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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 00:47

Constructions illicites
Les fraudeurs rattrapés par la loi

«Le malheur des uns fait le bonheur des autres », dit-on. Les années 1990 marquées par le terrorisme et l’insécurité ont été mises à profit par des auto-constructeurs qui se sont crus encouragés par l’état de déliquescence et de paralysie des institutions locales et des organismes de contrôle. 

Ils ont érigé des constructions en violation de la loi de décembre 1990 qui fixe les règles de construction et en violation de la réglementation qui en découle. Mais on dit aussi que «force doit revenir à la loi». L’Assemblée populaire nationale (APN) votera prochainement une loi d’exception destinée à rattraper toute cette faune de fraudeurs et mettre un terme à l’injustice et l’impunité flagrantes dont ont bénéficié les fraudeurs et dont on souffert beaucoup de citoyens voisins de ces constructions illicites. L’Algérie a vécu une sorte de catastrophe urbanistique que tout un chacun peut constater et évaluer à l’oeil nu.
Pour remédier à cette situation, le conseil des ministres a approuvé un avant-projet de loi d’une validité de cinq ans, relative aux règles de mise en conformité des constructions en vue de leur achèvement. M. Noureddine Moussa, ministre de l’Habitat, a expliqué le sens de ce texte dans un entretien accordé à la chaîne 3 de la radio nationale dont il était l’invité de la rédaction. Quand elle sera promulguée, cette loi obligera les constructeurs à achever  leur construction. Elle devrait permettre de sortir des situations de contentieux qui opposent les fraudeurs à l’Etat ou à des particuliers. Il faut noter que l’achèvement des constructions est soumise à l’obtention d’un permis qui comporte une série de mesures techniques, notamment la délivrance d’un certificat de viabilité. Un certificat de conformité, institué par la loi, fixera les conditions d’occupation et d’exploitation, notamment des commerces. Le certificat de conformité devient une pièce maîtresse, souligne le ministre de l’Habitat. Pas d’accès aux utilités publiques sans ce certificat, précise-t-il.
M. Moussa rappelle qu’aucune loi n’a d’effet rétroactif et que cette loi d’exception ne régularisera que ce qui est régularisable. Il n’est donc pas question qu’elle encourage l’anarchie et l’impunité, les fraudeurs qui voudraient se lancer dans une construction illicite durant les cinq prochaines années pour profiter de la régularisation par cette loi sont avertis, elle ne les concerne pas. Ils ne devraient pas crier victoire comme s’ils avaient gagné la partie, puisque la loi les exclut de son champ d’application comme elle exclut les constructeurs illégaux qui ont porté atteinte à un site à préserver ou qui ont construit en violation des règles urbanistiques ou sur un passage de servitudes ou dans un espace soumis au risques naturels et technologiques ou des domaines spécifiques, comme le ferroviaire et le maritime et, sans doute, même ceux qui ont porté atteinte aux droits de leurs voisins. La loi prévoit les instruments de son application.


Source La Nouvelle république
Le Pèlerin
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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 00:38
L'Algérie en 50 mots-clés De A à Z (5/8)

 

Aujourd’hui M, N

 

 

Mauvais œil et Talismans

 

Pour combattre le maz'ra ("mauvais œil") ou la scoumoune ("malchance") et pour attirer la baraka ("chance"), chacun a sa méthode : rites, gri-gri, fumigations odo­rantes, bénédictions, prières au marabout du coin, henné et khôl, invocation de dieu (Bismillah, "au nom d'Allah"), etc. Dans ce domaine, les chiffres 5 et 7 sont chargés d'une symbolique particulière dans le monde arabo-musulman.
Sur les portes, le heurtoir était tradition­nellement en forme de main, la main du bonheur qu'on retrouve avec la main de Fatima (khemsa). Si les cinq doigts de la main évoquent les cinq prières quotidiennes de l'islam et les cinq piliers de l'islam (les cinq obligations auxquelles le croyant est tenu d'obéir), le symbole n'est pourtant pas religieux et a touché toutes les communau­tés qui ont vécu en Algérie. Le 5 se retrouve également dans la forme circulaire, l'œil ou le CD orné de versets du Coran pendu au rétroviseur de la voiture.
Le chiffre 7, sebba, est porteur d'une grande symbolique dans nombre de cultures et on le retrouve aussi souvent dans la Bible que dans le Coran qui évoque les sept cieux, les sept terres ou les sept parties de l'enfer, etc. Sept est également le nombre des versets de la sourate liminaire du Coran, al-Fâtiha, que tous les musulmans connaissent par cœur. Les exemples peuvent être multipliés au moins par sept. Ainsi, il y a sept façons de lire le Coran et sept interprétations pos­sibles ; on tue un mouton sept jours après la naissance d'un enfant qui reçoit en même temps son prénom ; les remparts des villes anciennes étaient souvent percés de sept portes et on dit qu'après la fin du monde sept villes du Maghreb (Tunis, Ténès, Tiaret, Tlemcen, Taza, Tetouan et Taroudant) reste­ront debout...

