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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

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Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 06:43

Péage de l’autoroute est-ouest
Le prix du kilomètre serait au-dessus de 2DA du km

45 gardes de péage, 24 aires de repos, une vingtaine d’aires de service sont prévues pour «le projet du siècle». Un échangeur est également programmé tous les 35 kilomètres.

Pour quel choix de péage doit-on opter pour la future autoroute Est-Ouest? Quel sera le prix du kilomètre? Se reférant aux différentes déclarations du ministre des Travaux publics, le prix du kilomètre ne devrait pas dépasser les 2DA/km. Maintes fois sollicité sur cette question, Amar Ghoul précise que «le prix sera symbolique et à la portée de tous les usagers». Il a même affirmé que la tarification sera moins chère par rapport au Maroc et à la Tunisie. Au Maroc, le prix du kilomètre équivaut à 3DA. En Tunisie, il ne dépasse pas les 2DA. Une chose est sûre, à la lumière de cette déclaration, le prix du kilomètre en Algérie sera au-dessus de 2DA. Le ministre a insisté pour que le bureau d’études chargé de cette mission prenne en compte tous les aspects spécifiques à la société algérienne. M.Ghoul a fait savoir que le prix du kilomètre sera établi selon le pouvoir d’achat des Algériens.
Toutefois, l’AGA (Algérienne de gestion autoroutière), affirme que le prix exact sera connu une fois l’étude achevée et adoptée par les autorités concernées. Interpellé sur cette question, Ahmed Rafik Ghozali, directeur général de l’AGA, affirme qu’«à l’heure actuelle nous n’avons pas encore d’idée sur les tarifs». Le bureau d’études français, Scetauroute-Isis, désigné pour l’élaboration de l’étude de péage depuis la fin 2006, remettra son rapport final le mois de juin prochain ou au plus tard le mois de juillet. Il sera soumis ensuite au gouvernement.
Sur le système de péage, M.Ghozali affirme qu’on aura le choix entre le système de péage ouvert ou fermé expliquant que «dans le système fermé, on procède à un mode de paiement selon la distance parcourue. L’usager paie seulement, à la sortie de l’échangeur, le kilométrage emprunté. Par contre, le système ouvert c’est un forfait qui ne dépend pas de la distance parcourue». S’agissant du nombre de gardes de péage, la même source annonce que «nous avons prévu un échangeur, soit une garde de péage, pour chaque 35 km traversés». Mathématiquement, plus de 35 gardes de péage seront mises en place. Dans chaque wilaya, parmi les 34 concernées par l‘autoroute, on a prévu un poste de péage. Mais, comme dans certaines wilayas, il sera procédé à l’installation de deux échangeurs, le nombre de gardes de péage sera environ de 45 postes.
M.Ghozali souligne qu «’environ 45 échangeurs sont prévus. J’insiste qu’il ne s’agit pas de bretelles habituelles, mais d’échangeurs avec garde de péage, parking et autres équipements». A propos du nombre de voies, ou cabines de péage, attendus dans chaque garde de péage, il confirme qu’il sera arrêté en fonction du trafic de l’échangeur: «Des gardes à pleine voie seront installées dans les grandes villes et dans les deux principales cabines des frontières avec la Tunisie et le Maroc.»
S’expliquant sur les équipements qui accompagneront la gestion, l’exploitation et l’entretien du réseau routier, M.Ghozali affirme que «l’AGA veille à assurer, notamment, le confort des usagers». Il avance que 24 aires de repos équipées, seront créées sur toute la longueur de l’autoroute. Il en sera de même pour les aires de service. Ces dernières seront des espaces dédiés spécialement aux différents services, notamment les stations-service Naftal et les motels. Afin de répondre aux exigences techniques, une aire de service est prévue tous les 60km. Soit plus d’une vingtaine programmées.
L’AGA a lancé, le mois dernier, un avis de présélection national et international, en vue de la réalisation d’un short-list, pour la réalisation des prestations d’appui technique à maître d’ouvrage délégué dans le domaine de l’entretien et l’exploitation des autoroutes à péage. Ce qui laisse entendre que les stations-service seront ouvertes aux privés désirant y investir. Côté sécurité, l’autoroute Est-Ouest sera dotée de nombreuses caméras de surveillance. Notamment au niveau des gardes de péage. S’agissant des postes d’appels d’urgence, M.Ghozali annonce qu’«un PAU sera installé à chaque kilomètre». A noter que le système de péage et les équipements d’exploitation de l’autoroute seront opérationnels dès l’ouverture à la circulation de l’autoroute Est-Ouest.

