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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 00:40

TV écran  plat – Comment bien choisir

LCD ou Plasma, Ready HD, Full HD ou HDTV1080p… Il n’est pas toujours simple de s’y retrouver, d’autant que l’arrivée de la haute définition apporte un choix supplémentaire.

Décryptage.

1 - Le choix entre deux technologies : LCD ou Plasma

Fini le bon vieux tube cathodique, maintenant c’est LCD (cristaux liquides) ou plasma. Le choix entre les deux ne se pose vraiment que pour les écrans plats de salon de grande taille (à partir de 100 cm de diagonale) où les deux technologies sont en concurrence.

Pour résumer, le LCD offre le plus grand choix d’appareils aujourd’hui (85% du parc). Il est choisi pour sa polyvalence (TV, photo/vidéo, jeux…). La qualité est désormais au rendez-vous y compris dans les grands formats.

Le plasma reste présent sur les grandes et très grandes tailles d’écran (1,27 m de diagonale et au-delà) auxquelles il apporte une image plus naturelle, notamment dans le respect des couleurs sombres, visible sous tous les angles contrairement au LCD limité à 130° d’angle horizontal et à 90° en vertical. La longévité du plasma n’est plus un problème, mais il supporte moins les reflets dans une pièce très éclairée (effet miroir) qu’un écran LCD.

Autre point à surveiller : la consommation électrique. Les écrans plasma restent un peu plus gourmands au démarrage, ainsi que certains LCD à effet rétro-éclairé en permanence.

2- Choisir une taille d’écran adaptée à ses besoins

Ecran de salon, de cuisine, de chambre ou « grand spectacle »… vous devez avoir une idée de la vocation de votre nouveau téléviseur et de sa taille moyenne avant de craquer sur le premier venu.

La taille d’un écran plat se mesure en diagonale, exprimée en pouces (de 19’’ à 60’’) mais aussi par leur équivalent en cm : de 48 cm à plus 152 cm soit 1,50 m d’image pour des écrans géants.

Les tailles les plus vendues tournent autour de 32’’ et 37’’ (81 et 94 cm) pour les modèles standards, et de 40 à 42’’ (102 et 107 cm) pour les écrans dédiés à la HDTV (télévision haute définition). C’est là que vous trouverez le plus grand choix. Avec l’avènement de la HD, mieux vaut opter pour la taille supérieure, si votre budget vous l’autorise.

3 - Au mur, encastré dans un meuble ou posé sur un pied

Selon la configuration de la pièce qui l’accueillera, posez-vous la question de l’emplacement de votre futur téléviseur.

Sur le mur - à condition de prévoir un support mural à sa dimension - il se fait plus discret, moins encombrant avec un petit air d’écran de cinéma.

Sur un meuble TV adapté ou simplement posé sur son pied (généralement fourni), l’écran devient un élément important de votre intérieur. Dans tous les cas sachez estimer la distance idéale entre vous et le téléviseur : 4 fois la hauteur de l’écran pour un modèle standard, mais seulement 3 fois cette hauteur pour les modèles HDTV 1080p, car la vraie HD se regarde en pleine « immersion » dans l’image.

4 - Vérifiez le taux de contraste et la luminosité

Pour une belle qualité d’image, plus naturelle et aux couleurs profondes, mieux vaut choisir un écran plat qui présente un contraste élevé (5000:1 à 10 000:1 voire plus) ainsi qu’une luminosité importante (300 à 500 cd/m2 pour un LCD, le double pour un plasma).

Ces deux données techniques sont mises en avant par les fabricants car elles caractérisent la bonne dynamique de l’image. Les modèles récents d’écrans LCD à technologie LED sont les plus performants en la matière. Mais ils restent pour l’instant à un prix élevé.

5 - Ne pas oublier la rapidité d'affichage

La fluidité des images qui s'affichent sur les écrans plats est un autre critère à prendre en compte. Cette valeur s'exprime en millisecondes (ms), soit le temps de réponse pour qu'un pixel (point d'affichage de l'image) passe du noir au blanc par exemple. Meilleure elle est, plus l'"effet de rémanence" (le flou qui apparait sur les images rapides) des écrans plats LCD diminue.

Privilégiez donc les appareils affichant moins de 10 ms.

Si vous êtes amateur de films d'action, optez pour l'option "technologie 100Hz" (ou plus), qui améliore la fréquence de balayage de l'écran.

D'après les spécialistes, c'est la profondeur du noir qui détermine la vraie qualité d'image du téléviseur. Le mieux, si vous en avez l'occasion, est d'aller comparer vous-même devant un mur d'écrans en magasin.

6- Quel écran pour profiter de la télévision numérique haute définition (HDTV) ?

La multiplication des appareils à la norme HD (lecteurs Blu-ray, camescopes, reflex numériques, box Internet…) et la diffusion des programmes de télévision en haute définition par le réseau numérique terrestre (TNTHD) ont créé un nouveau standard. Encore faut-il un écran adapté.

La haute définition c’est d’abord une question de résolution (nombre de points affichés dans l’image) et de logos. Jusqu’à présent nous avions les écrans estampillés HD Ready (1280x720p) et Full HD (1920x1080p). Depuis fin 2008, un téléviseur ne peut prétendre à être « HD » que s’il intègre un tuner TNTHD, la norme de compression ayant changé (Mpeg 4). D’où l’apparition de deux logos noirs en remplacement des précédents: HDTV garantit que le téléviseur est doté d'un tel tuner et HDTV 1080p, qui offre en plus une résolution de 1920 x 1080 pixels.

