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  • : Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset
  • : L'Algérie où je suis né, le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942, je ne l'oublierai jamais. J'ai quitté ce pays en 1962 pour n'y retourner que 42 ans plus tard. Midi-Pyrénées m'a accueilli; j'ai mis du temps pour m'en imprégner...mais j'adore
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De Toulouse à Tamanrasset

 

cirque-de-gavarnie.jpg

Le cirque de Gavarnie

L'Algérie, j'y suis né le jour du débarquement des Américains, le 8 novembre 1942. J'ai quitté ce pays merveilleux en 1962, pour n'y retourner qu'en août 2004, soit 42 ans plus tard...
Midi-Pyrénées m'a accueilli. J'ai mis du temps pour m'imprégner de Toulouse mais j'ai de suite été charmé par ce massif montagneux et ses rivières vagabondes que je parcours avec amour...Ah ces chères Pyrénées, que je m'y trouve bien ...! Vous y trouverez de nombreux articles dédiés à cette magnifique région et la capitale de Midi Pyrénées : Toulouse
L'Algérie, j'y suis revenu dix fois depuis; j'ai apprécié la chaleur de l'accueil, un accueil inégalé de par le monde.......L'espérance d'abord ...Une relative désillusion ensuite...Pourquoi alors que le pays a un potentiel énorme...Les gens sont perdus et ne savent pus que faire....Les jeunes n'en parlons pas, ils ne trouvent leur salut que dans la fuite....Est-il bon de dénoncer cela? Ce n'est pas en se taisant que les choses avanceront.
Il y a un décalage énorme entre la pensée du peuple et des amis que je rencontre régulièrement et les propos tenus dans les divers forums qui reprennent généralement les milieux lobbyistes relayant les consignes gouvernementales...
Les piliers de l'Algérie, à savoir, armée, religion et tenants du pouvoir sont un frein au développement de l'Algérie ....Le Pays est en veilleuse....Les gens reçoivent des ….sucettes...Juste le nécessaire... pour que ....rien nez bouge....
Pourtant des individus valeureux il y en a ....Mais pourquoi garder des élites qui pourraient remettre en cause une situation permettant aux tenants des institutions de profiter des immenses ressources de l'Algérie. Le peuple devenu passif n'a plus qu'un seul espoir : Dieu envers qui il se retourne de plus en plus...Dieu et la famille, cette famille qui revêt une importance capitale en Algérie.

Le vent de la réforme n'est pas passé en Algérie tant les citoyens sont sclérosés dans les habitudes et les traditions relevant des siècles passés....La réforme voire la révolution passera....à l'heure d'Internet, on ne peut bâillonner le peuple indéfiniment...Cela prendra du temps mais cela se ferra...
Pour le moment le tiens à saluer tous les amis que j'ai en Algérie et Dieu sait que j'en ai....C'est pour eux que j'écris ces blogs, quand bien même je choisis souvent mes articles dans la presse algérienne....pour ne pas froisser la susceptibilité à fleur de peau de l'Algérien...

Cordialement,
Le Pèlerin

 

 

 

 

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 23:22

Humour – A la pêche aux moules …

M. Dupont rentre d'une journée à la plage et retrouve sa femme à l'hôtel.

- Qu'est-ce que tu as fait, aujourd'hui ? demande-t-elle.

- Je suis allé à la pèche aux moules ... Je suis moulu...

- Vraiment ?... Eh bien demain tu devrais aller à la pèche aux coques !

Le Pèlerin

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 23:13

Les dossiers qui guettent le pouvoir - La question qui occupe le podium de la rumeur est bien celle liée à un éventuel remaniement du gouvernement qui interviendrait dans les semaines à venir.

