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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:10

Armagnac : Le 1904 fait encore rêver les passionnés de l'eau-de-vie alors que se lèvent de nouvelles années.

Le légendaire 1 904 a vieilli dans un tonneau comme celui-ci. Pierrre Laberdolive l'a fait construire en 2000 pour loger 107 hectos de la première récolte du siècle. Seuls les plus jeunes seront autorisés à la goûter dans 50 ans.
Il  y a là, 10 000 litres d'eau-de-vie d'Armagnac et interdiction absolue de prélever la moindre goutte… » En cette fin d'année 1904, alors qu'il termine la distillation, sur le domaine familial d'Escoubes, à Larré, acquit à la famille depuis 40 ans, Joseph Laberdolive, n'imaginait pas qu'il écrivait les premières lettres d'une légende. Aujourd'hui encore le 1 904 reste une référence. Une année de prestige dans le bas armagnac. « Je dois reconnaître que ce millésime a fait beaucoup pour la réputation de notre maison », confie Pierre Laberdolive. C'est au début des années cinquante que le père de Pierre, Gérard et le frère de Joseph, Valéry, se penchent sur ce tonneau de cent hectos que personne n'avait osé touché, respectant la parole et la mémoire de celui que la grande guerre 14-18 avait happé. « Il était temps, le produit s'évaporait, ce n'était plus la part des anges, mais une rançon ; l'armagnac a été logé dans une cuve vitrifiée et il n'a plus bougé », poursuit Pierre Laberdolive.
Ce grand bas armagnac, issu de folles blanches qui sur leur sable fauve avaient résisté au phylloxéra, était une merveille, arrachée, in extremis au bois. Dans la foulée de sa mise en marché, l'univers des gastronomes, des œnologues et des Armagnacais, s'intéressait aux millésimes.
« Ils ne sont pas toujours bons, mais on a souvent des révélations », constate Bernard Lamoulie, un passionné de l'eau-de-vie. Pour lui, avec la nouvelle génération de viticulteurs qui allient de solides connaissances techniques et scientifiques à l'empirisme et aux secrets de leur famille on se dirige vers des produits de plus en plus surprenant.
Secrets d'un millésime
Mais nous en sommes encore aux millésimes de l'histoire. Au domaine de Jaurrey, désormais fief de la famille Laberdolive, Pierre parle en terme ému du 1893 « une âme exceptionnelle de volume et de qualité » Il n'en reste plus que de rares bouteilles retirées de la vente il y a quelques années.
Aujourd'hui parmi les meilleurs produits du domaine, le 1 911 élaboré, par Valèry, comme le 1904, 100 hectos, cinquante ans dans un tonneau avant d'être logé en cuve verrée. Le 1 923 a suivi le même chemin. Aujourd'hui, Pierre et ses deux fils, Nicolas et Fabien, mettent beaucoup d'espoirs dans le 1 942 qui deviendrait rapidement la nouvelle référence, au même titre que le 1 904.
Plus près de nous, 1 976 pourrait créer la surprise d'un grand millésime, de même que le 1992, et la récolte suivante…
Mais existe-t-il un secret de la grande année ? Oui et non. Toutefois, ils sont nombreux les professionnels à penser que ce sont les automnes d'abondantes récoltes qui font les millésimes exceptionnels… Pierre Laberdolive a, comme le Gersois Jean-Pierre Gimet entendu ses grands parents, parler des vendanges 1893, « Les jus dégoulinaient des tombereaux, toutes les cuves ont été rapidement remplies et beaucoup ont creusé des réservoirs à même un sol glaiseux où le vin a fait sa fermentation, puis le ballet des distillateurs a commencé… pas étonnant que l'on trouve encore de ce millésime ».
Les plus vieux armagnac
Parmi les plus vieux armagnac que l'on peut trouver sur le marché, citons : 1875 de la maison Gélas, désormais hors tarif, mais on peut obtenir un 1887, en 35 cl pour 2 252 €. Les années les plus demandées se situent entre 1970 et 1980.
A Lannepax, les frères Delord ont encore à la vente du 1893, les 50 cl pour 1 500 €. C'est l'une des dernières maisons à commercialiser ce produit… Rien d'étonnant à ce qu'il y ait eu de gros stocks, le négoce a été créé en 1 893. Que les amateurs de 1904 se rassurent, il est assez facile de s'en procurer. Chez Malliac, en petite contenance les prix varient de 450 à 800 €. On l'emporte chez Dupeyron, pour 3 092 € en 1,50 litre et 1 444 € les 70 cl. Le Marcel Trépout est à 1 139 €, alors que le Laberdolive domaine d'Escoubes, varie de 1 400 à 1 753 € du domaine aux diverses maisons de négoce en passant par le net, où le 26 décembre a été emporté un pot de 2,5 litres sur e.bay… prix ignoré
Source La Dépêche du Midi
Le Pèlerin