La mention « 1080p » est désormais synonyme de vraie HD, nécessaire pour profiter pleinement de tous les détails offerts par un film Blu-ray ou des programmes diffusés en HD (TF1, F2, Canal+, Arte…).

 7 - Connectique : une prise HDMI et un tuner TNT HD

Avec cette nouvelle génération d’écrans plats est apparue une connectique adaptée (prises, câbles) tout en gardant les anciennes (Péritel, YUV, etc.). La plus symbolique est l’HDMI, sorte de prise Péritel numérique. Elle peut transporter les nombreux flux audio et vidéo liés à la haute définition. Comme elle existe sous plusieurs variantes, il faudra en tenir compte lors de l’achat d’un cordon HDMI.

Le nombre des connecteurs audio-vidéo présents sur le téléviseur est un avantage surtout si vous souhaitez brancher de nombreux appareils type décodeurs,

lecteur DVD, magnétoscopes, amplis… Mais vous n’aurez pas forcément besoin de 3 prises HDMI. Le Tuner TNT HD est compris désormais dans la plupart des nouveaux modèles.

8 - Ne pas négliger la qualité sonore du téléviseur

Les amateurs de son de haute qualité ou de sensations fortes peuvent être déçus par la qualité sonore de certains écrans.

C’est un critère trop souvent négligé au profit de l’image et pourtant les grandes marques ont fait de nets progrès : les options " son spatial SRS ", les effets " virtual surround " ou " Virtual Dolby Digital " selon les cas peuvent recréer une ambiance assez réaliste, même si le marketing en vante un peu trop les mérites.

Vérifiez l’existence de la stéréo Nicam et du bon emplacement des haut-parleurs en fonction de l’emplacement du téléviseur (mural ou posé sur son pied).

9 - Les « plus » : lecteur de cartes mémoire, prise USB, DLNA…

Les fabricants tentent de se distinguer par des petits « plus » qui peuvent se montrer utiles.

Les lecteurs de cartes mémoires sont pratiques pour visionner ses photos/vidéos directement à l’écran sans câble. Vérifiez leur compatibilité avec vos appareils.

Certains écrans sont pourvus d’une prise USB pour y brancher son ordinateur. D’autres disposent d’un adaptateur DLNA qui permet de lire les fichiers multimédia stockés sur un ordinateur. Une fonction utile surtout pour ceux qui manipulent de nombreux fichiers audio et vidéos via Internet.

10 - Support mural : un accessoire pas si accessoire

Pour « afficher » son écran, plusieurs types de support mural existent : plaque fixe ou inclinable et/ou orientable, bras pivotant, rotule... Chacun a ses avantages et ses inconvénients.

Question prix, la plaque fixe est la plus abordable (< 50€), le bras pivotant ou articulé, plus haut de gamme.

Faites votre choix en connaissant le poids de votre écran, ceux de grandes tailles demandant un support à la hauteur. Attention à la bonne circulation de l’air si le téléviseur est encastré, pour éviter toute surchauffe.

Source Seniorplanet

Le Pèlerin

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 00:06

Razzias sur terres cultivables: Afrique à vendre

 

On savait que des particuliers fortunés pouvaient acheter une île en Ecosse, que Volkswagen s’est offert des milliers d’hectares au Brésil, que l’Argentine propose de vastes espaces en Patagonie (Benetton y a acquis 900000 hectares, Soros et Stallone vont faire de même, aux dépens du peuple Mapuches).
Mais ce que l’on ne savait pas encore, c’est qu’il est devenu possible de faire main basse sur un petit morceau de continent, à plus grande échelle encore. Va-t-on vers un dépeçage de certains pays pauvres ?

C’est en cours. De grandes firmes privées, souvent appuyées par leurs pays d’origine, sont en train de réaliser de telles opérations, en Afrique notamment, en profitant du sous-développement et de la faiblesse de certains Etats "Dans le contexte des ventes de terres arables, il s’agit d’une opération sans précédent, assure Carl Atkin. Nous sommes habitués à des transactions portant sur 100 000 hectares. Cette fois, c’est dix fois plus."
On pensait ces pratiques d’une autre époque, on imaginait que cela ne pourrait plus se produire, cela se passe pourtant aujourd’hui, si discrètement...
La presse n’en parle pratiquement pas. Silence médiatique en France. Paul Redfern du Daily Nation fait état d’une déclaration de Jacques Diouf, directeur la FAO, reprise par Le Guardian, relayée pas Courrier International.
Des pays occidentaux, par l’intermédiaire de grands groupes, achètent des millions d’hectares de terre, en Afrique notamment, en vue de placer leurs liquidités, d’anticiper sur leur manque de produits agricoles à long terme. "Les gouvernements et les entreprises de certains pays qui disposent de liquidités mais manquent de terres agricoles ont pris le parti de ne pas attendre la réaction des marchés mondiaux. Ils essaient de garantir leur propre accès à la nourriture, à long terme, en achetant des terres dans les pays pauvres."
Il s’agit d’assurer leur autosuffisance alimentaire future ou développer les agrocarburants. On sait pourtant que cette voie est une impasse (Ce sont des millions d’hectares de terre agricole qui seraient concernés dans un certain nombre de pays).