Le Ramadhan est terminé. Les Algériens reprennent leurs habitudes loin de l’ambiance des soirées ramadhanesques. L’heure est propice pour déterrer des dossiers d’une importance capitale, qui ont été éclipsés par le mois sacré. Les regards seront braqués sur les vrais problèmes qui hantent les Algériens tout au long de l’année. Après la fin de ce mois sacré, les familles sont, certes, soulagées. Les prix des fruits, légumes et viandes vont certainement baisser. Même légèrement, une baisse sensible sera ressentie au lendemain de l’Aïd pour la simple raison d’une moindre demande. Les citoyens n’auront pas, sans doute, des menus variés et riches durant l’année. Loin de la situations des marchés, l’Algérie fera face à ses vrais problèmes. Des dossiers lourds vont ressurgir aussi bien sur le plan politique que sur le plan socio-économique. Sur le plan politique d’abord: la question qui occupe le podium de la rumeur est bien celle liée à un éventuel remaniement du gouvernement qui interviendrait dans les semaines à venir. Des départs, des mutations, des arrivées et même des retours sont annoncés dans le cadre de cette rumeur. Le président de la République serait en train de préparer un lifting radical de son gouvernement. Le départ de Ahmed Ouyahia de la tête du gouvernement alimente les débats. Alors que M.Ouyahia poursuit normalement son travail, ces mêmes rumeurs «assurent» que le Premier ministre compte ses derniers jours au Palais du gouvernement. Le secrétaire général du RND serait appelé à exercer de nouveau une charge diplomatique. Après son passage à l’ambassade d’Algérie au Mali, ce dernier est annoncé comme ambassadeur d’Algérie dans une capitale européenne. En l’absence de communication, c’est la rumeur qui occupe les débats et qui fait l’actualité. D’autres cercles affirment que le président annoncerait un grand changement en procédant à la restructuration de la chefferie du gouvernement. Ainsi, une dizaine de départements ministériels seront supprimés avec la création de superministères. Dans ce nouvel organigramme, le président Abdelaziz Bouteflika songe à faire appel à des ministres technocrates. Selon les coulisses, le chef de l’Etat veut en finir avec les ministres issus des partis politiques. Il s’agit précisément de ceux de l’Alliance présidentielle, à savoir le FLN, le RND et le MSP. Le chef de l’Etat veut donner, à l’occasion de ce remaniement, la place aux compétences. Cette situation poussera certainement les formations politiques à se réveiller de leur éternel sommeil. Depuis le début de l’été, ces dernières sont aux abonnés absents. Pas de déclaration et pas de réaction. La cherté de la vie, la flambée des prix des fruits, légumes et viandes, la rentrée scolaires, l’Aïd sont autant d’événements qui ont laminé les petites bourses sans pour autant enregistrer la moindre réaction de ces partis politiques. On s’attend à ce que la scène politique nationale soit réanimée après l’Aïd. Certes, il n’y a pas de rendez-vous électoral qui se profile à l’horizon, mais les politiques tenteront, certainement, de se réveiller de leur énigmatique torpeur. Les partis de la coalition présidentielle veulent étouffer la rumeur en négociant leur présence au gouvernement espérant décrocher de nouveaux postes ministériels. L’autre événement politique qui réapparaît sur la scène nationale est lié à l’amnistie générale. Me Ksentini, président de Commission nationale de la promotion et de la protection des droits de l’homme, a jeté la semaine passé un pavé dans la mare en plaidant pour la tenue d’un référendum sur cette question en 2010. Au lendemain de cette déclaration, la scène nationale s’est réactivée. Des voix se sont élevées pour lui apporter leur soutien et d’autres pour s’y opposer. Cette question, lourde et sensible, sera au menu de l’actualité politique nationale. C’est un dossier sur lequel l’Algérie et les Algériens vont trancher. Dans un registre purement administratif, le nouveau découpage administratif et les nouveaux Codes communal et de wilaya arrivent en priorité. En stand by depuis plusieurs mois, ces deux sujets animeront le devant de l’actualité. Ils font partie des vraies questions de la rentrée. Sur le plan social, les travailleurs attendent avec impatience les résultats de la prochaine tripartite. A combien sera arrêté le Snmg, (Salaire national minimum garanti)? Ils sont des millions de travailleurs à attendre une réponse à cette question. Le pouvoir d’achat revient sur toutes les lèvres. La classe ouvrière espère et souhaite que cette fois-ci sera la bonne. Cela pour éviter une grogne sociale en cette rentrée. La tension monte déjà entre les travailleurs de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur, de la santé et leurs tutelles. Les syndicats activant dans ses secteurs menacent de mener des mouvements de protestation et des grève pour faire valoir leurs droits. La menace sur le bon déroulement de l’année scolaire et universitaire plane toujours. Maintenant que la «chorba» a été bien savourée, les jours sacrés du Ramadhan sont terminés, il est temps de polariser son attention sur ces dossiers qui attendent la rentrée.