Source Liberté

Le Pèlerin

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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 00:48

Situation embarrassante

 
 
Un jeune homme, d'apparence timide, entre dans un bar et s’assoit près d'une superbe jeune fille. Il lui propose :
 "Je peux vous payer un verre ?"
Ce à quoi elle rétorque en hurlant:
"Non, je ne coucherais pas avec vous ce soir !"
Un grand silence. Tous les clients du bar se retournent et le jeune homme, l'air défait et confus, rougit de honte. Quelques minutes plus tard, la jeune femme revient vers lui et lui dit en souriant:
"Je suis dessolée de vous avoir fait cela. Je suis étudiante en psychologie et j’étudie les réactions des gens dans des situations embarrassantes."
Et l'homme de hurler à travers la pièce :
 "Comment ça, 500 francs l'amour ?
 
De la part d’une Correspondante
 
Le Pèlerin
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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 00:13

L'Algérie en 50 mots-clés De A à Z (2/8)

Aujourd'hui D, F, G

 

Désertification

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Le Sahara, qui n'a pas toujours été déserti­que comme l'attestent les fresques du Tassili n'Aller, reste le plus grand désert du monde (9 millions de km2) et les trois quarts de l'Al­gérie appartiennent a cette immense "mer".

La Terre se trouve actuellement dans une actuellement ans une période de réchauffement climatique con­sécutive à des cycles naturels normaux et à des interventions de l'homme.

La désertification est la conséquence des uns et des autres. Ne pouvant influer sur les cycles naturels, la Terre s'en étant plutôt bien accommodée depuis sa naissance il y a environ 5 milliards d'années, il convient de s'interroger sur l'influence de l'homme.
Cette prise de conscience est récente puis­que le terme de désertification date de 1949. La désertification en Afrique touche plusieurs zones. Elle se manifeste par la raréfaction puis la disparition des arbres et arbustes qui empêchent le désert d'avancer. Un pâturage trop intensif et surtout une con­sommation excessive de bois pour cuire les aliments sont à l'origine de la destruction du couvert végétal.

Paradoxalement, une irrigation mal contrôlée peut également concourir à faire reculer les terres fertiles. En effet, si la concentration de sel est trop importante dans l'eau qui draine les terres nouvellement conquises sur le désert, notamment mais pas uniquement près de l'embouchure d'un fleuve, l'impor­tante évaporation due à la chaleur fixera le sel dans le sol. La conséquence en est, à terme, l'appauvrissement des récoltes dans le meilleur des cas, voire la disparition de toute végétation s'accommodant mal d'une trop forte salinité.

Mais le processus n'est pas irréversible comme on le constate actuellement et on apprend vite que désert ne signifie pas stérile. En effet, depuis quelques années, les pluies beaucoup plus fréquentes entretien­nent une pâture qui survit toute l'année et on voit quelques plantes "tenir" dans une région qu'on a toujours imaginée... déserte.

Football

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Sport national et sport de LA star internationale Oui, Zinedine Zidane, dit Zizou, bien né à Marseille est incontestablement d’origine kabyle, donc algérienne. Pourtant, on ne peut pas dire que le pays brille sur la pelouse internationale ! Les meilleurs joueurs jouent à l'étranger jusqu'à changer de nationalité et le manque flagrant d'infrastructures sportives se fait sentir.