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:06

France : Une Fondation sur la guerre d'Algérie

Une Fondation sur la guerre d'Algérie

La France a officiellement annoncé aujourd'hui la création d'une Fondation pour la mémoire de la guerre d'Algérie, prévue par une loi de 2005 mais restée lettre morte depuis, ainsi qu'une série de mesures en faveur des Harkis.

"La Fondation pour la mémoire de la guerre d’Algérie est en train d’être créée, c'est un point positif", a déclaré le secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens combattants Hubert Falco à l'occasion de la Journée nationale d’hommage aux Harkis.

Plusieurs association -Le Souvenir Français, les Gueules Cassées et la Fédération nationale André Maginot- contribueront financièrement à cette fondation, tout comme l'Etat. Elle sera ainsi dotée d'un budget initial de plus de 7 millions d’euros, selon M. Falco. Selon ses services, la fondation aura pour mission de "construire une mémoire historique commune" en s'appuyant sur des "travaux historiques sérieux".

La création de cette fondation, voulue par l'ancien président Jacques Chirac, était inscrite dans la loi du 23 février 2005 "portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés".

Source le Figaro

Le Pèlerin

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 05:21

Algérie - Selon le professeur Khalfi, expert, «Nos terres peuvent nourrir 100 millions de personnes»