Source l’expression Tahar Fattani

Le Pèlerin

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 23:10

Algérie - Parc national du Djurdjura : Les rapaces menacés de disparition

Le parc national du Djurdjura, réputé pour ses richesses avifaunes, est considéré par les ornithologues comme un milieu biotope de prédilection pour les rapaces qui y sont représentés par 11 espèces réparties sur plus de 18 000 hectares chevauchant sur les wilayas de Tizi Ouzou et de Bouira.
Dans cette réserve naturelle, classée en 1997 comme patrimoine mondial de la biosphère, on trouve la grande famille de vautours formée par le gypaète, le percnoptère, le vautour fauve, le faucon, le milan, la buse, cohabitant harmonieusement avec leurs cousins les aigles (royal, botté et bonelli). Bien que prenant la précaution de vivre loin de l’homme, leur prédateur par excellence, en haut de la montagne où ils vivent et nichent dans des anfractuosités de parois rocheuses inaccessibles, ces rapaces, pourtant protégés par la loi, sont menacés de disparition pour des causes liées principalement aux changements subis par leurs aires de vie et autres facteurs de prédation et de braconnage, selon un constat établi par le responsable du laboratoire d’ornithologie de l’Institut d’agronomie de l’université de Tizi Ouzou. Explicitant la nature de ces menaces, le Pr Boukhamza Mohamed a mis en exergue les modifications subies par la chaîne alimentaire liant les différentes espèces animales, induites notamment par l’usage intensif et à grande échelle de pesticides dans l’agriculture, ce qui aggrave, a-t-il précisé, les risques d’empoisonnement des rapaces, du fait qu’ils occupent le sommet de la pyramide de cette chaîne alimentaire.

La consommation des charognes, consistant généralement en des cadavres d’animaux, est également souvent fatale à ces rapaces, car les bergers ont de plus en plus tendance à empoisonner leurs bêtes mortes qu’ils abandonnent en pleine nature, plutôt que de les enfouir. Ces appâts empoisonnés sont destinés, selon des bergers, à éliminer les chacals et les hyènes, ennemis redoutables des troupeaux d’animaux domestiques. L’existence des vautours et des aigles dépend, selon ce spécialiste, de l’économie pastorale : les troupeaux de moutons et de caprins séjournant dans les montagnes leur fournissent des ressources régulières en bêtes victimes d’accident ou mortes de maladies, ainsi que des déchets d’animaux. Phénomène du temps, il a été constaté ces dernières années, au niveau de villages périphériques du parc national du Djurdjura, que le percnoptère « Isghi » rode régulièrement au niveau des décharges publiques et les dépôts d’immondices, à la recherche de la nourriture, « sans se soucier de la qualité ».

Source El Watan Ghnia Lassal

Le Pèlerin

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 15:07

Revalorisation des retraites et pensions Une augmentation de 5% par an

La revalorisation des pensions et allocations de retraite sont consacrées désormais par un arrêté signé par le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh. Paru au Journal officiel n°50 du 2 septembre 2009, ce texte apporte des précisions au sujet de la revalorisation des pensions et retraites décidée lors du conseil des ministres du 31 août 2008.
En référence à ce nouvel arrêté, les pensions et allocations de retraite de sécurité sociale, prévues par la loi n°83-12 du 2 juillet 1983, sont revalorisées par application d'un taux unique de 5%. Les coefficients d'actualisation applicables aux salaires servant de base de calcul des nouvelles pensions sont fixés selon l'année de référence, stipule l'article 1 du présent arrêté.
Le taux de 5% s'applique au montant mensuel de la pension et allocation de retraite. Il s'ajoute aux indemnités complémentaires, à la majoration exceptionnelle des pensions et retraite, ainsi qu'au seuil minimal de l'allocation de retraite prévu par la loi n°08-21 du 30 décembre 2008.
Le taux de 5% concerne également le montant mensuel de la pension d'invalidité. Les rentes d'accidents du travail ou de maladies professionnelles sont revalorisées selon le taux de 5%. Notons également que le montant de la majoration pour tierce personne attribuée aux titulaires d'une pension d'invalidité, de retraite, d'une rente d'accident du travail ou de maladie professionnelle est également revalorisé de 5%.
Cet arrêté prend effet à compter du 1er mai 2009. Ces décisions devront bénéficier à près de 2 millions de personnes bénéficiant de retraite et d'allocation.
Au mois de juin dernier, le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale avait annoncé que la décision portant revalorisation des pensions de retraite sera signée en août, avec effet rétroactif à partir de mai 2009. Cette mesure vient s'ajouter à toutes les mesures prises par les pouvoirs publics en faveur des retraités et pensionnaires.
Entre autres, les montants des retraites ont été augmentés à 10 000 dinars et les pensionnaires et retraités dont les ressources allant de 12 000 à 20 000 dinars ont été exemptés de l'impôt sur le revenu (IRG).L'augmentation de la majoration pour conjoint à charge a été de 1000 à 1250 dinars pour les titulaires de pensions servies à compter de janvier 2000.