Chaque ville a son stade, limite terrain vague, et son équipe qui joue et rien pour attirer des entraîneurs qui ont fait leurs preuves ailleurs. L'Algérie ne s’est pas qualifiée pour la Coupe du Monde ne s’est pas rattrapée non plus pour la CAN 2008...

Gourbi

 

A l'origine, le gourbi était la petite maison sommaire des campagnes algériennes, presque cabane, souvent en terre sans étage ni fondation. Aujourd'hui, la forte migration finale vers les villes industrielles du nord souffrant déjà d'un fort taux de chômage a engendré l'apparition de bidonvilles, ou gourbis, où s'entassent des familles parfois nombreuses dans des abris d'une ou deux pièces. Le confort y est très sommaire et les installations sanitaires ou électriques rudimentaires relevant plus de la débrouille - on se raccorde comme on peut au réseau hydraulique, téléphonique, électrique ou même satellite.

Guides

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Indispensables dans le Sud où on ne peut plus circuler seul depuis les enlèvements de 2003 et sur quelques sites du Nord où ils seront souvent votre laissez-passer. Les guides connaissent très bien le désert et vos besoins, laissez-les faire ! A condition bien sûr d'avoir choisi le bon, ce qui ne manquera pas de vous arriver en consultant Le Petit Futé.

A suivre……Demain H,I

Source : Le Petit Futé

Le Pèlerin

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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 00:12

Berkoukes Belbouzelouf

 

Temps de Préparation: 1:15 mn total
Difficulté: Difficile

 

 

Ingrédients:

 

- 250g de berkoukes,
- 1 tête de mouton flambée cuite et désossée (cf.préparation),
- 500g de tomates (ou 150g de tomates concentrées),
- 10 gousses d’ail,
- 3 piments secs épépinés et trempés,
- 1 vert d’huile,
- 1 cuillère à café rase de poivre rouge et de carvi,
- 1 poivron,
- 1 piment vert,
- 3 grains de ‘kebaba’ (facult.).

 

Préparation

 

Soupe de plombs à la tête de mouton

Verser dans la marmite 1 litre et ½ d’eau froide et porter à ébulition, mettre la tête du mouton coupée en morceaux une dizaine de minutes. Retirer les tomates et les passer à la moulinette et les remettre dans la marmite, ajouter l’huile et le piment, l’ail et le poivre rouge, le sel, la kebaba pilé et dilué avec 2 cuillèrres d’eau , mettre le poivron entier.

Laisser cuire a feu doux.

Retirer les morceaux de tête de mouton, verser le berkoukes en pluie en remuant. Laisser cuire à feux doux 20mn.

Après cuisson, remettre les morceaux de la tête du mouton et servir.



Commentaires Additionels: TOLGA très ancienne

Préparation: 15mn

Cuisson: 1h


 

 

Source : Bahdja.com

 

Le Pèlerin

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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 00:05

L'euro est élevé mais le dollar doit encore baisser

 

C'est que qu'affirme le FMI

WASHINGTON (Reuters) - La hausse de l'euro signifie que le taux de change de la devise européenne est maintenant plutôt élevé sur une base moyen terme, mais la valeur du dollar doit encore baisser malgré le déclin récent du billet vert, a estimé jeudi le Fonds monétaire international (FMI).

Il y a quelques mois, le fonds jugeait le taux de change de l'euro globalement en ligne avec ses fondamentaux de moyen terme.

La monnaie unique a atteint jeudi un nouveau plus haut record de 1,5372 dollar après la décision de la BCE de laisser ses taux inchangés, et surtout après les propos de son président ne plaidant par pour une détente monétaire imminente alors que la Fed devrait pour sa part réduire encore ses taux d'intérêt le 18 mars.

"Notre opinion, à l'heure actuelle, c'est qu'après son appréciation (l'euro) se situe désormais dans la partie plutôt haute, si l'on songe aux fondamentaux à moyen terme", a déclaré le porte-parole du FMI Masood Ahmed au cours d'une conférence de presse.