"M. Diouf fait valoir que la multiplication de ces transactions pourrait entraîner une forme de néocolonialisme, des Etats pauvres produisant de la nourriture pour les pays riches aux dépens de leur propre population affamée.
Le quotidien britannique The Guardian affirme que la flambée des prix alimentaires à l’échelle mondiale a d’ores et déjà déclenché une deuxième "ruée vers l’Afrique". Mi-novembre, Daewoo Logistics a annoncé un projet d’achat d’une concession de 1 million d’hectares à Madagascar pour une durée de 99 ans (la moitié des terres arables cultivées !) La société sud-coréenne veut y cultiver 5 millions de tonnes de maïs par d’an d’ici à 2023 et produire de l’huile de palme à partir d’une autre concession de 120 000 hectares, en faisant appel à une main-d’œuvre principalement sud-africaine. La production serait destinée avant tout à la Corée du Sud."
"Sur un certain plan, ce ne sont que des projets commerciaux, mais ils sont souvent soutenus par tel ou tel Etat, car ils obéissent à des impératifs de sécurité alimentaire", confirme Carl Atkin, consultant chez Bidwells Agribusiness, une société de Cambridge qui a contribué à négocier certains des contrats d’achat de terrains internationaux.

Les autorités malgaches ont déclaré qu’elles ne donneraient leur feu vert à l’accord avec Daewoo qu’après la réalisation d’une étude d’impact environnemental, mais elles se félicitent de cet investissement. Jusqu’à présent, cette gigantesque concession est la plus importante d’une série d’accords fonciers conclus depuis la hausse des prix alimentaires, qui a débuté à la fin de 2007."

Le plus scandaleux est que cette opération n’a pratiquement rien coûté à Daewoo
Le plus étonnant, c’est que pour certains pays pauvres, le couteau sous la gorge, manquant de moyens et sans doute séduits par les promesses faites et des contrats peu clairs "ces rachats sont généralement bien accueillis "par les autorités, comme à Madagascar. "Ainsi, dans un contexte de récession, le ministre malgache de la Réforme foncière a assuré que le produit de ces ventes irait aux infrastructures et au développement dans les zones exposées aux inondations."

Le Soudan cherche également à attirer des investisseurs pour ses quelque 900 000 hectares de terres, et le Premier ministre d’Ethiopie, Meles Zenawi, a courtisé les investisseurs saoudiens. D’immenses terrains en Tanzanie ont également éveillé l’intérêt de sociétés occidentales qui s’intéressent à la production de biocarburants. »
Une tendance lourde qui s’observe ailleurs...

"S’il s’agissait d’une négociation entre partenaires égaux, cela pourrait être une bonne chose, commente Duncan Green, directeur de recherche chez Oxfam . Mais le problème, c’est que, dans cette ruée vers les terres, aucune place n’est accordée aux petits exploitants."

Alex Evans, du Centre de coopération internationale à l’université de New-York, estime pour sa part que "les petits agriculteurs sont déjà perdants : les gens qui n’ont pas de titres de propriété en bonne et due forme vont sans doute être chassés". Les détails des accords fonciers sont généralement tenus secrets, si bien qu’on ne sait pas s’ils prévoient des garanties pour les populations locales."
"Il n’y a guère d’économies d’échelle dans l’agriculture au-dessus du niveau de l’exploitation familiale, explique Steve Wiggins, expert britannique en développement rural à l’Overseas Development Institute, car la gestion de la main-d’œuvre est extrêmement difficile."

" Les investisseurs pourraient aussi devoir faire face à une vague d’hostilité. "Si j’étais conseiller en risques politiques auprès des investisseurs, poursuit-il, je leur dirais qu’ils ont intérêt à se méfier. Car la terre est une question très sensible. Cela peut très mal tourner si l’on ne tire pas les leçons de l’Histoire."

 

-Mains basses sur les terres agricoles à l’échelle mondiale :

 

« La synergie actuelle entre la crise alimentaire et la crise financière a déclenché un nouvel « accaparement des terres » au niveau mondial. D’un côté, des gouvernements préoccupés par l’insécurité alimentaire qui recourent à des importations pour nourrir leurs populations s’emparent de vastes territoires agricoles à l’étranger pour assurer leur propre production alimentaire offshore. De l’autre, des sociétés agro-alimentaires et des investisseurs privés, affamés de profits dans un contexte d’aggravation de la crise financière, voient dans les investissements dans des terres agricoles à l’étranger une source de revenus importante et nouvelle. De ce fait, des terres agricoles fertiles sont de plus en plus privatisées et concentrées. Si elle devait rester incontrôlée, cette main basse sur les terres à l’échelle planétaire pourrait sonner le glas des petites exploitations agricoles et des moyens de subsistance ruraux dans bien des régions du monde. ... »

 

Source Courrier International

 

Le Pèlerin

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9 décembre 2008 2 09 /12 /décembre /2008 00:06

Les avantages d'avoir plus de 60 ans...


Ne riez pas.....tout ceci est vrai...