 
Marchandage

 
Cette pratique, finalement bien moins répandue en Algérie que dans les souks de Marrakech, possède de bons côtés car elle pousse au contact et à la discussion. Le but étant d'arriver à un bon prix qui fasse autant plaisir au marchand qu'à vous-même, il ne faut jamais raisonner en termes de béné­fices. De toute façon, si le marchand vous vend un produit, c'est qu'il y gagne aussi quelque chose. Ne vous demandez pas si vous auriez pu descendre plus bas. Essayez tout de même de vous renseigner avant, pour connaître la fourchette de prix du produit que vous souhaitez acheter. Enfin, règle d'or, si vous proposez un prix et que le marchand l'accepte vous devez payer. Encore une fois, c'est l'honneur qui est en jeu. Sinon vous n'êtes jamais obligé de payer, même sous la menace du marchand. Ne vous laissez pas influencer, soyez fier d'acheter.

Medersa

Les medersas sont les écoles coraniques autrefois chargées de l'éducation des étu­diants en théologie, en histoire ou en sciences. Ces "universités coraniques" furent implan­tées dès le XIIe siècle, souvent situées près des mosquées et leur architecture repose tra­ditionnellement sur une vaste cour rectangu­laire à ciel ouvert, pourvue d'un large bassin à ablutions et d'un déambulatoire. A l'extrémité de cette cour, la salle de prière (haram) est souvent un joyau de décoration. Les murs sont généralement très hauts et coiffés d'un toit de tuiles vertes en forme de pyramide. A l'étage, les chambres sont de petites cellules où s'entassaient les étudiants.     

 

Mosquée

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Mosquée (djemâa ou djamâa, en arabe) signifie le "rassemblement". C'est donc l'endroit où l'on se rassemble pour une prière collective. Chaque quartier possède la sienne, plus ou moins récente, plus ou moins bien décorée. En dehors des prières, la visite des mosquées est en principe auto­risée aux non-musulmans mais par mesure de précaution demandez toujours si vous pouvez entrer. Dans tous les cas, une tenue correcte est impérativement exigée et ôtez vos chaussures à l'entrée. Chaque mosquée est composée d'une cour intérieure au centre de laquelle se trouve le bassin à ablutions.

Face au mur de prière (qibla), orienté vers l'orient, les fidèles s'alignent pour prier ensemble devant le mihrab, niche creusée dans la qibla et indiquant la direction de La Mecque. Le minbar, la chaire à prêcher où officie l'imam, peut être excentré ou situé devant le mihrab. L'Algérie compte de nom­breuses belles mosquées (Tlemcen, Alger, etc.), la plus grande étant celle de l'Université Abdelkader des sciences islamiques édifiée «j début des années 1980 à Constantine.

 

Muezzin

 

Un enfant à qui l'on demandait "Alors c'était bien l'Algérie ?" répondit "Oui, à part le monsieur qui criait la nuit !" Eh oui, le muezzin ou de nos jours sa voix enregistrée crie, ou plutôt appelle les fidèles à la prière cinq fois par jour (adhan). Il commence très tôt le matin, et il y a ceux qui l'entendent et ceux qui dorment encore trop profondément...

 

Mirage

 

Dans les zones désertiques, aux heures les plus chaudes de la journée, on peut être grugé par l'apparence trompeuse d'une nappe d'eau située dans le lointain, alors qu'il ne s'agit en fait que d'un phénomène optique proche de la perfection. Celui qui n'a pas eu la chance d'être confronté directement à un mirage, en a certainement entendu parler, sans aller jusqu'à certaines représentations caricaturales de ce phénomène, vues i.ims des films ou des bandes dessinées, pas toujours conformes à la réalité. Contrairement à une idée reçue, les mirages mi sont pas une exclusivité des déserts, ils peuvent également se produire sur la banquise ou en mer. La cause en est la superposition de couches d'air de températures différentes. L'illusion d'optique est entretenue par une densité inégale à l'in­térieur de ces couches d'air, et par une reflexion intégrale des rayons lumineux. La conséquence visuelle se traduit par le fait que des objets éloignés vont avoir plusieurs nuages inversées ou superposées et plus ou moins tremblantes.

