dire une bêtise pour faire rire ses petits camarades de classe. Alors que le professeur venait de dire aux élèves que les prochains cours allaient être d'une importance capitale et que les maladies (avec certificat médical) ou un décès dans la famille proche seraient les seuls motifs d'excuses tolérés pour ne pas être présent, le petit Nicolas lance :

La jeune institutrice laisse finir de rire les enfants et ajoute avec un large sourire :

- Tu sais, Nicolas, je pense que tu pourras quand même écrire de l'autre main...

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 00:36

Entretien avec Antoine Basbous. Fondateur et directeur de l’Observatoire des pays arabes à Paris

Pour le politologue Antoine Basbous, les Egyptiens veulent garder de l’époque de Nasser la stature du « maître » par rapport à « la jeune nation » qu’est l’Algérie.

Depuis le fameux match Algérie-Egypte, les relations entre les deux pays se sont tendues, notamment avec les attaques en règle du clan Moubarak contre les symboles de l’Algérie. Comment analysez-vous cet acharnement ?

Les deux gouvernements ont sciemment cherché à politiser une compétition sportive. Ils voulaient à tout prix que leur équipe gagne pour pouvoir tirer des bénéfices politiques pour leurs régimes respectifs. Pour les Egyptiens, un succès aurait contribué à mettre sur une orbite plus visible la candidature, toujours inavouée, de Gamal Moubarak pour succéder à son père. Pour l’Algérie, cela permettait de créer une communion nationale derrière une équipe qui gagne, tournant ainsi la page des émeutes qui se sont étendues jusqu’à la capitale cet automne. Autant Le Caire qu’Alger avaient besoin de faire oublier à leurs peuples respectifs un quotidien peu florissant, en donnant à l’opinion publique, à travers cette compétition, une « cause nationale » qui participerait à faire diversion et permettrait aux gouvernements de bénéficier d’une trêve politique et de gagner du temps.

Le « conflit » entre Alger et Le Caire, qui est mis au grand jour à l’occasion de ce match, cache-t-il un conflit d’une autre nature entre les deux pays,

Rien ne justifie à mon sens qu’une compétition sportive se transforme en un règlement de comptes politico-diplomatique. Même si Alger et Le Caire ne sont pas sur la même longueur d’onde par rapport à plusieurs dossiers, qu’il s’agisse de leur rapport à Israël et à la Palestine, ou encore à un autre dossier ultra-sensible : leur relation avec Téhéran. Au moment où Le Caire redoute l’influence de l’Iran qui progresse prodigieusement dans la région, surtout dans ses ex-chasses gardées, notamment à sa frontière avec Ghaza. De son côté, Alger entretient de bonnes relations avec Téhéran et voit dans le programme nucléaire civil iranien un modèle de pionnier qu’il pourrait suivre lui-même. Il y a aussi l’histoire récente entre les deux pays. A l’indépendance de l’Algérie, dont la lutte avait bénéficié d’un soutien franc et massif des Egyptiens sous Nasser, l’arabisation du pays est passée par des enseignants égyptiens, lesquels avaient plutôt enseigné l’islamisme des Frères Musulmans que la langue arabe. Il est vrai que Nasser était en conflit avec les Frères et voulait s’en débarrasser. Une partie a été jetée en prison, l’autre s’est enfuie vers les pays du Golfe et une troisième partie a été expédiée pour enseigner l’arabe aux Algériens nouvellement indépendants. C’est alors qu’ils ont jeté les bases de l’islamisme d’aujourd’hui. Les Egyptiens veulent garder de cette époque la stature du « maître » par rapport à « la jeune nation ». Pour les Algériens, il s’agit d’une « hogra » égyptienne supplémentaire et injustifiée qu’ils voudraient combattre aujourd’hui.

Moufid Chehab, ministre d’Etat égyptien en charge des Affaires juridiques, a conditionné le retour de l’ambassadeur d’Egypte à Alger à des excuses et des compensations de la part des Algériens ?