En ce qui concerne la devise américaine, si son déclin l'a rapprochée de ses fondamentaux, "elle se situe encore par rapport à ceux-ci dans la partie haute", a-t-il ajouté.


 

Source Le Soir d’Algérie

 

Le Pèlerin

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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 00:01

Diffusion d’une vidéo sur l’assassinat d’une adolescente à Alger

Les tueurs en extase filment leur abominable crime

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Une vidéo montrant les détails de l’assassinat d’une adolescente à Alger circule actuellement sur internet. Les images sont d’une violence insupportable. Des coups de pied en cascade, suivis par deux coups de pierre à la tête et au visage, plongent le corps frêle de la victime dans un bain de sang. Les auteurs qui filmaient la scène étaient en extase devant leur crime.

Choquantes et traumatisantes sont les images vidéo diffusées ces derniers jours sur internet montrant les détails de l’assassinat d’une adolescente par un groupe de jeunes âgés entre 18 et 25 ans, à Alger. L’insoutenable scène a été filmée sur un fond de musique de film d’horreur par les auteurs en extase devant la douleur et les souffrances de la victime. Cheveux noirs très longs, vêtue d’une veste de jogging et d’un pantalon noir, la jeune fille, recroquevillée par terre, la tête entre les mains, recevait une cascade de coups de pied au visage et à l’abdomen, marqués par plusieurs ecchymoses. Le sang commence à gicler et couler de toutes parts, et les agresseurs redoublent de violence. Ils se bousculent pour battre, parfois collectivement, le corps frêle de la victime qui, après quelques minutes, semblait n’avoir plus de force. Ses vêtements se déchirent et ses bourreaux tentent de recouvrir ses parties intimes. Quelques dizaines de minutes plus tard, l’un d’eux prend une grosse pierre en parpaing et la lance de toutes ses forces sur la tête de la jeune fille. Le sang gicle et un autre prend le relais pour lui asséner le coup mortel en plein visage. La victime ne bouge plus. Elle baigne dans son sang sous les caméras des téléphones mobiles, tenus par ses bourreaux, visiblement heureux d’avoir accompli leur abominable crime. Selon toute vraisemblance. Cette vidéo a été diffusée par un des auteurs qui n’apparaît pas sur l’enregistrement. Est-ce que maintenant les assassins seront arrêtés et déférés à la justice ? Possède-t-on une piste ? Pour l’instant, aucune information sur l’identité de la victime. Mais il est évident qu’il pourrait s’agir d’une jeune fille dont le corps a été trouvé au mois de décembre 2007 sur la voie publique et qui est en attente d’identification. Selon des sources policières, cette victime portait de graves lésions sur le corps et semble avoir été tuée à l’aide d’un objet tranchant. Cette affaire est d’une extrême gravité et interpelle toutes les consciences. Elle relance la lourde problématique des violences à l’égard des femmes, mais surtout ce nouveau phénomène qui consiste à filmer à l’aide de téléphones portables des scènes souvent à l’insu des concernés pour les utiliser comme objet de chantage ou de les diffuser sur internet. Des foyers entiers ont été brisés à cause des enregistrements, alors que de nombreuses victimes ont fini par se suicider. Les services de police, tout comme les services de la gendarmerie ont eu ces dernières années à élucider des affaires de viols collectifs grâce à des images retrouvées sur des mobiles, saisis sur les personnes suspectes. Celles-ci avaient pris le soin de filmer la scène de l’agression dans le but de réduire au silence leurs victimes, souvent terrorisées à l’idée que l’enregistrement soit diffusé. Aujourd’hui, les services de sécurité sont devant une nouvelle forme de criminalité qui consiste à « transformer un crime abominable » en un « fait d’armes à large publicité ». C’est la conséquence, diront les spécialistes, de la décennie de violence vécue par les Algériens, notamment les jeunes, comme ceux qui ont tabassé à mort l’adolescente. L’après-terrorisme est une étape délicate que les spécialistes de la santé mentale sont appelés à affronter. La prolifération de la violence en milieu juvénile ne peut avoir des explications que dans les événements tragiques que l’Algérie a vécus durant toute une décennie.