1.Les kidnappeurs ne sont pas très intéressés par votre personne
2.Dans une situation de prise d'otage vous êtes susceptible d'être libéré en premier.
3.Personne ne s'attend à ce que vous fassiez les choses à toute vitesse.
4. Les gens appellent au plus tard à 9 heures du soir et vous demandent s'ils vous ont réveillé.
5. Les gens ne vous regardent plus comme un hypocondriaque quand vous parlez de vos maux.
6. Il n'y a plus besoin de vous faire apprendre par la manière forte.
7. Les vêtements que vous achetez maintenant ne seront pas déjetés.
8. Vous pouvez prendre votre souper à 16 heures.
9. Vous pouvez vivre sans sexe (mais non sans vos lunettes).
10. Vous avez des arguments brûlants au sujet des plans de retraite.
11. Vous ne pensez plus aux limites de vitesse comme à des défis.
12. Vous avez arrêté de rentrer le ventre quelle que soit la personne qui est avec vous dans la pièce.
13. Vous chantez avec la musique de l'ascenseur.
14. Votre vue ne deviendra pas pire.
15. Votre investissement dans l'assurance mutuelle complémentaire commence à porter ses fruits.
16. Vos articulations sont des météorologistes plus précis que le service de météorologie nationale.
17. Vos secrets sont en sûreté avec vos amis parce qu'ils ne peuvent pas se les rappeler.
18. La nécessité d'approvisionner vos neurones par de bons aliments est finalement descendue à un niveau acceptable.
19. Vous ne pouvez pas vous rappeler qui vous a envoyé cette liste, mais vous notez que les caractères sont de grande taille pour votre confort.

De la part d’une Correspondante

Le Pèlerin

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 06:27

Santos, bientôt une affaire d'Etat

Santos Mirasierra, un supporter de l'OM dans un tribunal local de Madrid le 3 décembre 2008

 
Pape Diouf abattu

«Je suis abasourdi. Je ne pensais pas qu'une telle injustice soit possible dans une capitale européenne comme Madrid. C'est insupportable et effrayant. Un recul me paraît nécessaire pour ne pas en dire trop et surtout réfléchir aux actions à venir».

Pas sûr de faire appel
Après l'énoncé de ce verdict, le supporter condamné pour des violences commises en marge du match de Ligue des champions Atletico Madrid - OM le 1er octobre, n'est pas encore sûr de faire appel de cette décision.
«On craint de le faire parce que d'après les éléments que nous avons, les juges d'appel sont encore plus formolés que les juges de première instance et on risque une aggravation, s'inquiète Me Collard. Ensuite si on fait appel, on va fermer la porte à toute négociation diplomatique. On se pose vraiment la question. C'est une décision politique, ça n'appartient plus à la justice maintenant.»

Le parquet avait requis huit ans
Dans la soirée, les réactions d'indignation se sont multipliées. Notamment Franck Ribéry, Didier Drogba, le maire de Miramas, le président de l'Atlético Madrid et la soeur de Santos, Lucile qui, sous le coup de la colère au micro d'RTL, espère que «tout explosera à Marseille», mardi prochain lors du match OM - Atlético, au stade vélodrome.

Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin et le secrétaire d'etats aux Sports, Bernard Laporte, ont quant à eux lancé un appel au calme pour ne pas charger un peu plus un Santos Mirasierra est placé en détention préventive depuis deux mois. Mercredi, le parquet avait requis huit ans de prison contre le supporteur marseillais pour «troubles à l'ordre public» et «violences en réunion envers l'autorité ayant entraîné des blessures».

Réunion au siège des Ultras

Il était notamment accusé d'avoir jeté un siège du stade Vicente-Calderon sur un policier, ce qu'il conteste, et d'en avoir bousculé un autre.
Les Ultras (le groupe de Santos) ont appelés tous les fans marseillais à ne pas rentrer dans le Stade Vélodrome mardi lors du match retour contre l'Atletico Madrid.
«Si nous étions dans la tribune, nous pensons que nous ne pourrions pas empêcher les débordements. On continue d'appeler au calme mais on ne sera pas responsable de ce qui pourrait se passer dans le stade», a expliqué la porte-parole du groupe

Source 20minutes.fr

«Je suis abasourdi. Je ne pensais pas qu'une telle injustice soit possible dans une capitale européenne comme Madrid. C'est insupportable et effrayant. Un recul me paraît nécessaire pour ne pas en dire trop et surtout réfléchir aux actions à venir».
Après la condamnation d'un supporter marseillais, vendredi à Madrid, les avocats du supporter de l'OM entendent employer les grands moyens. Interrogé par «So Foot.com», Maître Collard souhaite saisir Nicolas Sarkozy pour régler cette affaire.
«On n’a pas eu à faire à un juge mais à un supporter notoire, s'indigne l'avocat de Santos Mirasierra. Il a voulu faire preuve d’autorité et de vanité espagnole envers l’opinion française. On se rend compte à quel point le sentiment antifrançais est fort ici.»

Le Pèlerin

 

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 06:14

       Algérie: grâce collective pour l'Aïd

Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a décrété à l'occasion de la fête de l'Aïd El Adha une amnistie collective pour toutes les personnes condamnées définitivement, a indiqué  un communiqué de la présidence cité par l'agence APS.
"A l'occasion de la célébration de l'Aïd El Adha", le président "a promulgué un décret présidentiel portant mesures collectives de grâce au profit des personnes détenues condamnées définitivement", précise le communiqué.
Celui-ci précise que sont exclus de cette mesure les prisonniers "condamnés pour avoir commis ou tenté de commettre des infractions de terrorisme et de subversion, d'atteinte à la vie ou à l'intégrité physique, ou pour des crimes et délits de vol, d'association de malfaiteurs, de détournement de deniers publics ou privés, de corruption, de trafic d'influence, d'évasion, de fausse monnaie, de contrebande et de trafic de stupéfiants", ajoute le communiqué.
Le nombre de personnes concernées par cette mesure de grâce n'a pas été communiqué.