Au siège du FLN, des spécialistes se sont penchés sur la problématique de l’agriculture. Prenant la parole lors de la conférence portant sur la problématique de l’agriculture, thème choisi et débattu avant-hier par le FLN dans la soirée ramadhanesque, le professeur Khalfi a affirmé que «toutes les politiques agricoles expérimentées jusque-là ont échoué. Pire, elles n’ont pas atteint les objectifs assignés. La situation est aujourd’hui catastrophique», dira-t-il d’emblée. Selon lui, l’Algérie «peine» à atteindre l’autosuffisance alimentaire malgré les énormes potentialités qu’elle recèle qui, selon lui, «peuvent nourrir 100 millions de personnes». Se basant sur des études prospectives, le conférencier mettra à nu «l’absence d’une géographie agricole», le manque de surface agricole, l’absence d’une politique d’irrigation (seuls 2,2 millions d’hectares sont irrigués) et le morcellement des terres. «Où se trouve la faille?» ne cesse-t-il de répéter. A titre d’exemple, il citera le blé comme étant un produit stratégique pour le pays: «Est-ce que l’Algérie a réussi à mettre toutes les conditions afin de promouvoir la récolte du blé qui est devenu aujourd’hui une arme pour certains pays développés?» La facture alimentaire ne cesse de grimper. «Chaque année l’Algérie dépense 7,25 milliards de dollars dont 3,9 milliards de dollars pour les céréales», avance-t-il. Toutes les études montrent que pour les deux décennies à venir, l’Algérie devrait mobiliser 40 milliards de dollars d’investissements dans l’agriculture. Le secrétaire général du FLN prendra ensuite la parole pour répondre au conférencier. Il dira que l’objectif de la commission nationale chargée de préparer le 9e congrès est de travailler sur une plate-forme qui elle-même sera discutée et enrichie par les militants pour qu’elle soit finalement présentée devant les congressistes: «Nous ne nions pas que tout ce qui a été fait jusqu’à aujourd’hui a été réalisé sous la bannière du FLN. Maintenant, il s’agit de sauvegarder ce qui est nécessaire et dire ce qui sera réformé. Si nous devons revoir notre approche il ne faut pas non plus oublier nos erreurs. Est-ce qu’on doit privilégier l’industrie au détriment de l’agriculture ou vice versa ou les deux à la fois. Il y a aussi le problème de l’eau. Doit-on aller ou non vers une agriculture saharienne et utiliser l’eau de l’albien pour irriguer 300.000 ha pour les céréales?» Sur la même longueur d’onde, le Dr Rachid Benaissa, ministre de l’Agriculture, a soulevé les mêmes questionnements et exprimé les mêmes inquiétudes. Pour cela, il a trouvé une nouvelle formule: «Le réveil collectif objectif», pour dire toute son inquiétude quant au danger qui guette le pays en matière de sécurité alimentaire: «Le problème de l’eau est aujourd’hui devenu une réalité. Il faut savoir où on va et quoi faire. Nos besoins en eau seront de l’ordre de 19 à 20 milliards de m3 en 2025. Le débat reste ouvert. Il existe un cloisonnement terrible. L’industrie ou l’agriculture. Comment s’en sortir? Si le problème du foncier est résolu il reste à résoudre celui de l’eau et des terres.» Le professeur Bedrani, un des éminents experts algériens, dira, quant à lui, que si des progrès ont été réalisés ils restent cependant insuffisants: «Notre agriculture est un tout. Elle doit aller de pair avec l’industrie et la recherche scientifique.
On a exposé le problème de l’eau. L’Algérie produit bien de l’eau de mer pour 1 dollar le m3. Nous avons construit sur les périmètres de la Mitidja et de Bab Ezzouar et nous voulons aller aujourd’hui vers les Hauts-Plateaux qui demandent beaucoup d’argent.
» Pour le professeur Mourad Boukella, le problème de l’Algérie réside dans l’absence d’accumulation du savoir: «Ce qui nous manque le plus c’est cette capacité à accumuler les connaissances acquises depuis plus de 30 ans. Il y a aussi cette absence manifeste d’une articulation entre l’agriculture et l’industrie. En 1992, il y a eu une immense consultation autour du secteur. Tous les problèmes ont été sériés. En 1995, lors de la journée sur le foncier agricole, des recommandations ont été faites. Depuis, rien! La relève sur la réflexion sur l’agriculture n’est pas assurée. Nous avons perdu notre dignité parce qu’on ne produit pas notre aliment de base.» Le dernier expert à intervenir, le professeur Zoubeïri, a indiqué que sur les 7 pays industrialisés, 5 ont réussi leur développement grâce à l’agriculture. Le président de l’Union nationale des paysans (Unpa), Alioui, lance un appel au ministre pour qu’à l’avenir «les fellahs soient consultés» à chaque fois que la tutelle décide de se lancer dans une nouvelle politique: «Les fellahs sont prêts à reprendre le travail de la terre pourvu qu’on les associe à chaque occasion.» Le dernier intervenant fut l’ancien ministre de l’Agriculture Boulahouadjeb qui dira qu’en 2009 la surface utilisée n’excède pas les 2,2 millions d’hectares pour 35 millions d’Algériens: «L’Algérie est le dernier pays qui finance l’agriculture. Elle consacre 8,5% de son budget total pour ce secteur.»

Source l’Expression Hocine Adryen

Le Pèlerin

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 23:49

Humour – Complètement raplapla

C'est un gars qui ne va pas bien du tout. Il se rend à l’hôpital. Après une foultitude de tests, le médecin lui dit :

J'ai des mauvaises nouvelles pour vous... Vous avez la syphilis, lèpre et le SIDA !