Nif

 
Le mot désigne le nez, siège de l'honneur, île la fierté, de l'orgueil qui frise souvent la grande susceptibilité... Il faut juste le savoir ! La prochaine fois, nous vous parlerons de la redjla ("virilité" jusqu'au machisme)...

Nomades

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La vie nomade a été le mode de vie tradition­nel d'une bonne partie de l'Algérie, depuis les temps les plus reculés jusqu'aux débuts de la sédentarisation dans les années 1960. Les gravures rupestres du Tassili N'Ajjer témoignent du mode de vie pastoral et nomade d'un peuple qui serait l'ancêtre des peuls du Sahel. Ceux-ci se seraient réfugiés plus au sud lors de la désertification des savanes. De nos jours, il n'y a plus beaucoup de nomades "à temps plein". Les Chaambas sont devenus sédentaires, les Touaregs aussi mais c'est peut-être la nostalgie d'une vie organisée autour de la caravane des cha­meaux, des troupeaux de chèvres et de la kheima (tente) qu'on démontait quand il n'y avait plus d'herbe qui fait choisir à certains de travailler avec des touristes.

 
A suivre……Demain O, P, R

 
Source : Le Petit Futé

 
Le Pèlerin

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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 00:29

Bouteflika et les Généraux

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Affaibli par ses problèmes de santé et discrédité, le président Bouteflika lorgne pourtant sur un troisième mandat. Sauf que les Algériens ne semblent pas galvanisés par cette perspective. Quant à l’armée et les services, ils ne veulent pas en entendre parler.

Lors d’une visite de Vladimir Poutine à Alger en 2006, le président Bouteflika a donné son accord pour un gros contrat d’aviation avec la Russie qui devait aboutir à la livraison d’avions de chasse Mig 29. À ceci près que les Algériens se sont révélés forts déçus par les premiers spécimens réceptionnés en 2006 et 2007. Résultat : à quelques heures de l’arrivée à Moscou du président algérien Abdelaziz Bouteflika, ce lundi 18 février, l’annonce d’un accord a fuité dans la presse russe. Finalement, les Mig 29 devraient être remplacés par des Mig 35. Étonnant quand on sait que ces dernières semaines, la présidence algérienne se disait intéressée par la livraison de Rafales français

En réalité, à la manœuvre en coulisses, les militaires algériens ont fait comprendre à Bouteflika que les Russes avaient leurs faveurs. Surtout, le tout puissant général Mohamed Médiène, à la tête des services algériens depuis dix-huit ans, qui a fait savoir à Bouteflika qu’il fallait conclure avec les amis de Poutine. Après tout, ce général aussi discret que redouté a été formé à Moscou. Apparemment, les désirs de Médiène - surnommé « Tewfik »- restent des ordres. Et entre le patron de la sécurité militaire algérienne et Bouteflika qui fait de la résistance, la guerre est déclarée.

Bouteflika prétend se présenter pour un troisième mandat en 2009
Le président algérien, qui apparaît aujourd’hui affaibli par ses pathologies aux reins et à l’estomac, s’accroche au pouvoir. Élu en 1999 et réélu en 2004, il prétend se présenter pour un troisième mandat en 2009. Bouteflika bénéficie de quelques appuis au sein du sérail algérien, essentiellement auprès des confréries religieuses (zaouias) et des ministres originaires de l’Ouest du pays. Parmi eux, le ministre de la Jutice, Tayeb Belaiz, le ministre du Travail, Tayeb Louh, le ministre de l’Énergie et des Mines, Chakib Khelil mais aussi le ministre de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zehrouni, bien qu’il soit né à Tunis.

Or, le bilan du groupe de l’Ouest n’est pas des plus glorieux : les privatisations traînent, la situation sociale se tend et surtout les attentats terroristes se multiplient autour d’Alger. Et, disons-le, l’idée d’un troisième mandat de Bouteflika n’enchante pas la population. Mais surtout, les ambitions du président suscitent la colère d’une partie de l’armée et des services secrets algériens.

L’armée se mêle de plus belle des affaires de la Présidence
Du coup, le général Médiène et ses amis ont envoyé quelques scuds bien sentis dans le jardin de la Présidence. On peut, entre autres, citer celui des nominations d’ambassadeurs et de préfets. Ces dernières nécessitent impérativement le feu vert (ou « habilitation ») des services qui se gardent bien de le faire. Résultat : depuis des semaines, elles traînent. Mais on pourrait tout aussi bien citer les récents malheurs judiciaires de Kaddour Gouaïche. Ce conseiller du président Bouteflika et responsable de l’association des Zaouias a été condamné à quatre ans de prison pour avoir servi en douce, et moyennant devises, d’intermédiaire auprès de sociétés étrangères voulant décrocher des contrats en Algérie.