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Source Le Figaro
       

Le Pèlerin

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 06:10

Le mouton avec cornes, les enfants, les habits et le reste


Les préparatifs sont allés bon train, mais le porte-monnaie ne suit pas.

La grande fête de l’Aïd El Adha est là. Tout le monde est prêt …mais la hausse des prix a rongé et érodé jusqu’à l’os les maigres salaires de la famille algérienne moyenne.
La maman se démène a imaginé un confort nouveau pour cette journée particulière. Qui confectionne la «rechta» ou la «meketfa» qui prépare de façon traditionnelle le fameux «ras el hanouth» fait de mille épice, qui va parfumer les mets de grandmère auxquels on ne goûte qu’en de pareilles occasions...toutes les mamans sont affairées à passer une fête réussie, chacune à son niveau. Le chef de famille, quant à lui, ne sait plus où se «tapir» pour éviter les remontrances des enfants sur le mouton qu’il a acheté pour la circonstance. Un mouton malingre, parfois sans cornes, un simple quadrupède ruminant comme le recommande la religion, et non un bélier comme le désirent ces chers chérubins qui n’ont que faire des explications du père «martyr».
Tout concours à son «exécution», sa préparation et sa conservation concerne le chef de famille.

Coutelas et couteaux à aiguiser

En effet, couteaux, brochettes, barbecues, réfrigérateurs, congélateurs sont proposés à des prix promotionnels et même avec des facilités de paiement en cette période de consommation effrénée qui n’obéit d’ailleurs à aucune logique économique du pouvoir d’achat...Les routes sont encombrées de camionnettes, camions, voitures, même des vélomoteurs, transportant des moutons entravés prêts à être immolés en ce jour de l’Aïd. Dans la rue, les rémouleurs sillonnent les villes, quartiers et villages pour proposer leurs services. Coutelas, couteaux, ciseaux, haches...à aiguiser, soigneusement rangés par le chef de famille depuis la fête de l’an dernier, s’accumulent entassés près de M. le rémouleur, très sollicité pour la circonstance. Pour ces professionnels d’un autre temps, la saison des «moutons gras» est sans conteste l’approche de l’Aïd el Kebir. A la veille de ce grand jour, lui sont apportés toute la coutellerie à affûter servant à sacrifier, dépecer et débiter en parts égales pour offrir aux plus pauvres ce traditionnel mouton sacrifié pour fêter cet événement religieux et dont seul le tiers doit être consommé, le reste étant destiné à l’offrande.
Les Aïd et autres fêtes se succèdent. Trop rapidement pour certaines bourses. C’est presque avec «effroi» que le simple citoyen s’apprête à affronter ces dates qui font la joie des seuls enfants auxquels rien ne devrait être refusé. Les habits neufs pour tous les gamins lors du premier rendez-vous et l’inaccessible mouton au second appel, et pardon...avec des «cornes» qui rivalisent avec la bête du voisin. Les prix de l’animal à immoler lors de la fête du sacrifice, ce pléonasme admis pour la circonstance, nous renseigne royalement sur celui qui va être sacrifié, l’homme ou la bête?

Un pays inondé de pétrodollars

Ainsi, ballotté d’une fête à une autre, trop nombreuses du reste, le citoyen, père de famille souffre en silence car ne pouvant plus affronter ces échéances trop rapprochées, pense-t-il, qui s’allient avec acharnement contre lui.
A ce bouquet de dates «fleuries», sont venues, il y a à peine deux mois s’ajouter, et sans vergogne aucune, les vacances d’été. Celles-ci, quand il peut se les offrir, c’est généralement au bled qu’il se rend lui et toute sa «smala», croyant qu’il va dépenser moins alors que les mariages, les circoncisions, les hadjis qui reviennent de la Mecque le guettent. Une rentrée scolaire, un Ramadhan «assassin» qui va souvent au-delà des fonds de poche à celui de l’estomac....Il ne faut pas, en effet, oublier les garde-robes toujours en manque, la maigre literie des enfants, la dernière facture d’électricité qu’on a «sautée» ou encore la note «oubliée» de l’épicier du coin qui peut toutefois attendre encore. Et cet employeur chiche, Eurl ou Sarl, qui l’ignore superbement en ne mettant presque jamais la main à la poche pour, un tant soit peu, l’encourager à croire en des jours meilleurs. La crise alimentaire mondiale et l’inflation, lui il s’en fout. Il est citoyen d’un pays riche asphyxié par le gaz, inondé de pétrodollars, et comble d’ironie, qui s’offre le luxe «éclairé» du délestage...Selon lui, une part de cette richesse divine lui revient de droit. Les plus avertis savent et se contentent des explications quant à la destination de ces formidables recettes. Ils énoncent, sans bouger un cil, ni en vous regardant droit dans les yeux non plus, les réalisations dans le pays. Des barrages multiples et des coupures d’eau, des moyens de transport supersophistiqués toujours en retard d’une station, des structures scolaires multiples pour fabriquer des «hittistes» en force dont beaucoup s’invitent dans les innombrables mosquées qui poussent comme des champignons.
L’économie de marché et le libéralisme économique ont-ils apporté un plus au simple citoyen? Il n’en est guère convaincu. Certes, la macroéconomie s’en porte bien, mais ses répercussions sur l’individu tardent à venir. Combien de générations faut-il encore pour en apprécier les effets? Le citoyen devra-t-il encore patienter longtemps après tant de sacrifices consentis depuis des lustres?