Le gars est effondré :

- Oh mon Dieu, et qu'est-ce que vous pouvez faire ?

- Pas grand chose malheureusement. Vous devrez rester à l’hôpital et on vous prescrira un régime alimentaire à base de crêpes, de soles et de pizzas.

- Et comment est-ce que tout ça va me sauver ?

- Je ne sais pas, mais en tous cas ce sont des aliments qu'on peut facilement glisser sous la porte.

Le Pèlerin

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 23:08

700.000 diabétiques en Algérie - Le dépistage précoce est déterminant
Dépistage du diabète

 

La maladie pourrait toucher 350 millions de personnes dans le monde en 2030, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le diabète est en évolution constante en Algérie. Les chiffres relatifs à cette maladie le confirment. 700.000 diabétiques sont recensés dans notre pays, selon les données du ministère de la Santé. Les associations nationales de diabétiques avancent un chiffre encore plus alarmant: ils sont pas moins de trois millions de diabétiques, soit 10% de la population. Sa prévalence augmente significativement avec l’âge en ce sens qu’elle passe de 0,3% chez la population âgée de moins de 35 ans à 4,1% chez les 35-59 ans pour s’établir à 12,5% chez les personnes âgées de 60 ans et plus. Les sujets de sexe féminin sont plus touchés (2,3% contre 1,9% chez le sexe masculin), alors que la répartition par milieu de résidence montre que cette maladie est plus fréquente en milieu urbain qu’en milieu rural (2,6% contre 1,5%).

Cette pathologie chronique suscite ainsi les inquiétudes d’autant plus que, selon les spécialistes, la prise en charge des malades fait défaut en Algérie. En effet, et selon la Fédération nationale des diabétiques, 40% des diabétiques ne sont pas pris en charge par la sécurité sociale. Ce taux est loin des normes internationales situées à 75%, soutiennent les spécialistes de la santé. Les enfants sont les plus concernés. La capitale compte à elle seule 5000 enfants atteints du diabète, soit 10% de nouveaux cas recensés chaque année, selon la même Fédération.

La maladie est donc considérée comme un véritable problème de santé publique. Elle peut se déclarer d’une manière latente et sans symptômes spécifiques. Son évolution est due notamment à la faiblesse de l’information, au diagnostic tardif des malades et aux difficultés liées à l’accès à la prise en charge. A ce propos, les professionnels de la santé ne cessent d’insister sur la nécessité de promouvoir le dépistage précoce pour un meilleur traitement de la maladie. La prévention, la sensibilisation, le renforcement des mesures de dépistage des personnes à risque et une surveillance permanente sont de mise. Selon les spécialistes, il est possible de diminuer d’au moins 50% le nombre de cas de diabétiques en surveillant leur poids. La lutte contre le surpoids et l’obésité qui sont souvent le lit de cette maladie, constitue donc une urgence.

Dans le monde, le nombre des diabétiques pourrait atteindre 350 millions en 2030, selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le diabète est à l’origine de 5% des décès dans le monde chaque année et près de 80% des décès dus à cette maladie surviennent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. L’OMS souligne que 15% des diabétiques développent des infections durant leur vie et 8 malades sur 10 subissent une amputation de la jambe. Dans 50 à 60% des cas, l’amputation de la jambe du diabétique conduit à son décès. Selon la même organisation, le diabète est une maladie incurable avec des conséquences lourdes, malgré les recherches incessantes effectuées dans les pays développés. Près de la moitié des décès imputables au diabète surviennent chez des personnes de moins de 70 ans et 55% des personnes qui meurent de la maladie sont des femmes. L’OMS prévoit que les décès dus au diabète vont augmenter de plus de 50% au cours des dix prochaines années si des mesures ne sont pas prises en urgence.