Les propos de Moufid Chehab attestent d’une grande blessure égyptienne qu’il compte surmonter par des paroles et une posture. N’empêche que les dégâts subis par les entreprises égyptiennes en Algérie ne sont pas dignes d’une relation entre deux pays frères et théoriquement amis, ni d’un comportement à l’égard des investissements internationaux dans un pays qui en manque beaucoup. Au départ, le caillassage du bus transportant les joueurs algériens entre l’aéroport du Caire et leur hôtel est intolérable. L’Egypte voulait gagner à tout prix un match qui était annoncé comme perdu d’avance et avant que les joueurs ne s’opposent sur le terrain. Je pense que la meilleure chose qui puisse arriver aux deux pays est de calmer le jeu pour faire oublier à l’opinion publique ce conflit artificiel et infondé, dont les épisodes ont été voulus et encouragés, à des degrés divers, par les gouvernements respectifs. Mais à quoi bon exacerber les sentiments de haine entre les deux peuples pour déboucher sur une rupture des relations diplomatiques qui occupera les opinions publiques par une affaire de diversion ?

L’attitude de la diplomatie algérienne est considérée par l’opinion publique algérienne, comme « timide ». Comment voyez-vous la réaction de l’Etat algérien ?

L’Algérie ayant remporté la compétition, sa diplomatie peut alors se montrer en « grand seigneur ». C’est de la raison et non de la timidité. Désormais, l’Algérie n’a aucun intérêt à faire déborder l’affaire en dehors du champ sportif : son équipe sera présente en Afrique du Sud. C’est l’essentiel. Il faut chercher à indemniser les Egyptiens et les Algériens pour les pertes subies. Alger peut calmer le jeu avec Le Caire, sauf si le gouvernement compte pousser à l’exacerbation du contentieux pour en tirer un bénéfice sur la scène intérieure !

Ne pensez-vous pas que l’Algérie a adopté une attitude « timide » pour préserver son attachement à l’idéologie « arabo-baathiste » ?

L’idéologie panarabiste est devenue un slogan creux et dévalué. Où est le modèle de développement arabe réussi : des citoyens heureux de leur condition, fiers de leur appartenance, qui ne cherchent pas des visas pour s’expatrier ou des rafios pour jouer les « harragua » ? Dans quel pays « panarabiste » les libertés publiques et individuelles sont-elles respectées, où l’alternance est une réalité ? On ne le trouve nulle part. Aujourd’hui, les Arabes sont pris en sandwich par trois puissances non arabes : Israël, l’Iran et la Turquie qu’ils ont invitée pour créer un certain équilibre avec l’Iran!

Source El Watan Hacen Ouali

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 00:52

Algérie - Réchauffement climatique: La Kabylie perd ses saisons

Le massif du Djurdjura est naturellement destiné, par sa hauteur et sa proximité relative de la mer (45 à 50 km) à recevoir en hiver la masse principale des pluies de la région dont une partie tombe sous forme de neige. Mais depuis quelques années, l’on assiste à un dérèglement climatique sans précédent de Dame nature.

Modification du régime des précipitations, réduction sensible du manteau neigeux, diminution des ressources en eau, baisse de la biodiversité, disparition d’espèces animales et végétales, difficultés agricoles, les premiers signes du réchauffement climatique sont désormais perceptibles en Kabylie. « Il n’y a plus de saisons. » Cette phrase revient telle une litanie dans les discussions « météorologiques » des villageois, notamment les personnes âgées, plus soucieuses de l’évolution des nouvelles du « ciel ». Les montagnards ont encore en mémoire les souvenirs lointains des portes de maisons bloquées par la neige au petit matin, les terres fertiles et nourricières, les essaims de toutes sortes d’oiseaux qui narguaient les paysans dans leurs champs, le gazouillis des ruisseaux en furie. Une autre époque. Aujourd’hui, la nature semble perdre graduellement ses saisons et sa raison. « Le nombre de jours de neige a diminué de 40% dans plusieurs régions d’Algérie telles Tlemcen, l’Ouarsenis et le Djurdjura. »

Ces propos de Chérif Rahmani, ministre de l’Aménagement du Territoire, de l’Environnement et du Tourisme, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’environnement, viennent rappeler, si besoin est, que l’Algérie n’est pas à l’abri des conséquences néfastes du réchauffement climatique qui guette la planète. Plusieurs études menées par des experts à travers le territoire national ont démontré qu’à l’horizon 2050, la température gagnera 3 degrés Celsius supplémentaires. Cette augmentation est déjà jugée conséquente par les chercheurs, qui mettent en exergue les impacts réels du réchauffement climatique sur la santé des citoyens, les ressources en eau et l’agriculture. « Le changement climatique n’influe pas uniquement sur le cycle des saisons. Ses retombées touchent la santé (apparition des maladies contagieuses), l’agriculture, etc. », avait alerté M. Rahmani. Des projections faites par des experts pour la période 2020-2029 prévoient un accroissement des températures de 1 à 1,5° dans le nord du continent africain et une partie du Sud et de 0,5 à 1° pour le reste de l’Afrique. Pour la fin du siècle, cette hausse sera de plus de 4°.