Source El Watan

Le Pèlerin

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12 mars 2008 3 12 /03 /mars /2008 00:00
Nouveau retard pour le Boeing 787 Dreamliner

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La compagnie aérienne japonaise ANA (All Nippon Airways), qui sera la première à utiliser le futur 787 «Dreamliner» de Boeing a indiqué jeudi qu'elle allait évaluer l'impact du nouveau retard annoncé par l'avionneur américain.

ANA, qui est la deuxième compagnie japonaise après la JAL (Japan Airlines), n'envisage pas pour l'heure de demander des compensations financières, a déclaré un porte-parole, contrairement à Jetstar, filiale de la compagnie australienne Qantas, qui a passé commandes de 65 «Dreamliners».

«Nous avons été avertis du retard il y a seulement quelques heures, et nous sommes en en train de voir dans quelle mesure nos plans seront affectés», a expliqué le porte-parole d'ANA, Yoshifumi Fukumori.

«Nous approchons de la date à laquelle nous devrons avoir bouclé notre plan d'objectifs à moyen terme. Nous devons donc évaluer de quelle façon il sera touché», a-t-il précisé.

ANA, qui a commandé en 2004 un total de 50 Boeing 787 «Dreamliner» pour environ 6 G$ US, devait initialement recevoir son premier avion en mai de cette année et devenir la première compagnie du monde à l'utiliser notamment pour les Jeux olympiques de Beijing.

La livraison initiale du nouvel appareil, qui avait déjà été reportée à la fin de l'année, est désormais prévue «au début 2009», a précisé Boeing mercredi, qui a reconnu qu'il risquait d'avoir à payer des de pénalités de retard.

Le 787, qui se veut particulièrement économique à l'usage, est un très grand succès commercial, puisque l'appareil a été acheté à 817 exemplaires depuis son lancement commercial, en 2004.

Le calendrier de construction de ce biréacteur, qui avait déjà 6 mois de retard sur le calendrier initial, a été retardé par les lenteurs de livraison de ses très nombreux sous-traitants, a expliqué le groupe américain.

Avec les 787, ANA souhaite se doter d'une flotte jeune, plus flexible et moins gourmande en carburant, grâce à des appareils polyvalents de dernière génération pouvant être employés tant sur des lignes intérieures que sur des liaisons internationales.

Sa rivale Japan Airlines (JAL), qui a une stratégie similaire, a également commandé 35 Boeing 787 et pris 20 options.

«Nous ne savons pas encore clairement quel sera pour nous l'impact de ce retard», a commenté une porte-parole de JAL, Yuko Takahashi

«Si le délai n'est pas trop long, nous devrions être en mesure de nous en accommoder en modifiant à la marge notre plan d'objectifs», a-t-elle ajouté, refusant de dire si JAL pourrait réclamer des dédommagements à Boeing.

Tant JAL qu'ANA ont des flottes en très grande majorité constituées de Boeing.
Le Boeing 787 «Dreamliner» est de surcroît considéré au Japon comme un programme de grande importance pour l'industrie locale.

Les trois groupes d'industrie lourde Mitsubishi heavy Industries (MHI), Fuji Heavy Industries (FHI) et Kawasaki Heavy Industries (KHI) participent à hauteur de 35% à la production du fuselage de l'appareil, lequel est à 50% constitué de matériau composite fourni par le japonais Toray.

De nombreux autres industriels nippons sont également impliqués dans la production de cet avion concurrent du futur A350 XWB d'Airbus.