À l’approche de l’élection présidentielle de 2009, l’un des derniers fortins de Bouteflika reste le géant des hydrocarbures algérien, Sonatrach, dirigé de facto par le ministre de l’Énergie, Chakib Khelil, et par l’un de ses proches. Et encore, même sur ce dossier, la marge de manoeuvre présidentielle se réduit comme le montrent les rebondissements

de cette affaire qui implique 104 hauts cadres de la Sonatrach, accusés de comportements déviants lors de passations de marchés. Malgré ces déconvenues, le président Bouteflika s’accroche à un troisième mandat et n’hésite pas à mettre les deux pieds dans le plat. Ainsi, le 5 juillet dernier, en plein Conseil de sécurité qui a rassemblé la fine fleur de l’État-major de l’armée et des services, le président n’a pas hésité à leur lâcher : « Vous vous occupez de la sécurité et moi du reste »…

« Un débarquement à la Bourguiba a été envisagé » à Alger
Du coup, en haut-lieu à Alger, on cherche une solution. Un débarquement à la Bourguiba (renversé en Tunisie en 1987 par le général Ben Ali lors d’un coup d’État médical) a été envisagé. Mais, soucieux de ménager l’opinion internationale, d’autres penchent pour la nomination d’un vice-président aux côtés de Bouteflika, ce qui permettrait une transition en douceur. Pour l’instant, l’armée n’a pas de favori tant le paysage politique algérien est davantage discrédité qu’en France, au vu de l’asthénie des partis politiques. L’Algérie est donc à la recherche de l’homme providentiel pour sortir de l’ornière. Avec toujours cette ambiguïté de l’armée qui tient le pouvoir sans l’assumer vraiment.


Source : Bakchich

Le Pèlerin

 

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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 00:28

Développement durable: 10.800 chauffe-eau solaires en Midi-Pyrénées

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La Commission permanente de la Région Midi-Pyrénées du 7 février 2008, réunie sous la présidence de Martin MALVY, a adopté un ensemble de subventions d’un montant total de 163 000 euros pour l’aide à l’installation de chauffe-eau solaires par les particuliers.
Depuis 2001, la participation du Conseil régional, à hauteur de 600 euros par équipement en complément de l’aide de l’ADEME ou du crédit d’impôt, a permis à Midi-Pyrénées de se placer en tête des régions françaises pour le nombre d’installations de chauffe-eau solaires par habitant.
262 particuliers sont soutenus grâce à ce vote qui porte à 10 800 le nombre de chauffe-eau installés en Midi-Pyrénées.
Cette Commission permanente a également adopté une subvention de 69 000 euros pour la réalisation de 46 installations de systèmes solaires combinés. En 2007, la Région a soutenu 223 installations de ce type.
Le développement durable constitue depuis plusieurs années maintenant un domaine à part entière d’intervention de la Région, autant qu’une préoccupation transversale dans la mise en œuvre de ses politiques.
Midi-Pyrénées est la première Région de France reconnue par le ministère de l’Ecologie et du Développement durable pour son Agenda 21.
Source: Région Midi-Pyrénées
Le Pèlerin
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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 00:20

Les Borachicos, vous connaissez ?

Ingrédients :

1 kg de farine, 350 gr de sucre fin, 200 gr de sucre cristallisé, 1/4 d'huile d'arachide, 1/4 de vin blanc, 2 sachets de levure, 1 orange, 1 citron.

Préparation :

Dans un récipient, mettre le 1/4 d'huile, le 1/4 de vin blanc, ajouter le sucre fin, le zeste d'une orange et d'un citron, la levure, mélanger le tout. Incorporer ensuite la farine pour former une pâte souple.
faire des petits boudins et les fermer en rond.

Préchauffer le four à 180° et pendant ce temps là passer les gâteaux dans le sucre cristalisé et les mettre sur une plaque pour le four.

Faire cuire à 180° pendant environ 12 à 15 mn. Les sortir quand ils sont un peu dorés, même s'ils sont un peu mous, les laisser refroidir sur la plaque

Source : Site des Enfants d’Hussein-Dey

Le Pèlerin

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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 00:01

Le processus de Barcelone enterré

Union pour la Méditerranée, l’ébauche se précise

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Le processus de Barcelone définitivement enterréUnion pour la Méditerranée, l’ébauche se précise. L’ébauche autour du projet de l’union pour la Méditerranée prend forme au fur et à mesure que Paris et Berlin s’autorisent des concessions mutuellement.