Source L’Expression Naïma Hamidache

Le Pèlerin

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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 23:44

Humour – Balade en forêt

Un type qui souffre d'un grave problème d'haleine (en gros, il donne à ceux qui l'approchent l'impression d'avoir avalé un rat mort) va dans une pharmacie afin d'essayer d'y remédier. La pharmacienne lui vend alors un sirop, senteur pin, dont il doit avaler 3 gouttes tous les jours. Or il se trouve que 2 jours après, il a un rendez-vous galant dans un parc. Le jour dit, afin de mettre toutes les chances de son côté, il décide d'avaler toute la bouteille au lieu des quelques gouttes prescrites. Mais alors qu'il essaie de s'approcher subrepticement de sa compagne afin de "concrétiser" leur rencontre celle-ci s'écrit : "c'est infecte on dirait que quelqu'un a chié derrière les sapins !!!"....

Le Pèlerin

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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 23:33

Autoroute Est-Ouest : la mention « manque de plans », en bas des PV de réception des travaux

Confiée aux groupements chinois CITIC-CRCC et japonais Cojaal en 2006 avec un délai de livraison de 40 mois, la réalisation de l'autoroute Est-Ouest suscite les réserves des techniciens algériens engagés sur le chantier. En cause, la qualité des travaux réalisés sur plusieurs parties du projet. Exemple : Sur le tronçon Centre reliant Alger à Bordj Bou Arreridj, confié aux Chinois, « tous les procès verbaux de réception des travaux se terminent par la mention « manque de plans » », affirme à TSA un expert algérien engagé dans le suivi du projet.

Outre l'absence d'études et de plans, le groupement Citic-Crcc utilise des matériaux non conformes à la réglementation algérienne dans la construction de remblais, notamment sur le tronçon Lakhdaria-El Hamiz, aux portes d'Alger. « L'Agence nationale des autoroutes (ANA) est incapable de lever le doigt. Elle a reçu ordre de ne pas bloquer les travaux quel que soit le motif. Les Chinois reconnaissent la mauvaise qualité des matériaux utilisés dans les remblais et ils ont demandé à l'ANA de les autoriser à ramener un bon matériau trouvé un peu loin du chantier, mais l'ANA a refusé pour ne pas surévaluer le projet avec les frais de transports », ajoute le même expert.
Confié au groupe canadien SNC Lavalin, le contrôle des travaux de cette autoroute se fait également d'une façon aléatoire et complaisante. « Les Chinois sont pressés par Amar Ghoul de terminer les travaux. Ils savent que le seul souci du ministre des Travaux publics est de livrer le projet dans les délais, c'est à dire en 2010. La qualité des travaux devient un élément secondaire», ajoute un autre expert algérien dans les travaux publics.

Les ingénieurs algériens qui travaillent sur ce projet dénoncent l'obsession du ministre des Travaux publics de livrer le projet dans les délais au détriment de la qualité des travaux et de la sécurité des automobilistes. « Le ministre pense que l'autoroute est une plate forme goudronnée, rien de plus. Si les travaux sont de mauvaise qualité, l'Algérie sera obligée de refaire tous les tronçons dans trois à quatre ans après sa mise en service et malheureusement, c'est ce qui va se passer avec cette autoroute », affirme le responsable d'un bureau d'études privé de travaux publics.

Outre la mauvaise qualité des travaux que les automobilistes ont déjà constaté sur les parties livrées du projet, les tronçons ouverts à la circulation ne disposent pas d'aires de repos, de stations-services ou de centres de surveillance. « Une autoroute, ce n'est pas seulement des voies séparées par un terre-plein central, mais surtout un niveau de service de très bonne qualité. Les automobilistes doivent se sentir en sécurité en empruntant l'autoroute et ce n'est pas le cas aujourd'hui en Algérie », déplore le même responsable.

Le très médiatique ministre des Travaux publics Amar Ghoul a encore une fois pris à témoin l'opinion publique, jeudi 27 août, sur la livraison de cette autoroute courant 2010, maintenant la pression sur les entreprises de réalisation alors que le projet connaît d'importants retards et de nombreuses difficultés.