Nouvelles missions pour l'Anem
De nouveaux textes juridiques régissant le domaine de l'emploi et de la sécurité sociale ont été promulgués dans le Journal officiel. Il s'agit d'un décret exécutif n°09-273 du 30 août 2009 fixant les missions, l'organisation et le fonctionnement de l'Agence nationale de l'emploi, ainsi que l'arrêté du 10 mai 2009 portant organisation interne de la caisse nationale des congés payés et du chômage-intempéries des secteurs du bâtiment, des travaux publics et de l'hydraulique.
Le nouveau texte sur l'Anem précise que les directeurs régionaux de l'emploi, les chefs d'agences de wilaya de l'emploi et les chefs d'agences locales de l'emploi sont nommés par arrêté du ministre chargé du travail et de l'emploi, sur proposition du directeur général de l'agence.
Il est mis fin à leurs fonctions dans les mêmes formes. L'expression «le ministre chargé du travail» a été remplacée par celle de «ministre chargé du travail et de l'emploi» dans toutes les dispositions du décret exécutif n° 06-77 du 18 février 2006. S'agissant de la Caisse nationale des congés payés et du chômage intempéries, elle est dotée désormais de toutes les structures nécessaires à son fonctionnement, notamment de structures centrales et régionales réparties sur 12 wilayas du pays.
Source algerie-dz.com Farouk B.

Le Pèlerin

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 23:58

Algérie - Le poids du Ramadhan : Les effets du jeûne sur… nos kilos

Même si pendant le mois sacré de Ramadhan, on doit s’abstenir de boire et de manger du lever au coucher du soleil, l’heure de la rupture du jeûne devient celle de tous les excès culinaires. Résultat : les kilos guettent. Le jeûne est censé purifier le corps mais sa rupture, l’iftar, peut avoir des effets pervers.

Après s’être privés toute la journée, les gens ont tendance à manger en grande quantité le soir et souvent plus sucré et plus gras qu’à l’ordinaire. Ramadhan, c’est le mois de toutes les tentations et de tous les excès. Le mois sacré est loin d’être diététiquement correct !
Ainsi, de nombreux pratiquants avouent prendre quelques grammes, voire des kilos, à chaque Ramadhan. «Je n’ai aucun problème de poids mais tous les ans, c’est la même chose, je prends entre 3 et 5 kilos en un mois», avoue Yasmine, une fille âgée de 24 ans. «Comme je suis plus fatiguée, j’arrête de pratiquer mes séances de sport. En plus, dès la rupture du jeûne, j’ai du mal à résister aux pâtisseries. Je ne mange jamais autant en temps normal», explique-t-elle.
Et si les hommes semblent moins concernés par cette prise de poids impromptue, les femmes, elles, s’en inquiètent un mois avant le début du Ramadhan, comme le montrent les différents articles parus sur le sujet dans la presse féminine maghrébine.
«Comment garder la ligne pendant Ramadhan ?», «Peut-on faire un régime pendant Ramadhan ? »... Les forums de discussions sur Internet ne sont pas en reste : les femmes y échangent leurs recettes pour éviter de déprimer sur la balance. Certaines remplacent la h’rira ou la chorba par des soupes aux légumes sans gras et se contentent de gâteaux allégés ou de yaourt à la place des pâtisseries dégoulinantes de miel ou fourrées de pâte d’amande.
D’autres se calent dès le matin en se préparant des plats de pâtes ou de riz avec une sauce tomate légère. Zahia, 39 ans, Algérienne, vit à Créteil. Elle est mariée et mère de quatre enfants. Elle pèse 75 kg pour 1,55 m et a déjà perdu 7 kilos juste avant le mois sacré. Mais «chaque année, je grossis pendant ce mois sacré. J’adore cuisiner et mes enfants comme mon mari adorent les bons petits plats»
Nombreux sont ceux qui demandent comment gérer cette période particulière. Lorsque l’organisme ne reçoit plus de calories pendant un certain temps, il fait des économies d’énergies et va métaboliser beaucoup plus au repas suivant, il stockera ainsi plus les graisses et les sucres d’autant plus si le repas est riche. Le jeûne est traditionnellement rompu avec des dattes et du lait caillé, des aliments riches. Il est conseillé de conserver l’habitude des trois repas. Il faut manger avant l’aube, ensuite la rupture du jeûne sera considérée comme le déjeuner et le repas pris plus tard dans la nuit sera le dîner. Le plus important est d’arriver à se retenir sur la première prise alimentaire et ne pas céder aux repas gargantuesques. Le Ramadhan est une période déstabilisante pour l’organisme pendant laquelle il n’est peut-être pas possible de perdre du poids, mais il faut tout faire pour ne pas en prendre.