Ces deux capitales européennes, dont l’accord sur le charbon et l’acier au lendemain de la Seconde Guerre mondiale a jeté les fondements de l’Union européenne que l’on connaît actuellement, semblent être tombées d’accord sur le sujet. Elles se sont entendues pour rebaptiser « Union pour la Méditerranée » la politique européenne de coopération avec les pays du sud de la Méditerranée, selon l’AFP, hier, qui cite un document préparé par les deux pays pour leurs 25 partenaires de l’UE. Ce document, selon la même source toujours, indique que le « processus de Barcelone », lancé en 1995 par l’UE pour se rapprocher de ses voisins du Sud, sera intitulé ‘‘Union pour la Méditerranée’’ (UPM). Ainsi Sarkozy et Merkel semblent avoir aplani quelque peu leurs divergences pour se fixer au moins sur le principe, et non des moindres, de supplanter le processus de Barcelone par l’union pour la Méditerranée. Cité par l’AFP, le secrétaire d’Etat français aux Affaires européennes, Jean-Pierre Jouyet, avait estimé la semaine dernière qu’« Union pour la Méditerranée » était une « meilleure marque » que « processus de Barcelone ». Ce texte est la première version écrite du compromis trouvé la semaine dernière entre le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel. C’est aussi la première proposition formelle sur ce projet controversé à être présentée aux autres pays de l’UE. Le document doit être présenté formellement aujourd’hui par le duo Sarkozy-Merkel lors du dîner avec leurs homologues de l’UE à Bruxelles. A titre de rappel, lors d’une réunion tripartite dans la capitale italienne, le président Nicolas Sarkozy et les chefs de gouvernement italien Romano Prodi et espagnol José Luis Zapatero ont adopté, décembre 2007, l’« Appel de Rome pour l’Union de la Méditerranée ». Il sera concrétisé lors d’une conférence le 13 juillet prochain à Paris. Mais pour l’heure, force est de remarquer que les pays de la rive sud, clients potentiels de ce projet, restent dans l’expectative, ne comprenant pas véritablement les ambitions avérées ou supposées de leurs riverains du Nord. Lors de sa visite officielle en Algérie en décembre 2007, et à l’université de Constantine plus précisément, Nicolas Sarkozy a déclaré : « L’union de la Méditerranée, c’est un pari et un défi (...) qui n’est ni plus ni moins raisonnable que celui de l’Europe il y a soixante ans » et a invité son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika, à « bâtir l’union méditerranéenne sur l’amitié franco-algérienne (...) comme la France offrit jadis à l’Allemagne de construire l’union de l’Europe sur l’amitié franco-allemande ». Il s’agit ainsi rien moins qu’une vision d’une union politique devant apporter « la paix et le développement » entre les deux rives de la Méditerranée dans l’esprit ayant présidé au Traité de Rome de 1957 qui a donné naissance à l’Union européenne. Mais encore de quelle substance supplémentaire sera truffé ce projet que n’ait prévu le processus de Barcelone ? « Il n’y aura pas de débat proprement dit » sur le sujet, a assuré hier le secrétaire d’Etat slovène aux Affaires étrangères, Janez Lenarcic, dont le pays préside l’UE. Il a réaffirmé le scepticisme slovène face à ce projet. « Nous n’avons pas besoin de faire double emploi, ou d’institutions qui fassent concurrence à celles de l’Union européenne », a déclaré M. Lenarcic. Dans leur texte, Paris et Berlin assurent que « l’UPM a pour vocation de promouvoir la coopération de dimension régionale » et de « donner un nouvel élan » au processus de Barcelone. Le document, qui n’entre pas dans les détails, indique que cette union sera basée sur « le développement de nouveaux projets de dimension régionale ». On a souvent parlé notamment de la dépollution de la Méditerranée. Mais pas davantage de l’énergie, même si l’on soupçonne l’Europe de lorgner un peu trop ce secteur. L’Algérie, par exemple, est le premier exportateur d’hydrocarbures en Méditerranée en 2006 dont 61% par gazoduc. Elle est le troisième fournisseur de l’UE après la Russie et la Norvège. Notre pays compte arriver à une capacité de livraison de 85 m3 à l’horizon 2010.