Il a également profité de cette sortie pour ajuster sa stratégie de communication. Amar Ghoul a expliqué aux journalistes que le dossier est scindé en quatre sous-dossiers. Si les délais de réalisation sont fixés à 40 mois, ceux relatifs à son équipement et sa gestion n'ont même pas été fixés «j'ai exposé ce dossier au Président de la République lundi dernier. Son inscription est prévue au titre de la loi de finances 2010», a-t-il explique. Le ministre confirme implicitement que l'autoroute, avec toutes les infrastructures, ne sera pas livrée en 2010.

En effet, le ministre a annoncé que appels d'offres pour l'équipement et la gestion de l'autoroute seront lancés entre septembre et octobre 2009. Or, il faudrait au moins deux ans pour choisir les partenaires et mettre en place les installations de péage, les stations-services et créer des aires de repos, affirment des spécialistes interrogés par TSA. Du coup, l'autoroute ne sera livrée en totalité avant 2013.

Le ministre des Travaux publics a déjà utilisé cette « astuce » de communication sur la deuxième rocade d'Alger de 65 km pour justifier l'énorme retard de deux ans enregistré par le projet. M. Ghoul parle désormais d'une rocade de 200 km en comptabilisant les échangeurs et les bretelles.

Source TSA Ali Idir

Le Pèlerin

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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 23:40

Humour – L’Amour dans le noir

Un petit bonhomme fait un pari avec une femme corpulente, comme quoi il est capable de la faire jouir vingt fois par jour, à condition que ce soit dans le noir et que chaque demi-heure il sorte 2 minutes pour respirer.

La femme accepte, ils se couchent, et vers la 15e fois la femme n'en peut plus et demande d'arrêter, suite de quoi elle allume la lumière. Ce faisant, elle voit un type bien désagréable et mal rasé.

- Qui êtes-vous ??? demande  la femme, affolée, Et où est le petit bonhomme avec des lunettes ???

- Celui qui vend les billets ?

Le Pèlerin

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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 23:38

Sida : le vaccin de l'espoir

Santé. Une équipe de chercheurs thaïlandais et américains vient de dévoiler les résultats prometteurs entamés en 2003.
Vingt-six ans après la découverte du virus du Sida par l'équipe du professeur Luc Montagnier à l'Institut Pasteur, un pas de géant semble avoir été franchi avec la mise au point d'un premier vaccin qui suscite, depuis son annonce hier, l'espoir parmi les quelque 33 millions de personnes dans le monde atteintes par le VIH ou malades du sida. Des chercheurs américains et thaïlandais ont, en effet, mis au point un vaccin - issu de la combinaison de deux vaccins, l'Alvac et l'Aidsvax - capable de réduire de façon significative le risque de contamination par le virus du sida, apr ès des essais portant sur plus de 16 000 personnes.

Ces essais ont été menés depuis octobre 2003 dans deux provinces thaïlandaises, sur des volontaires dont l'exposition au risque de contamination était jugée similaire à la moyenne. « Dans 32,1 % des cas, le vaccin réduit le risque d'infection », indique un communiqué des chercheurs du ministère de la santé thaïlandais et de l'armée américaine. « Ce résultat représente une percée car c'est la première fois qu'il y a une preuve qu'un vaccin contre le virus VIH a une efficacité préventive », ajoute le communiqué. « C'est une avancée scientifique très importante et cela nous donne de l'espoir qu'un vaccin efficace dans le monde entier soit possible à l'avenir », a insisté le colonel de l'armée américaine Jérôme Kim.

Les réactions à cette percée scientifique ont été nombreuses hier. Sanofi-Pasteur - qui produit le vaccin Alvac utilisé pour la primo infection - a estimé qu'il s'agissait là de la « première démonstration concrète » qu'un vaccin contre le VIH « peut un jour devenir une réalité. »

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l'Onusida ont fait part de leur « optimisme » mais avec plus de retenue. « Beaucoup de travail reste à faire » estiment les deux organisations, observant que le vaccin dévoilé hier à « un effet protecteur modeste. » et qu'il ne doit être appréhendé que comme un « outil complémentaire d'autres stratégies visant à changer les comportements » (préservatifs, accès à du matériel d'injection sûr, etc.).