Source L’Expression


Le Pèlerin

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 05:55

Célébration de l’Aïd El Adha : Le rite d’Ibrahim résiste à la crise


La fête de l’Aïd El Adha est célébrée ce jour par les Algériens. Mais aura-t-elle la même saveur pour tout le monde ? Pas si sûr en ces temps d’érosion du pouvoir d’achat et de flambée des prix. Si certains ont pu se payer un mouton, d’autres ont été contraints de passer outre ce sacrifice et ne pourront pas perpétuer la tradition d’Ibraham, toufefois ce rite résiste globalement à la crise. Dans les points de vente, généralement des garages ou des dépôts transformés en enclos à bétail en pleine capitale, les citoyens n’ont qu’un mot à la bouche : « Les prix sont très élevés ! » Cette année, ils sont à 20 000 DA et ce n’est que la moyenne, car les prix atteignent les cimes de 40 000 DA.
La désillusion chez les employés et les petites bourses s’installe rapidement, car ils ont l’impression d’être sacrifiés sur l’autel du profit en l’absence du contrôle de l’Etat. Les négociations avec les vendeurs n’aboutissent généralement pas. Ali est un fonctionnaire dans une administration publique et père de deux enfants. Cette année, il a décidé de sacrifier le mouton pour leur faire plaisir et parce que « c’est la religion qui le veut ». Cependant, la partie est mal engagée pour lui, lorsqu’il tente de faire baisser le prix du côté du quartier algérois de Belouizdad. Il arrive quand même à acheter un mouton à 17 500 DA. Un autre citoyen a beau faire tous les calculs, son salaire et ses économies ne lui permettront jamais de s’offrir un mouton. Alors, il a dû recourir à un emprunt auprès de son employeur. Une autre formule en vogue : l’achat par facilité. 50% du prix est versé à la commande et le reste du paiement est échelonné sur quelques mois. Néanmoins, il y a ceux qui sont déjà assez endettés pour être tentés... tant il s’agit encore de dépenser le peu qu’il leur reste. Ils achèteront de la viande chez le boucher du coin et feront la fête en famille.
Les plus démunis, composés généralement de familles nombreuses, vont se contenter de viandes congelées. Nourredine, la trentaine bien consommée, souligne : « L’Aïd ne peut être réduit à la surconsommation de la viande. C’est un moment important dans la vie du musulman. Le sacrifice permet de réduire l’individualisme et laisser place à la générosité. C’est la fête du partage avant tout. » « Autrefois, l’Aïd avait ses traditions. C’était une occasion pour la famille et les amis de se retrouver pour échanger les vœux. La communion entre les voisins était profonde et pouvait aller jusqu’à offrir une partie du mouton aux familles nécessiteuses. Mais les temps ont bien changé. Le sacrifice et son sens demeurent ancrés. Mais les modes ont changé », se désole un sexagénaire. Depuis une semaine, le bêlement des moutons résonne dans nos quartiers et s’ajoute aux bruits de la ville. Les grandes villes se transforment en un « souk » pour bétail. Des parkings, maisons, jardins et des impasses servent d’espaces de vente pour les commerçants d’ovins. On confie aux enfants la mission de les escorter pour brouter des parcelles d’herbe. C’est un rituel pour eux. Comme chaque année, à la veille de l’Aïd El Kébir, les béliers s’affrontent dans des combats singuliers pour la suprématie locale de leurs propriétaires. Les joutes se déroulent dans les quartiers populaires mais n’ont rien de sacré. Les enfants sont ravis du spectacle. Les adultes se réjouissent des gains qu’ils ont réalisés ou se lamentent de ne pas avoir parié sur le bélier le plus agressif