Source El Watan

Le Pèlerin

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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 08:39

Accord des 27 sur l'Union pour la Méditerranée

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Bruxelles- Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi soir que les 27 étaient arrivés à un accord "à l'unanimité" au Conseil européen de Bruxelles sur l'Union pour la Méditerranée (UPM).

"Demain matin sera formellement prise la décision de transformer le processus de Barcelone en Union pour la Méditerranée", a-t-il déclaré lors d'un point-presse. "La décision a été prise ce soir à l'unanimité, avec un grand enthousiasme".

L'accord a été conclu "sur la base du papier franco-allemand" élaboré entre le président français et la chancelière allemande à Hanovre le 3 mars.

Le principe d'un premier sommet de l'UPM à Paris le 13 juillet a également été "validé", a-t-il ajouté. D'ici là, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a été chargé de "faire des propositions sur la gouvernance" de l'UPM.

"Tous les pays d'Europe seront membres de l'Union pour la Méditerranée", mais "ne pourront coprésider l'Union pour la Méditerranée que les pays riverains de la Méditerranée", a résumé Nicolas Sarkozy. "C'est un compromis".

Côté financements, l'UPM bénéficiera de ceux déjà dévolus au processus de Barcelone lancé en 1995 entre l'UE et des pays du Sud. "C'est la Commission qui doit gérer les fonds" et l'UPM dira "à la Commission: c'est ce projet que nous voulons plutôt que tel autre (...) C'est ça l'articulation", a-t-il expliqué.

Nicolas Sarkozy a affirmé que la question des moyens financiers "n'est pas un problème", évoquant un "potentiel" de financements déjà existant "de l'ordre de 13 ou 14 milliards d'euros".

"Il reste encore du travail, bien sûr, mais formellement la décision est prise", a-t-il insisté, ne cachant pas sa "satisfaction".

Le président français s'est défendu d'avoir "renoncé à l'ambition du projet" qu'il a défendu pendant la campagne présidentielle: "franchement, je pense que le projet initial n'est pas éloigné du projet actuel".

"Je n'ai jamais porté l'idée d'exclure quelque pays d'Europe du projet, au contraire (...) Sur la base du volontariat, tous les pays européens étaient appelés à y participer", a-t-il assuré. De même, "une Union de la Méditerranée concurrente de l'Union européenne (...) ça n'a jamais été mon esprit", a-t-il affirmé.

Interrogé sur ce qui distinguait l'UPM du processus de Barcelone, Nicolas Sarkozy a souligné qu'il s'agissait de développer des "projets concrets" pour faire de la "Méditerranée un espace de paix". Il a ainsi cité en exemple "un système Erasmus pour les étudiants de la Méditerranée", la dépollution de la Méditerranée, ou la construction d'un "espace de sécurité".

Par ailleurs, cette nouvelle structure sera coprésidée par un pays du Nord et un pays du Sud, avec un sommet tous les deux ans, pour "traiter les deux rives à égalité". "Barcelone n'a pas marché (...) parce qu'on donnait l'impression qu'il y avait les seniors qui étaient les Européens, et les juniors qui étaient les Méditerranéens du Sud", a-t-il estimé.

"La discussion a été extrêmement facile" à Bruxelles, a souligné Nicolas Sarkozy. "On n'est pas passé en force".

Interrogé sur ses relations avec la Chancelière allemande Angela Merkel, un temps réticente, Nicolas Sarkozy a assuré qu'elle "a porté" avec lui jeudi soir l'idée de l'UPM. "Je pense qu'on ne s'est jamais mieux compris" et "au fil des semaines et des mois on apprend de mieux en mieux à travailler ensemble". Car "quand il y a un problème, on s'en explique" et "on arrive à une solution". Et "on s'envoie des textos...", a-t-il souri.

Mais le plus dur reste à faire: convaincre les pays du Sud et amener autour de la même table à Paris des pays comme Israël, la Libye, la Syrie, l'Autorité palestinienne, le Maroc ou l'Algérie. "C'est extrêmement difficile", a-t-il concédé. "C'est pas une raison pour pas le faire".

Le président français a affirmé avoir déjà le soutien du Maroc, de la Libye, de l'Egypte et de la Tunisie, quand l'Algérie n'est "plus opposée" à l'UPM.

"Il va falloir travailler maintenant sur un sommet" et trouver "un certain nombre d'astuces pour que tout le monde se sente à l'aise...", a conclu Nicolas Sarkozy.