En Afrique du Nord, les précipitations risquent de baisser toute l’année alors que dans le Sud, elles ne devraient baisser que durant l’hiver, selon les mêmes prévisions. En Kabylie, comme ailleurs, cette sécheresse pourrait influer sur les ressources en eau. En effet, l’une des conséquences les plus redoutées est l’impact considérable sur les ressources hydriques. Une pénurie du précieux liquide est à craindre à l’avenir. Dans la wilaya de Tizi Ouzou, outre les perturbations de la pluviométrie, c’est l’assèchement de la nappe phréatique de l’oued Sébaou en raison de l’extraction illicite et effrénée du sable qui inquiète les écologistes. La partie de l’oued la plus touchée est celle de Bordj Sébaou longeant la RN12, entre les localités de Draâ Ben Khedda et Tadmaït. Au rythme où va le massacre prémédité de la nature par l’homme, le pire est à craindre.

Source El Watan Ahcène Tahraoui

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 00:52

«L’Hôte» de Camus revisité par le neuvième art : Une partie de l’Histoire de l’Algérie mise en image

Une page de l’Histoire de l’Algérie, racontée par Albert Camus dans son œuvre «l’Hôte», sera adaptée en bande dessinée. Le neuvième art pourrait paraître inadéquat pour transposer un texte à dimension philosophique. «L’Hôte» dessine l’absurdité d’un duel au sens ontologique du terme entre un pied-noir ermite et un révolté algérien. En fait, c’est un autre enfant d’Algérie, Jacques Ferrandez, qui a relevé le défi en adaptant «L’Hôte», nouvelle du recueil «L’Exil» et le «Royaume» paru en 1957, année où l’auteur de  «L’Homme révolté» reçut le prix Nobel de Littérature. Jacques Ferrandez rêvait d’adapter Camus. Il s’est directement attaqué à «L’Hôte» après avoir achevé sa saga «Carnets d’Orient», qui donnait un aperçu de l’histoire de l’Algérie, de la colonisation à l’indépendance. «L’Hôte» met en scène un jeune instituteur, Français d’Algérie, vivant comme un ermite dans le djebel. Il partage son exil volontaire entre enseignement et lecture. Un jour d’hiver, il est chargé par un gendarme d’acheminer un criminel à la prison la plus proche. Le jeune enseignant se refuse à ce type de «combat» et offre à son prisonnier le choix : rejoindre la prison ou une tribu nomade voisine. Comme à l’accoutumée, Albert Camus dessine la confrontation entre le destin des deux personnages, dans un cadre de solitude absolue, celle des montagnes et dans l’exil volontaire, «au risque de l’absurde et à l’exigence de justice », écrit le journaliste du quotidien français Le Monde. «Mais «L’Hôte» se clôt sur un coup de théâtre. Jacques Ferrandez a donné chair et émotion à ce face-à-face entre deux dignités humaines, sans pédanterie ni simplification. La beauté des aquarelles habillant ses décors et le découpage subtil de cette dramaturgie classique n’auraient sans doute pas déplu à Camus, cet ‘homme des hauteurs’, comme le désigne, dans sa préface à la BD, l’écrivain algérien Boualem Sansal», conclut-il.

Source Le Financier A.Nawel
Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 00:40

Les vacances et ma femme

 

Un gars dit à son copain :
-Il y a deux ans, je suis allé en vacances au chalet et ma femme est tombée enceinte. L'an passé, je suis allé en vacances en camping et ma femme est encore tombée enceinte. Cette année je vais faire différemment...
- Comment ça?
- Elle vient avec moi. 
Le Pèlerin
Partager cet article
Repost0
11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 00:19

Société - « Un islam ouvert sur la laïcité »Fatima Orsatelli
Vous vous définissez comme une féministe laïque, de confession musulmane mais non pratiquante. Que faites-vous au sein de l'Association pour la grande mosquée de Marseille et du Conseil régional du culte musulman (CRCM) dont vous êtes aussi membre ?