Source Horizons Lamia Baiche

Le Pèlerin

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 23:39

Préparation de la semaine - Tisane pour arrêter de fumer

Vous désirez arrêter de fumer. Une bonne résolution qui va vous faire appréhender la vie différemment et sortir votre corps et votre psychisme des nuages de fumée que vous leur imposiez. Seulement, point de miracle, votre désir doit être profond et vous ne devrez pas vous décourager lorsque vous ressentirez les effets du servage. Tenez bon, rien n’est impossible, pensez à la liberté que vous allez acquérir. Certaines tisanes peuvent vous aider en intervenant sur votre humeur ainsi que sur vos bronches encombrées.
le plantain (plantago major)
Plante vivace poussant dans les chemins, le plantain se distingue par ses feuilles oblongues disposées en rosette, agrémentées de cinq nervures parallèles et par ses épis floraux cylindriques surmontant des tiges de 40 à 50 cm.
Astringent, riche en tanins et en mucilages, il adoucit les muqueuses et les voies respiratoires. Il facilite l’évacuation des sécrétions présentes en excès dans les bronches. Il possède, en outre, la faculté de provoquer un dégoût tenace dès l’inhalation de la fumée de cigarette. Infusion : dans un litre d’eau bouillante, verser 100 g de feuilles hachées. Couvrez et laissez infuser vingt minutes. Filtrez et buvez plusieurs tasses dans la journée (...). Infusion, décoction et macération de valériane, décoction d’avoine, macération de café vert, décoction de ginseng, infusion et décoction de thym... Autant de plantes et de solutions naturelles pour vous aider à lutter contre l’envie de fumer

Source le Soir d’Algérie
Le Pèlerin

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 23:18

Humour – En amour, se méfier des comparaisons

C'est un gars un peu con qui veut faire une petite blague à sa femme. Alors qu'elle est en train de prendre sa douche, il arrive sans bruit derrière elle et lui attrape les seins en disant :

S'ils étaient un peu plus fermes, tu n'aurais pas besoin d'acheter de soutien-gorge...

Le lendemain, une fois de plus il lui fait une blague en arrivant derrière elle et en lui mettant les deux mains sur le cul, puis en disant :

Si elles étaient un peu plus fermes, tu n'aurais pas besoin de mettre une gaine...

La femme ne dit rien mais pense alors à sa revanche...

Le lendemain, comme le mari sort de la douche, sa femme lui attrape la bite et lui dit :

S'il était un peu plus ferme, je n'aurais pas besoin de baiser avec ton frère !

Le Pèlerin

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 14:07

Algérie – France

Rencontre Medelci-Kouchner à New York

Une opportunité de mettre les choses à plat

                                      Bernard Kouchner lors d'un voyage à Alger

Paris a manifesté son souhait de reprendre les discussions politiques avec l’Algérie sur les questions qui fâchent.