Source La Presse Canadienne

 

Le Pèlerin

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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 08:36

Les droits de l’homme en Algérie selon l'Amérique

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Les critiques de Washington : le 3è mandat de Bouteflika, le harcèlement de la presse et… l’interdiction des « Geôles d’Alger »

Le rapport 2007 du département d’Etat américain sur les droits de l’homme en Algérie, rendu public hier, est tout aussi sévère que celui de l’année dernière. Il dénonce les atteintes à la liberté d’expression, le refus d’agrément de nouveaux partis politiques et le trucage des élections constituent les principaux feux rouges contenus dans le rapport 2007. Nouveautés du rapport 2007 : le 3è mandat de Bouteflika et … « Les geôles d’Alger » ! Le rapport a clairement attiré l’attention, dans le volet réservé à l’Algérie, sur ce qu’il a qualifié de « polémique autour de la révision de la Constitution, afin de permettre au président Bouteflika de se présenter à un troisième mandat ».


Le rapport reproche aux dirigeants du pays de « susciter une polémique au sujet d’un nouveau mandat, alors que Bouteflika n’a pas achevé son second mandat ». Le rapport, qui a été publié sur la Une du site internet du Département d’Etat américain aux Affaires étrangères, a qualifié ce que connaît l’Algérie, au sujet de ce dossier, de « précédent », depuis la fin du système de parti unique, et plus d’une décennie après ce qu’elle a qualifié de guerre civile. Le rapport s’attarde sur le cas du livre de Mohamed Benchicou, « Les geôles d’Alger », qui a été interdit au Salon du livre d’Alger, en octobre dernier, et y voit l’exemple le plus frappant « des représailles contre ceux qui ont critiqué des responsables dans le gouvernement ». Le document insiste sur le fait que « le gouvernement utilise des lois concernant la diffamation pour harceler et arrêter des journalistes et la presse et cite les 50 procès de Belhouchet et les affaires d’Echourouk et Al Bilad. Au-delà des refus essuyés par les ONG des droits de l’homme pour la tenue de meetings, Au chapitre politique, les élections locales pluralistes du 29 novembre ont été « minées d’irrégularités et d’accusations de fraude », estime le rapport. Et de souligner à l’appui qu’« aucune surveillance des opérations de dépouillement n’était permise au niveau des communes, des wilayas ou au plan national ». Au plan médiatique, le département d’Etat note que les antennes paraboliques « étaient très répandues et ont permis à environ 60% des ménages de suivre des chaînes européennes et arabes ». Mais il constate que le gouvernement « n’autorise pas la création de chaînes radio ou télévisées privées ». Le document du département d’Etat s’est félicité tout de même du fait qu’il n’y ait « pas eu de rapports faisant état de meurtres arbitraires ou illégaux par le gouvernement ou par ses agents ».


Source Le Matin DZ

 

Le Pèlerin

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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 08:25

L'Algérie, future grande destination du Maghreb

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L'Algérie devrait profiter pleinement du boom du tourisme attendu en Afrique du Nord dans les prochaines années. C'est ce qui ressort d'une étude du World Travel Market Global Trend, publiée aujourd'hui à Londres (Grande-Bretagne). Cette étude affirme que l'Algérie devrait notamment profiter des expériences et des succès de ses voisins marocain, tunisien et égyptien pour accélérer son développement dans le domaine du tourisme.

Selon World Travel Market Global Trend, le gouvernement algérien a compris l'intérêt du tourisme comme moteur de la croissance économique. Il a engagé des travaux pour mettre en place les infrastructures nécessaires à l'accueil des touristes étrangers. Les investissements étrangers, notamment du Golfe et du Moyen-Orient, affluent également vers le pays. Plusieurs groupes émiriens ont annoncé récemment des investissements de plusieurs milliards de dollars dans l'hôtellerie de luxe.
Il faut dire que cette étude confirme les objectifs du département de Chérif Rahmani qui table sur 11 millions de touristes à l'horizon 2025. C'est dans ce cadre qu'ont été organisées les assises régionales du tourisme pôle Centre-Nord.
Huit ateliers thématiques ont été organisés lesquels ont mis en place une série de recommandations.
C'est ainsi que pour le repositionnement du pôle d'excellence, l'atelier 1 a recommandé d'associer l'image touristique au produit culturel auquel viennent s'associer d'autres produits tels que le tourisme vert, le tourisme balnéaire, le tourisme d'affaires, de congrès et de conférence et d'identifier le pôle Nord-Centre à d'autres pôles régionaux par la présence de deux éléments fondamentaux, à savoir Alger en tant que capitale et Tipasa en tant que gisement archéologique de grande envergure.
Pour ce qui est du pôle touristique d'excellence, l'atelier 2 a recommandé de mettre en cohérence des différents schémas sectoriels et de développement local par le renforcement du cadre de concertation, d'intégrer l'impératif tourisme dans l'élaboration des différents instruments d'urbanisme et d'inscrire en urgence une opération "cadastre" de l'ensemble des espaces destinés au développement touristique.
Concernant le plan qualité tourisme, l'atelier 3 a mis en exergue l'urgence de la mise en œuvre d'un plan qualité tourisme performant, ainsi que la nécessité de l'élaboration du plan de formation pour le (PQT) plan qualité tourisme et la logistique à préconiser pour le fonctionnement du (PQT).