Les associations de lutte contre sida, comme Aides, restent aussi prudentes quant la stratégie vaccinale à long terme, mais le monde entier a bien conscience que ce jeudi restera un jour historique d'espoir.

Les scientifiques retrouvent le moral

Le vaccin aux résultats prometteurs testé en Thaïlande est une combinaison de deux produits testés précédemment mais qui ne s'étaient pas révélés efficaces indépendamment l'un de l'autre. Il s'agit du vaccin Alvac du laboratoire français Sanofi-Aventis, et de l'Aidsvax produit par l'Américain VaxGen, cédé depuis à l'organisation Global Solutions for Infectious Diseases. Les scientifiques doivent maintenant notamment comprendre pourquoi le mélange des deux s'est révélé efficace.

Ce n'est pas la première fois qu'on parle d'un vaccin contre le sida. Une trentaine de vaccins sont actuellement à l'étude. Mais en 2007, les espoirs de voir aboutir des années de recherches avaient été réduits à néant avec les déboires du laboratoire américain Merck. Ce dernier avait lancé des essais cliniques à grande échelle, en particulier en Afrique du Sud, pays comptant le plus grand nombre de séropositifs au monde, mais ils avaient été interrompus après que les injections se furent avérées inefficaces.

Cette fois-ci, l'expérimentation menée par le ministère de la santé thaïlandais et l'armée américaine a concerné 16 400 volontaires, tous séronégatifs, âgés entre 18 et 30 ans et résidant dans deux provinces de Thaïlande particulièrement touchées par le VIH. La moitié d'entre eux a reçu des produits actifs, l'autre moitié des placébos. 51 des 8 179 individus vaccinés ont été contaminés pale virus, contre 74 pour ceux qui n'ont pas été traités.

L'appel de Carla Bruni


Carla Bruni-Sarkozy  a lancé mercredi à New York un appel en faveur des femmes enceintes séropositives, estimant «possible» de doubler, d'ici 18 mois, le nombre de celles qui bénéficient d'un traitement.  Selon la Première dame, qui est Ambassadrice du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, «en 2015, toute transmission du virus de la mère à l'enfant pourrait être éliminée».  Mme Bruni-Sarkozy s'exprimait dans une salle de conférence de l'ONU, en marge de l'Assemblée générale des Nations-Unis. ««Vous êtes les leaders du monde, je ne peux pas me permettre de vous donner de leçon. Mais je voudrais vous dire ceci: écoutez l'appel que nous lançons aujourd'hui avec le Fonds mondial, l'Unicef et l'Onusida. Ce n'est pas un rêve, mais un espoir que vous seuls avez les moyens de rendre réalité.»

Source La dépêche du Midi

Le Pèlerin

 

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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 23:15

Algérie – Histoire - Chroniques oranaises : Quand la peste visita Oran

Deux grands évènements ont marqué l’histoire de cette ville méditerranéenne fondée en 902 par des marins andalous alliés à des tribus locales : la peste de 1557 et le terrible tremblement de 1792, date de référence de la libération d’Oran de l’occupation espagnole par le bey Mohamed El Kebir. Du premier fléau, les chroniqueurs de l’époque en firent de longs récits, que ce soit les soldats de la garnison espagnole ou les voyageurs qui parcouraient le Maghreb…