Fatima Orsatelli : On ne peut pas laisser uniquement la place à la gente masculine sur ces questions. Je veux apporter ma contribution à un islam de France, ouvert sur les valeurs de laïcité, de la République. Quand je vois des femmes recouvertes d'une burqa, je me demande : qu'est ce qu'on a fait pour que ces femmes régressent ? Je suis la seule femme cooptée par un CRCM en France, mais il y a d'autres laïcs comme moi dans le bureau de l'Association pour la grande mosquée. Nous voulons qu'elle soit représentative de la mosaïque marseillaise.

Vous dénoncez le mélange qui est fait entre religion, identité, intégration, immigration...

Oui, on surfe, on zappe, on met par exemple immigration et identité nationale au même plan. On occupe l'attention, mais on ne va pas au fond du problème. Ça permet justement de ne pas parler d'intégration, de l'échec des politiques qu'on a mené dans les quartiers, de la discrimination à l'emploi, au logement... Est-ce qu'on va poser la même question aux Corses, aux Auvergnats ou aux Basques ?

Pensez-vous que les religions, les populations se rencontrent plus à Marseille qu'ailleurs ?

Pas aussi souvent qu'à mon goût. Il y a des exemples comme aujourd'hui au Parvis du protestantisme, mais sur le fond, non. Ça se fait encore de manière communautaire, selon des logiques de lobbying politique. W

Source 20minutes.fr - Propos recujeillis par Laurent Berneron

Le Pèlerin

 
Partager cet article
Repost0
10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 19:43

Johnny Hallyday dans le coma
Johnny  

Selon la station RTL, la star serait maintenue dans un coma artificiel après avoir été opérée à l'hôpital Cedars-Sinaïà de Los Angelès dans la nuit de mercredi à jeudi. Après avoir été réopéré dans la nuit de mercredi à jeudi, Johnny Hallyday serait actuellement maintenu dans un coma artificiel par les médecins de l'hôpital Cedars-Sinaï, à Los Angeles. L'intervention était censée réparer des lésions consécutives à l'opération de son hernie discale, en novembre.

C'est RTL qui a dévoilé l'information en fin de journée. La station rapporte par ailleurs que la dernière intervention s'est bien déroulée et que la situation est "sous contrôle". Laetitia, la femme de Johnny, jointe par les journalistes de la radio, serait cependant "préoccupée".
Une première opération en novembre
Le chanteur avait d'abord été opéré le 26 novembre à la clinique internationale du Parc Monceau, à Paris, pour une hernie discale. C'est le neurochirurgien Stéphane Delajoux, un médecin reconnu dans le monde artistique, qui s'était chargé de l'intervention. Interrogé cet après-midi par l'AFP, Stéphane Lievain, le directeur de la clinique parisienne, a indiqué être en contact avec les médecins de Los Angeles, mais estimait qu'il était "un peu tôt" pour réagir.
Mercredi soir, avant l'opération, le producteur du chanteur, Jean-Claude Camus, se voulait quant à lui rassurant, indiquant que Johnny Hallyday "réagissait de façon satisfaisante aux antibiotiques" et que l'infection était "endiguée". Mais depuis une chute sur son yacht en juillet dernier, les ennuis de santé du rocker n'ont fait que s'accumuler. Hospitalisé pendant neuf jours, Johnny avait alors dû révéler un "petit cancer du côlon", puis d'une légère infection après la multiplication des rumeurs dans la presse.
La star avait malgré tout repris sa tournée d'adieux, "Tour 66", fin septembre. Le 29 septembre, il avait été contraint d'annuler un concert à la dernière minute à Bruxelles pour une "extinction de voix". La tournée, de nouveau interrompue fin novembre, devait reprendre le 8 janvier à Amiens.
Le Pèlerin

 

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 00:53

Humour - 100 euros pour faire l'amour !

Un homme lit dans un journal que les femmes en Laponie donnent 100 euros aux hommes chaque fois qu’ils leur font l’amour… Il dit alors à la sienne :
- Prépare ma valise, j’y vais !
Comme sa femme prépare également sa propre valise il lui demande :
- T’y vas aussi ?
- Oui, figure-toi que je suis curieuse de voir comment tu vas vivre avec 200 € par mois...