Abordant le volet ressources humaines et formation aux métiers du tourisme, l'atelier 4 a recommandé d'encourager les formations de base des métiers de l'hôtellerie et du tourisme, à l'exemple des ex-CFH d'Oran et de Constantine, d'introduire une plus grande rigueur dans les cahiers des charges concernant l'octroi de l'agrément pour les établissements privés dans les métiers de l'hôtellerie et du tourisme ainsi que des notions de culture touristique dans les programmes de l'éducation nationale.
Pour ce qui est de la chaîne touristique et du partenariat public-privé, l'atelier 5 a préconisé de suivre un mode de gouvernance structuré et opérationnel, dont il s'agira de définir le statut, les missions et les modalités de fonctionnement ; d'établir un partenariat dynamique et créatif entre acteurs disposés à se mobiliser dans le cadre de synergies et de programmes clairement identifiés et d'encourager les opérateurs organisés au sein de groupements professionnels par famille de métiers.
L'atelier 6, qui s'est penché sur la stratégie de financement opérationnel, a recommandé d'augmenter la durée de la concession, de créer un fonds de développement du tourisme, ainsi que des établissements spécialisés dans le financement du tourisme à long terme.
Concernant le volet marketing vers les pôles touristiques, l'atelier 7 préconise de développer le tourisme urbain et d'affaires et le tourisme culturel, écologique, de santé et de remise en forme ainsi que l'élaboration des expertises techniques des produits touristiques afin de les mettre en conformité avec les normes universellement admises. Enfin, l'atelier 8 qui s'est penché sur l'innovation et les TIC au service du tourisme dans le pôle touristique d'excellence, préconise d'organiser de campagnes d'information et de sensibilisation au profit des acteurs du tourisme sur l'importance des technologies de l'information et de la communication (TIC) et de proposer des formations de courte durée et de perfectionnement en direction des opérateurs sur les nouvelles technologies appliquées au tourisme en associant les centres et instituts de formation ainsi que les universités.

 

Source World Travel Market Global Trend

Le Pèlerin

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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 00:46

Le bon choix

  
Un gars célibataire décide d'utiliser un site de rencontre pour trouver l’âme sœur. Apres quelques semaines, il a trois rendez-vous avec trois filles différentes en trois soirs. Apres les trois rencontres, le gars se rend compte qu'il est amoureux comme un fou de chacune d'elles, mais il ne sait pas laquelle choisir. Il décide de donner $1000 à chacune et se propose de voir, dans un mois, comment chacune aura dépense l'argent.
Au bout du mois, il revoit la première. Elle s'est fait coiffer, maquiller, épiler, s'est acheté des sous-vêtements sexy et est vraiment belle comme un cœur. Elle lui dit :
- J'ai fait ça pour toi car je veux te plaire. Je veux être belle pour toi, toujours.
Le lendemain, il rencontre la seconde. Elle a acheté beaucoup de bière et des chips, s'est abonnée à la télé par satellite et a acheté un bon fauteuil confortable. Bref: le kit parfait pour regarder le hockey à la télé. Elle lui dit :
- Je veux rendre mon homme heureux et partager ses joies. Je veux lui faire plaisir en le servant lorsqu'il se divertit et écoute son sport préfère à la télé.
Finalement, le troisième jour, il rencontre la troisième fille. Elle a investi l'argent qui a fructifie très vite et le $1000 vaut maintenant $2000 ! Elle lui dit :
- Cet argent, c'est le notre. J'ai investi dans toi, dans nous. Nous allons pouvoir bâtir quelque chose ensemble. Je serai toujours la pour t'aider à faire des placements et je te rendrai riche. Nous allons aller loin toi et moi. Le gars n'en revient pas. Toutes les filles ont touchées une corde sensible.
Apres bien des hésitations, le temps est venu de faire un choix. Quelle fille choisira-t-il ?....
Il choisira très logiquement la fille qui a les plus gros seins.
 
De la part d’une Correspondante
 
Le Pèlerin
 
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