Source lapresseaffaire.com

Le Pèlerin

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11 mars 2008 2 11 /03 /mars /2008 20:08

L'Algérie en 50 mots-clés De A à Z (1/8)

Aujourd’hui A, B,C

 

Algérie 

 

Vous trouverez énormément de choses sur www.algeriepyrennes.com

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Belle étoile

 

S'il y a un pays où faire l'expérience de dormir sous les étoiles - dans une chambre 1 000 étoiles comme on vous dira ! -, c'est bien en Algérie. Que vous soyez dans le désert, chez des amis, dans un hôtel ou un campement saharien, les nuits y sont inoubliables et souvent bien plus confortable que dans une chambre etouffante.   Rien de mieux en effet que de s’endormir sous le dais de la voie lactée, bercé par  les sons étouffés du campement ou du village. Toutes les maisons et les hôtels, sauf les hôtels de « standing », sont dotés d'une terrasse et dans le desert on aura l’embarras du choix pour dérouler son sac de couchage, de préférence à l'abri du vent. Se méfier également des moustiques, nombreux dès qu'il y a un point d'eau. A noter que le basilic est connu pour ses vertus répulsives antimoustiques.

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Bled

 
Bladi, le "pays". Celui où l'on vit ou celui qu'on a quitté, y revenant si possible au moins une fois par an. Au sens étymologique, le mot désigne l'intérieur des terres par rapport à la mer.

Cafés et bars

 
S'il est devenu facile de trouver des bars où l'on sert de l'alcool à Alger, il en va autrement dans d'autres villes et à fortiori à l'intérieur du pays. Les bars (les bars d'hôtels surtout, ndlr) sont certes des lieux de convivialité mais aussi et surtout des lieux où les clients viennent pour s'enivrer ou pour oublier (alors que bien souvent les Algériens ont le vin triste) et il n'est pas rare d'y croiser quelques femmes.

En revanche, dans les cafés arabes, aucune femme et les clients consomment uniquement du café et du jus de fruit.

Cartes postales

Si la sélection de vues est encore mince sur les présentoirs, c'est vers les collections de cartes anciennes et de photos que se porte notre préférence. Que ce soit sur Internet, sur les sites "pieds-noirs", sur des sites d'enchères ou sur des sites plus institution­nels (gallica.bnf.fr ou www.el-djazair.info par exemple), ou sur les marchés aux puces et les vide-greniers, le choix nostalgique est immense tant il semble que ce pays ait inspiré le regard...

Sur michel.megnin.free. fr/tp.htm, des photos étonnantes, quelque­fois indécentes.

Casbah

Centre le plus ancien des villes, dans la majorité des cas citadelle (casbah en turc) d'origine ottomane. Celle d'Alger est classée au patrimoine mondial de l'Unesco des monu­ments historiques depuis 1992. Pourtant, elle a bien failli disparaître. Du moins, est-ce ce qu'on a cru jusqu'à il y a peu tant la vétusté l'avait abîmée... Elle tombait littéralement en ruine, comme le montraient les nombreux titres de journaux concernant des effondre­ments d'immeubles. Grâce aux associations de défense de la Casbah, au retour - même timide - des touristes ou peut-être grâce à l’organisation de réunions internationales qui  demandaient qu'Alger montre meilleure figure, des travaux ont enfin commencé début 2005. Des bâtisses sont consolidées, in mure chaulés, les ferronneries repeintes et les ruelles repavées... Malgré tout, les maisons continuent de s'effondrer après chaque orage ou tout simplement de fatigue.

Chameau

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A l’école, vous avez appris que le vaisseau du désert s'appelle "dromadaire" quand il a une bosse, "chameau" quand il en a deux.

Et bien il vous faudra oublier tout ça.

En Algérie, tout le monde parle de chameau à propos de bestiaux qui n'ont qu'une bosse.