Source L’Expression


Le Pèlerin

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 05:44

Clinique médicochirurgicale infantile de Bou Ismaïl

Une structure sanitaire au diapason



La clinique médicochirurgicale infantile (CMCI) de Bou Ismaïl (Tipaza) commence à devenir une structure de référence en matière de techniques de pointe utilisées et de prise en charge de la pathologie de cardiologie congénitale chez les enfants et les bébés.
Ceci grâce à la compétence de son encadrement médical et son accompagnement par des compétences étrangères, notamment belges, suisses et anglaises. En dépit des « secousses internes » qui avaient entravé le fonctionnement de cette CMCI de Bou Ismaïl, une évaluation exhaustive de son évolution avait été entreprise. Des propositions ont été émises et des actions initiées à la fois pour la prise en charge des patients et des exigences socioprofessionnelles de l’ensemble des travailleurs.Le projet d’extension de la CMCI de Bou Ismaïl est lancé, bien qu’il traîne encore. Les responsables ont promis le lancement des travaux au courant du 1er trimestre 2009. La CMCI de Bou Ismaïl, en raison de son activité actuelle, sera érigée en structure hospitalo-universitaire. Son haut standing dans le domaine des actes médicaux pratiqués, et surtout de la formation médicale, n’ont pas laissé indifférent le ministre du Travail, Tayeb Louh, qui compte intervenir auprès de son homologue de l’Enseignement supérieur pour la signature d’une convention.
Dans cette clinique médicochirurgicale infantile, on pratique le cathétérisme (diagnostic et intervention) et les interventions à cœur ouvert et à cœur fermé. Quant au projet d’extension inhérant à la construction de la CMCI 2, il vient d’être validé par la direction générale de la CNAS. Il s’agit de la réalisation d’un monobloc qui comprend l’hospitalisation et un plateau technique de dernière génération. En ce qui concerne les préoccupations du personnel médical, le DG de la CNAS a indiqué que la formation est l’un des volets qui sera très suivi et contrôlé dans sa prise en charge. La rémunération du personnel dépendra du taux de production et de réussite mentionnés dans le contrat de performance. Les médecins algériens veulent que leurs salaires soient alignés au même niveau que celui des praticiens étrangers qui viennent effectuer des interventions, conformément aux contrats de performances.
« L’équation est simple : l’Etat est disposé à revoir sa stratégie pour garder les cadres algériens de haut niveau dans le pays », déclare Tayeb Louh en visite, la semaine dernière, dans cette clinique.Le directeur général de la CNAS se déclare disposé à accompagner la CMCI pour mettre à la disposition de cette infrastructure tous les moyens logistiques, en attachant beaucoup de prix au respect des engagements définis au préalable, qui sont, par ailleurs, évalués régulièrement. Le personnel se plaint de la lenteur dans l’acquisition des matériels pour leur mission dans cette clinique. En matière de chirurgie cardiaque congénitale infantile, 4 cliniques privées sont conventionnées avec la CMCI de Bou Ismaïl. L’une se trouve à Annaba et les 3 autres à Alger. La porte de la CNAS demeure ouverte pour la signature des conventions avec les cliniques du secteur privé, selon le DG de la CNAS. Le taux de mortalité dans cette clinique est passé de 5 à 3%. Du mois de septembre au 3 décembre courant, la CMCI a enregistré avec succès 40 interventions de cathétérisme cardiaque.
Le nombre de dossiers en instance aura été incroyablement revu à la baisse. Ayant profité de la visite de Tayeb Louh pour lui demander un équipement vital pour l’échographie cardiaque, le Pr Touati révèle que 251 dossiers sont en instance. Les équipes médicales étrangères prendront en charge 50 enfants malades selon les accords conclus avec la CMCI, tandis que le reste sera pris en charge par l’équipe médicale algérienne

Source El Watan

Le Pèlerin

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 05:28

Stations de ski ouvertes, malgré les conditions météo souvent difficiles. Ce week-end, vingt-neuf domaines accueillaient les skieurs

Deuxième week-end d'ouverture dans les Pyrénées.

C’est parti pour la saison du blanc. Ce week-end, quatre sites sur cinq attendent les skieurs dans le massif pyrénéen qui comptent en tout 38 stations. Le dernier week-end, ce sont les domaines du réseau N'Py qui avaient ouvert le ban. L'abondance de la neige, même si les conditions météo ne sont pas forcément réjouissantes, a convaincu les directeurs de station de ne pas retarder plus longtemps le calendrier prévu.

Haute-Garonne : sont opérationnels les stations de Peyragudes, Le Mourtis et Superbagnères.

Ariège : Beille, Ax-3 Domaines, Les Monts d'Olmes, Goulier Neige et Chioula.

Hautes-Pyrénées : Cauterets, Piau-Engaly, Saint-Lary, Soulan, Tourmalet, Nistos et Campan-Payolle.

Pyrénées-Atlantiques : Gourette, Iraty, Le Somport et La Pierre Saint-Martin.

Pyrénées-Orientales : Puigmal, Les Angles, Pyrénées 2000, Capcir, Formiguères, Espace, Cambre d'Aze et Puyvalador.

Le manteau neigeux est suffisant. Hier, on notait à Barèges-La Mongie 150 cm à une altitude de 2 500 m. Mais le vent violent laissait craindre des risques d'arrêt des téléportés.

Météo France n'a pas émis d'avis pour les Pyrénées, mais appelle à la vigilance. Une mise en garde contre les risques d'avalanche dans les Alpes, et contre les coulées de neige dans le massif vosgien, a été publiée hier.

Alors, quoi de neuf pour cette saison dans les Pyrénées ? Trois stations, Peyragudes, Saint Lary et Font-Romeu-Pyrénées 2 000 ont réalisé à elles seules 65 % des investissements pour 27,44 M€. Si l'enjeu du changement climatique pose la question de la diversification des activités en station, le ski reste néanmoins un élément moteur.

C'est pourquoi les stations ne relâchent pas les investissements en matière d'extensions de réseaux et d'implantation de nouveaux canons à neige.

C'est le cas à Saint-Lary (4,3M€) et Font-Romeu (5,7M€). L'amélioration de la qualité des pistes par des travaux de terrassement et de végétalisation, la sécurité et la création de nouvelles pistes comme à Gourette. Deux nouvelles pistes thématiques ont été aménagées à Font-Romeu, ainsi qu'une piste de luge à Pyrénées 2 000.

Routes : circulation, mode d'emploi

Peu de cols sont fermés, mais tous ou presque nécessitent d'avoir des équipements spéciaux obligatoires. En Ariège, sont inaccessibles les cols de La Core, Pailhères et Pradet. La circulation sur la RN 22 et 320 (axe La Croisade-Pas-de-la-Case, accès au tunnel et col du Puymorens sont rendus difficile, suite à la neige et au verglas. En Haute-Garonne, cols ouverts mais des équipements sont obligatoires au Portillon. Dans l'Aude, pas de problème particulier. Dans les Pyrénées -Atlantiques, sont fermés les cols de l'Aubisque et de la Pierre Saint-Martin. Et dans les Hautes-Pyrénées, tous les cols sont ouverts sauf la D 618 au Tourmalet. Dans les Pyrénées-Orientales, aucun souci particulier. Et pour ceux qui choisiraient de rejoindre la station du Lioran dans le Cantal, il importe de se munir d'équipements.