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 00:51

Les progrès de la médecine dans la wilaya de Tipasa

Secteur de la santé à Tipasa - Un centre de dépistage du cancer du sein à Fouka

Au cours d’une rencontre qui s’est déroulée dans la matinée de dimanche dernier au centre de la Munatec de Tipaza, le professeur Bendib Abderrahmane, chef de service au CPMC (Centre Pierre et Marie Curie) du CHU Mustapha d’Alger, a annoncé la création d’un centre de dépistage du cancer du sein à Fouka, dans la wilaya de Tipaza.

«C’est une première à l’échelle nationale », avait-il déclaré. A souligner que ladite rencontre avait été initiée par l’Association d’aide aux malades démunis (AAMD). Par ailleurs, le directeur de la santé de la wilaya de Tipaza, le Dr Amokrane, nous a indiqué que 12 hématopraticiens de la wilaya sont actuellement en formation auprès du professeur Bendib. Au niveau de la wilaya de Tipaza, note-t-on, deux hôpitaux (à Koléa et Sidi Ghilès) sont déjà pourvus de mammographes.

Les statistiques sur les patientes atteintes du cancer du sein dans la wilaya de Tipaza font encore défaut. Au demeurant, les autorités locales projettent la création d’un deuxième centre de dépistage du cancer du sein au niveau de Sidi Ghilès. Selon le professeur Bendib, quand les moyens le permettent, 2 à 3 visites sont prévues par mois par son équipe pluridisciplinaire au niveau de la wilaya de Tipaza, pour examiner environ 60 000 patientes âgées entre 40 et 70 ans. Le dépistage, précise-t-il, s’effectue à l’échelle locale, mais la prise en charge des cas confirmés se fera au CPMC du CHU Mustapha d’Alger. Aussi, la wilaya de Tipaza s’est engagée à mettre à la disposition du professeur Bendib et de son équipe les moyens matériels nécessaires pour mener à bien cette première expérience en matière de dépistage du cancer du sein.

Réalisation de plusieurs structures de santé à Tipasa : Atteindre la norme mondiale en 2010

Au terme de l’année 2010, la wilaya de Tipasa dépasserait le ratio 2 lits d’hôpital pour une population de 1000 personnes qui est la norme mondiale en ce domaine, alors qu’en 2005 le rapport a été de 1,5 pour 1000 habitants.

Le renforcement graduel de la carte médicale locale en capacité d’accueil depuis ces quatre dernières années est le résultat de lancement et de réalisation de plusieurs projets entrant dans le cadre du plan quinquennal 2004-2009 et couvrant pratiquement toutes las parties du territoire de la wilaya.

«À la fin de l’année 2010, la capacité d’accueil en matière de lits atteindra les 2,1 lits pour 1.000 habitants. Ce défi a pu être relevé grâce notamment à l’inscription de plusieurs projets de construction d’hôpitaux, de polycliniques ainsi que des UMC dans le plan quinquennal précédent», fera savoir à ce propos le Dr Amokrane, le directeur de la santé de la wilaya.

Dans cette optique, il y a lieu de signaler qu’avant janvier 2010, un grand hôpital ouvrira ses portes à Gouraya et qui prendra en charge quasiment toute la population de la partie de l’extrême-ouest de la wilaya, allégeant ainsi la pression sur l’EPH de Sidi Ghilès.

Le futur hôpital de Gouraya, d’une capacité d’accueil de 67 lits, dont 12 réservés pour la réanimation, a nécessité pour sa réalisation une enveloppe financière de 210 millions de dinars. Avec les équipements, son coût atteindra les 41 milliards de centimes. C’est dire son envergure. Pratiquement, toutes les spécialités médicales de base, entre autres chirurgie générale, gynécologie, radiologie et médecine interne y seront exercées. «À l’origine, en 2003, l’assiette devant accueillir cette grande structure a été affectée pour la réalisation d’une maternité, avant qu’elle soit réaffectée pour la réalisation d’une maternité chirurgicale. Seulement, après une étude prenant en compte les grandes opportunités qu’offre cette grande assiette et les besoins de la population locale en terme de prise en charge médicale, il a été décidé en dernier ressort d’ériger en lieu et en place l’actuel hôpital qui répond à toutes les normes en la matière»0 retrace l’histoire de l’inscription du projet en question le Dr Amokrane.

Toujours dans le volet des réalisations des structures de santé, le même responsable informera qu’avant mai 2010, une nouvelle polyclinique sera fonctionnelle dans la commune de Hadjout. Elle viendra en appoint à l’ancien hôpital datant de 1846 et qui ne répond actuellement que partiellement aux besoins de la population locale.