Le chameau, donc, est l'animal embléma­tique de la survie dans le Sahara et du commerce des grandes caravanes nomades arabes, maures ou touarègues jusqu'à son remplacement par les véhicules 4x4. Il est élevé autant pour le transport des marchan­dises (historiquement dattes, sel, or. . .) et du nécessaire du campement, que pour le lait de chamelle qui fournit l'essentiel des protéines do l'alimentation des nomades. Pour les il grandes occasions, on égorge un chameau pour sa viande. S'ils sont de moins en moins nombreux, il existe encore quelques éleveurs nomades. Les méharées (de l'arabe mehari "chameau de monte") peuvent être un moyen pour le voyageur de les rencontrer et fort utile et pour eux de se procurer un revenu d'appoint tort utile à la perpétuation de leur mode de vie. Mais n'envisagez pas de périple trop long à dos de chameau ou d'âne : nos fessiers n'ont pas l'habitude et souffrent terriblement dans cette situation. Quant au mal de mer dont on souffrirait, il serait dû à de mauvaises habitudes cavalières. (Voir aussi le chapitre "Faune et flore")

Circulation

Comme dans toutes les villes du Sud, c'est inutile de vouloir con­duire. Faites-vous conduire, d'autant plus si vous êtes timide et respectueux du code de la route. En tant que piéton, vous ne disposez d'aucun droit, y compris sur les passages protégés, à moins d'être âgé ou handicapé. Sur les routes de campagne, on assiste souvent à des accidents très graves dûs essentiellement au non-respect du code de la route, au mauvais état de la chaussée et également à la vétusté du parc automobile.

Couchers de soleil


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Toujours magiques, surtout quand ils s'ac­compagnent de l'appel à la quatrième prière (maghrib), à l'heure où la première étoile apparaît dans le ciel violet... C'est un instant qu'il faut savoir apprécier, d'une grande quié­tude, môme dans le centre d'une grande ville, à condition cependant que les haut-parleurs de la mosquée la plus proche ne soient pas réglés au maximum !

Couscous

Une étude menée en France en aout 2004 par la TNS Sofres fait ressortir que le couscous est le plat « dit exotique » préféré de 54% des Français. Mais il faut reconnaître que pour des raisons historiques, c’est le plat le plus connu ! Comment ne pas aimer ce plat qui, avec ou sans viande, prend tous les goûts du salé, vore très relevé, au sucré       ….Il en existe des dizaines de sortes, un par famille pourrait-on c’est un plat très sain (voir aussi le chapitre « Gastronomie)

A suivre……Demain D,F,G

 

Source : Le Petit Futé

Le Pèlerin

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11 mars 2008 2 11 /03 /mars /2008 07:52

44e édition de la fête du tapis

La vallée de M’zab au rendez-vous

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Quelque 110 participants, représentant 18 wilayas, ont déjà confirmés leur participation à cette édition. En sus du tapis traditionnel, qui aura bien sûr la part du lion, il y aura aussi des exposants en tannerie, vannerie, dinanderie, maroquinerie, bijouterie traditionnelle (argent) et céramique artistique.

La 44e édition de la fête du tapis traditionnel de Ghardaïa aura lieu du 15 au 20 mars au Palais des expositions situé à Bouhraoua, sur la RN1, vers Laghouat.  Les préparatifs tendant à assurer une réussite maximale à cette importante manifestation économico-culturelle battent leur plein. En effet, les organisateurs s’efforcent de mettre à profit les richesses de l’art traditionnel des différentes localités de la région à l’effet de donner à cet évènement une attraction touristique et faire en sorte qu’en bénéficie l’économie de la vallée du M’zab. Ils constitueront, de ce fait, un tremplin idoine pour la relance des activités touristiques, économiques et culturelles dont l’impact pour la région ne sera que plus-value. Quelque 110 participants, représentant 18 wilayas, ont déjà confirmé leur présence. En sus du tapis traditionnel, qui aura bien sûr la part belle, il y aura aussi des exposants en tannerie, vannerie, dinanderie, maroquinerie, bijouterie traditionnelle (argent) et céramique artistique. Au plan logistique, et afin d’assurer une affluence constante du public, la direction des transports a prévu, comme l’année passée, une dizaine de minibus chargés uniquement d’acheminer les visiteurs de plusieurs arrêts facultatifs en ville et périphérie vers le lieu de l’exposition et vice-versa. Au plan de l’animation, des troupes folkloriques aux couleurs chatoyantes et bigarrées se chargeront d’assurer une ambiance festive et bon enfant. Par ailleurs, et afin de permettre aux visiteurs de se rafraîchir et même d’avaler un encas en ces belles mais néanmoins sèches journées de mars, un café-restaurant sera monté à proximité. Déguster un bon verre de thé ou siroter une fraîche consommation serait, à n’en pas douter, bien agréable après un petit marathon de tour des stands. Coïncidant avec les vacances scolaires de printemps, elle permettra à beaucoup de familles de toutes les contrées d’Algérie de prendre part à cette grande fête et de visiter cette belle et légendaire vallée du M’zab.