Source La Dépêche du Midi


Le Pèlerin

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 05:19

Abolition de la peine de mort
Le RCD dépose une proposition de loi


Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) multiplie les initiatives parlementaires. Après la volée de questions orales et écrites destinées aux membres du gouvernement, ses députés s’attaquent de front à la lancinante problématique de la peine de mort. Une proposition de loi portant abolition de la peine capitale vient, en effets d’être déposée sur le bureau de l’Assemblée par le député Ali Brahimi.

Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Cette proposition de loi a recueilli l’assentiment de deux députés du MEN, d’un député du FNC, d’un autre du MJD ainsi que de deux députés du groupe des indépendants. Les parlementaires du RCD, qui, par cette prodigieuse initiative, travaillent à concrétiser une conviction consignée dans le programme du parti depuis 1989, estiment, exposant les motifs, que «la peine de mort, dont les origines remontent aux temps les plus reculés de l’histoire, contredit cet idéal (respect de la vie, ndlr). Elle constitue une violation des droits fondamentaux de l’homme que justifie mal l’argument, louable en soi, de protection absolue de la société». Pour les députés du RCD, la peine capitale réalise et légalise l’anéantissement de l’être humain et, de ce fait, «elle représente une négation définitive du droit à la vie que l’article 3 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 reconnaît «à tout individu », ce même droit que l’article 6 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques considère également comme «inhérent à la personne humaine». Sur un plan plutôt de droit, le groupe parlementaire du RCD, et évidemment les députés signataires de la proposition de loi, considère que «cette peine, par sa nature même, est la seule à revêtir un caractère à la fois irréversible, irrévocable et irréparable». Par ailleurs, l’argument qui a prévalu jusque-là et qui a consisté à dire que la peine de mort a un effet dissuasif est battu en brèche par les auteurs de la proposition de loi. «Quant au prétendu effet dissuasif de cette sanction suprême, il n’a, à ce jour, jamais été prouvé par aucune étude scientifique. Bien au contraire, les exemples statistiques du phénomène inverse sont légion de par le monde.» L’exposé des motifs chute judicieusement sur les engagements internationaux de l’Algérie en matière des droits de l’homme mais surtout sur le moratoire de 1993 quant aux exécutions des peines capitales. «Observant, depuis 1993, un moratoire sur les exécutions capitales, l’Etat algérien est attentif aux recommandations de l’ONU et de la société civile mondiale. Par ailleurs, l’Algérie a ratifié la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques ainsi que la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples et la Charte arabe des droits de l’homme. Facteur favorisant, la Constitution accorde la primauté au droit international sur le droit interne. L’Etat algérien vient de reconduire pour la deuxième fois son soutien à la résolution de l’ONU appelant à un moratoire des exécutions capitales.» Parallèlement à ce dépôt de proposition de loi, les parlementaires du RCD ont retenu l’organisation, le 15 décembre prochain, au siège de l’APN, d’un colloque pour l’abolition de la peine de mort.
S. A. I.

Ce qu’en pensent les partis politiques et la LADDH

Moussa Touati (Front national algérien) :
«Il faut la transformer en perpétuité»
«D’un point de vue purement juridique, la condamnation à mort est pratiquement bannie dans tous les pays à l’exception de l’Arabie saoudite pour des raisons religieuses et les USA. En Algérie, puisque nous enregistrons une évolution dans le monde carcéral, la condamnation à mort ne se justifie plus. Nous sommes pour son abolition et pour que cette peine se transforme en perpétuité sans que le condamné ne puisse avoir le droit de bénéficier d’une grâce, des remises de peine sous des recours.»
Djemaâ (MSP) :

«Nous sommes contre son abolition»
«Nous nous inspirons au MSP des principes de l’Islam qui, dans un cas extrême, évoque la condamnation à mort. Nous sommes, donc, contre son abolition. Il existe des cas extrêmes pour lesquels il n’est pas possible de ne pas l’appliquer surtout lorsque les preuves sont irréfutables et que le crime est abominable. C’est un principe de l’Islam mais il faut des garde-fous pour éviter les erreurs judiciaires.»
Saïd Bouhadja (FLN) :
«On penche pour sa suppression»
«Le monde entier est en train de se diriger vers l’abolition de la peine de mort et je pense que l’Algérie s’y dirige puisqu’elle est en train de revoir toute sa législation et rien n’empêche son abolition. Au FLN, on penche pour sa suppression.»
Maître Bouchachi (LADDH) :
«L’abolition est notre cheval de bataille»
«La Ligue des droits de l’homme fait du droit à la vie un principe. L’abolition de la peine de mort est notre cheval de bataille. C’est une position intransigeante. D’ailleurs, nous avons installé au niveau de la LADDH une cellule qui se penche sur le dossier et qui va faire tout un travail de sensibilisation. En France, par exemple, l’abolition de la peine capitale n’a pas eu pour conséquence l’augmentation des crimes tout comme dans les Etats des USA qui l’appliquent, aucune baisse n’a été enregistrée. La peine de mort ne peut pas être un principe de dissuasion car cette dernière ne conduit pas forcément à la baisse de la criminalité

Source Le Soir d’Algérie


Le Pèlerin

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