« La nouvelle polyclinique de Hadjout qui comprendra 12 lits dans le service des urgences et dix dans celui de la maternité assurera notamment des gardes de chirurgie, de maternité, ainsi que de chirurgie générale et dentaire », dira le même interlocuteur. En perspective, ajoute ce dernier, un projet d’hôpital de 120 lits sera réalisé à Hadjout. « Le projet du futur hôpital sera proposé en 2010 pour arbitrages.

Source El Watan / L’Horizon

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 00:38

Finance: le "triomphe" peu modeste des Français à Bruxelles sème le trouble

Le "triomphe" revendiqué par la France après la nomination de son poulain à Bruxelles, Michel Barnier, pour s'occuper des services financiers risque de se transformer en victoire à la Pyrrhus au vu des remous suscités cette semaine en Grande-Bretagne.

C'est finalement moins la désignation en tant que telle de l'ancien ministre de l'Agriculture au poste de commissaire européen au Marché intérieur et aux services financiers -une première pour Paris depuis la création des institutions européennes - que les commentaires ayant suivi côté français qui ont mis le feu aux poudres.

Le président français Nicolas Sarkozy a parlé d'un "triomphe" des idées françaises sur la régulation en Europe et, cité par le quotidien Le Monde, jugé que "les Anglais sont les grands perdants de l'affaire".

"C'est une erreur consternante de présenter cela comme cela en ramenant l'affaire à un choc entre deux pays sur un sujet aussi important pour l'Europe", accuse la députée européenne libérale Sylvie Goulard, spécialiste des dossiers économiques.

"C'est tout de même pas la guerre de Cent Ans!", lance-t-elle. "Et surtout cela va être contre-productif car ce que M. Barnier aurait pu faire de manière modérée sur la nécessaire régulation financière, cela va être à présent beaucoup plus difficile", estime-t-elle.

Le Royaume-Uni, qui avait déjà oeuvré jusqu'au bout pour tenter d'empêcher que les dossiers financiers ne tombent dans l'escarcelle française, a saisi l'occasion cette semaine pour faire campagne contre les dangers d'une trop grande régulation de la finance.

M. Barnier, qui a déjà accepté d'être épaulé à la Commission par un haut fonctionnaire britannique afin de rassurer Londres, se retrouve du coup sur la défensive avant même de prendre ses fonctions en février 2010. Il devra avant cela être confirmé par le Parlement européen mi-janvier à l'issue d'une audition qui s'annonce animée

"Je ne suis pas un idéologue", a-t-il encore affirmé vendredi dans le quotidien français La Tribune. M. Barnier a aussi pris ses distances avec les propos de M. Sarkozy sur le "triomphe" de sa nomination.

"Je n'ai pas envie de présenter les choses de cette manière là", a-t-il dit, en assurant vouloir servir "l'intérêt général européen, dans lequel naturellement les idées françaises ont une valeur ajoutée".

Le député européen français conservateur Jean-Paul Gauzès, en charge de dossiers financiers au Parlement européen et qui bataille avec la City depuis des semaines sur le contrôle des fonds spéculatifs (hedge funds), appelle lui aussi à baisser le ton.

"Il faut être raisonnable là-dessus, ne pas agiter de chiffon rouge", a-t-il dit à l'AFP.

Après la crise financière, le vent tourne de toute façon dans le sens des partisans d'une surveillance plus étroite du secteur financier, conformément aux engagements pris par les pays du G20 lors de leurs récents sommets.

La désignation d'un Français à la tête des services financiers à la Commission est un signe des temps. M. Barnier succèdera à un Irlandais, Charlie McCreevy, libéral convaincu qui a pendant longtemps prêché l'auto-régulation des marchés, y compris pendant la crise.

Il aura pour mission première de mener à bien les projets en cours de renforcement du contrôle de la finance européenne, dont le principal -la mise en place de mécanismes supranationaux de surveillance- doit être entériné la semaine prochaine par les dirigeants de l'UE.

M. Barnier pourrait ensuite avancer sur d'autres chantiers, comme sur les produits dérivés. "Mais il sera désormais plus que jamais surveillé par la City", et au sein de la Commission, dit un diplomate européen

Source JDN

Le Pèlerin

Partager cet article
Repost0