Source El Watan

Le Pèlerin

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11 mars 2008 2 11 /03 /mars /2008 07:45
Quinze hectares d’opium et de cannabis découverts à Adrar

La Gendarmerie nationale a démantelé hier un nouveau réseau de trafic de drogue

La culture du cannabis et de l’opium est réputée, ces dernières années, dans les wilayas du Sud. Les services de sécurité y ont déjà découvert, auparavant, plusieurs plantations de ce genre.

Dix plantations de cannabis et d’opium d’une superficie de quinze hectares ont été découvertes hier dans la wilaya d’Adrar. La saisie a été effectuée par les éléments de la compagnie de Gendarmerie nationale de Timimoun, à Ksar Adjedir Est, dans la commune de Charouine. Agissant sur un renseignement venant d’un citoyen de la région, ils ont pris en flagrant délit huit personnes dont six ont été arrêtées au cours de l’opération. Les deux autres sont toujours en fuite. La brigade de gendarmerie de Charouine affirme avoir diligenté une enquête pour trouver tous ceux qui sont impliqués dans cette affaire. La culture du cannabis et de l’opium est réputée, ces dernières années, dans les wilayas du Sud. Les services de sécurité ont déjà découvert, auparavant, plusieurs plantations de ce genre. Le 23 avril 2007, la même compagnie de gendarmerie de Timimoun, appuyée par des éléments d’un escadron du groupement d’intervention et de réserve d’Adrar, a saisi des dizaines de milliers de plants d’opium et de cannabis. Six personnes étaient impliquées dans cette autre affaire de dix plantations de quinze hectares. Quelques jours avant cette opération, des éléments de la Gendarmerie nationale de la même wilaya ont saisi, dans une exploitation agricole située dans la commune de Tinerkouk, plus de 4068 plants de cannabis, 15 sacs de différentes quantités remplis de la même substance et 190 plants déjà séchés. Le 7 avril 2007, toujours à Adrar, 260 plants de cannabis ont été saisis dans une exploitation agricole appartenant à un vieux de 73 ans. Le même mois, une plantation contenant 16 000 plants d’opium a été saisie dans la commune de Timiaouine, près de la frontière avec le mali, à 800 km au sud d’Adrar et à 2400 km d’Alger. La culture de stupéfiants semble être également répandue à Béchar et même au nord, à Béjaïa. Au cours de l’année 2007, plusieurs plantations y ont été découvertes. Le 28 mars 2007, les gendarmes de la brigade d’El Ouata, à Béchar, ont saisi dans le champ agricole d’une personne âgée de 42 ans ainsi que dans son domicile 1619 plants de cannabis et 136 autres de pavot somnifère. En juillet 2007, la Gendarmerie nationale a découvert sept plantations de cannabis, contenant chacune 100 à 500 plants, dans la wilaya de Béjaïa dont six dans la commune de Toudja. En novembre de la même année, les gendarmes ont arrêté à Ouargla une personne pour avoir cultivé du cannabis dans son jardin. D’autres découvertes de moindre importance ont été faites à Tamanrasset. Jadis terre de transit, l’Algérie risque, au rythme où vont les choses, de devenir dans un avenir proche un véritable pays producteur de drogue, à l’image de son voisin le Maroc, de la Colombie, du Pérou ou du Pakistan.

Source El Watan

Le Pèlerin

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