Hassan Corso, intrépide marin, corsaire de renom, chef militaire hors pair, après s’être reposé quelques jours à Alger, prit la route d’Oran. Il arriva le mois d’août 1556. Le gouverneur d’Oran n’avait pas essayé de l’arrêter. Il se contenta d’empoisonner tous les puits situés sur son chemin et d’envoyer une petite troupe de reconnaissance. Don Gabriel de la Cueva qui la commandait eut une escarmouche avec les combattants turcs, mais se replia aussitôt. Les soldats de Hassan Corso vinrent à la place d’Oran et débarquèrent leur artillerie. Comme toujours, ils s’établirent près des sources qui alimentent la ville, près de Ras El Aïn. Le comte d’Alcaudete, gouverneur d’Oran, ne pouvait les leur abandonner et il envoya des soldats défendre la Tour des Saints qui commandait cette position. Mais ces soldats voulurent non seulement repousser les Turcs, mais les poursuivre. Ils furent alors rejetés en désordre vers la ville et subirent des pertes qui se chiffraient à treize soldats espagnols tués. Durant la nuit, les forces ottomanes établirent sur cet endroit une batterie dirigée contre la Porte de Tlemcen. Une seconde batterie, placée sur la montagne, à l’ouest de la ville, menaçait La Casbah de l’actuel Sidi El Houari.

La canonnade dura plusieurs jours. Mais la population ne parut pas s’en émouvoir et les femmes continuèrent à aller laver leur linge à la rivière qui coulait en bas du Château Neuf. A ce moment se produisit un évènement imprévu : la nouvelle de la mort du dey d’Alger, Salah Raïs. Ce qui détourna le sultan de Constantinople des projets nourris par ce dernier. Selon les historiens et chroniqueurs de l’époque, il craignait peut-être que la victoire de Hassan Corso ne donnât trop de prestige à ce chef ou que les ravages que la flotte espagnole de Doria exerçait en Méditerranée l’obligeraient à rappeler en toute hâte les galères turques qui se trouvaient en rade d’Oran. Quel que fut le motif de cette résolution, elle fut rapidement connue car la galère qui avait rapporté à Constantinople la nouvelle de la mort de Salah Raïs ne mit pas vingt jours à en revenir. Il fallait donc renoncer à l’entreprise. On ne pouvait donner l’assaut.

Le siège d’Oran fut levé. Le rembarquement des pièces de l’artillerie se fit avec tant de précipitation qu’on abandonna une partie du matériel. La flotte reprit la mer et les soldats rentrèrent à Alger par la terre ferme. Cette défense de la ville d’Oran fut célébrée comme une glorieuse victoire par la garnison espagnole… Quelques jours après le siège, une terrible épidémie de peste vint visiter la ville. Comme ce fléau sévissait à Alger au moment du départ des Turcs, il est fort probable qu’ils l’aient apporté avec eux, selon les récits des chroniqueurs de l’époque. Le fléau se propagea surtout en 1557 et fit de nombreuses victimes parmi les femmes et les enfants. La population de la campagne voisine fut aussi très éprouvée. De nos jours, il existe à Oran, sur le flanc du Murdjadjo, dans l’agglomération de Ras El-Aïn le « cimetière des pestiférés », datant de cette période.

Quant aux troupes espagnoles, le gouverneur d’Oran, le comte d’Alcaudéte, les fit camper hors de la ville, changeant chaque jour l’emplacement des tentes. Il avait fait établir sur le flanc de la montagne un hôpital de campagne pour les pestiférés… L’épidémie sévit plus de six mois et, entre autres victimes, elle frappa le sultan de Tlemcen, Moulay Hassan. Lorsqu’elle fut en baisse, mais avant qu’elle ne prenne fin, le comte s’embarqua pour l’Espagne. Il voulait hâter, raconte-t-on, la réalisation de ses vastes projets et, en faisant valoir l’alliance avec le sultan du Maroc, obtenir des forces suffisantes pour combattre les Turcs... Quelques siècles plus tard, les habitants firent ériger la Sainte Vierge de Santa Cruz, qui domine la ville des hauteurs du Murdjadjo, pour les protéger, cette fois-ci, de l’épidémie du choléra, un fléau qui visita la ville à la fin du XVIIIe siècle.
Source El Watan Abdallah Bendenia

Le Pèlerin

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