Se dirige-t-on vers un apaisement des relations algéro-françaises? Après une période de tensions politiques entre les deux capitales autour de quelques dossiers ayant suscité la polémique, Paris tente de calmer le jeu. En marge de la tenue de la l’Assemblée générale ordinaire de l’ONU dont l’ouverture est prévue en cette fin de semaine à New York, Paris a manifesté son souhait de reprendre les discussions politiques entre les deux pays, en demandant l’organisation d’une rencontre au niveau des chefs de la diplomatie algérienne et française.
A la suite de cette demande, l’Algérie a donné son accord pour une rencontre entre MM.Medelci et Kouchner. Selon des sources diplomatiques, l’Algérie aurait demandé à la partie française d’arrêter au préalable les sujets que Paris souhaite aborder avec les Algériens. La rencontre de New York a été annoncée, rappelle-t-on, la semaine dernière à Tlemcen, par l’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt. La visite envisagée du Président Abdelaziz Bouteflika en France constituerait ainsi l’axe principal des thèmes à discuter entre les deux ministres. Toutefois, cela reste du domaine de la spéculation en l’absence de confirmation officielle à Alger ou à Paris.
Annoncée pour juin 2009, «reportée» ensuite pour cet automne, la visite du chef de l’Etat a été une nouvelle fois décalée. Outre donc la visite du Président Bouteflika, à laquelle la France semble beaucoup tenir, l’autre sujet qui sera sans doute abordé concerne l’affaire Hasseni amplement commentée ces derniers mois.
Il en sera de même de l’affaire des moines de Tibhirine curieusement revenue à la une des médias hexagonaux. Ces sujets sont à l’origine également d’un certain climat de défiance qui caractérise les relations entre les deux capitales. De fait, le «rebondissement» de l’affaire des moines de Tibhirine, assassinés en 1996 par les GIA, a contribué à miner des relations déjà fortement mitigées, devenue affaire d’Etat après les déclarations inattendues et «fracassantes» du président français, Nicolas Sarkozy, qui a demandé la «levée du secret-défense» sur ce dossier.
Le rebondissement dans cette affaire a été perçu par Alger comme une provocation directe de Paris à l’encontre de l’institution militaire algérienne. Paris aura à s’expliquer sur cette question. Selon des informations rapportées par la presse, Bernard Kouchner aura également inscrit la question économique au menu de cette rencontre.
Les dernières mesures prises par le gouvernement algérien, dans le cadre de la loi de finances complémentaire, relatives à l’importation et aux investissements, ont été mal digérées par les opérateurs français qui auraient sollicité l’intervention de leur gouvernement.

Source l’expression Tahar Fattani

Le Pèlerin

 

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 09:55

France - Le procès Clearstream pour les nuls

Ci-dessous, Dominique de Villepin, encadré par ses avocats, le jour de son audition sur l'affaire Clearstream au palais de justice de Paris

Pour tout comprendre alors que le procès s’ouvre ce lundi

Le casting est impressionnant. Le scénario haletant. Les moyens colossaux. Sauf que ce n'est pas une fiction. Le procès Clearstream s'ouvre, ce lundi après-midi, devant le tribunal de grande instance de Paris. Il doit durer un mois.

L'élément déclencheur
Tout débute en 2001 quand un stagiaire, auditeur dans la banque luxembourgeoise Clearstream, décide de balancer une liste de fichiers bancaires au journaliste Denis Robert. Dans son email, il prétend pouvoir démontrer l'existence de comptes occultes. Il ne se doute pas alors que ses fichiers seront trafiqués.

Le scénario
Car toute l'histoire de Clearstream tient en une simple manipulation. Le but : ajouter le nom de personnalités sur les vrais fichiers bancaires afin de faire croire qu'elles possèdent des comptes occultes à l'étranger. Pour cela, un corbeau se charge d'envoyer anonymement les fichiers truqués à un juge d'instruction. C'est donc au titre de la «dénonciation calomnieuse» que les principaux protagonistes de cette affaire sont attendus à la barre.

Les acteurs
En dehors des cinq prévenus accusés de cette manoeuvre, l'affaire Clearstream concerne aussi dix-huit témoins et quarante parties civiles dont les noms ont été ajoutés aux fichiers. Outre Nicolas Sarkozy, on trouve Charles Pasqua, Brice Hortefeux, Alain Minc ou encore Edwy Plenel. Egalement présentes sur le listing bidonné, des personnalités plus improbables, comme Laetitia Casta ou Alizée, ont renoncé à se porter partie civile.
Les enjeux
Le tribunal dispose d'un mois pour démêler le vrai du faux dans les quarante tomes de procédure judiciaire. Se posant en victime, Nicolas Sarkozy attend que les coupables soient «pendus à un croc de boucher». Dans le box des accusés, Dominique de Villepin tentera, lui, de démontrer qu'il n'a rien à voir dans cette histoire. Condition sine qua non pour réussir son come-back en politique

Source 20minutes.fr

Le Pèlerin

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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 23:40

Algérie - L'ennemi intérieur

«De la femme vient la lumière» - (Aragon)

La haine de soi, de ses compatriotes de son pays est devenue constitutive à part entière du caractère de l'Algérien lambda. Elle est arborée, déclinée comme un challenge à relever contre les autres. Cette haine est servie, accompagnée, armée par une violence multiforme. Au stade, la violence des uns doit être plus forte, plus destructrice que celle des supporters du club adversaire du jour. Et comme tous les autres clubs seront eux aussi, à tour de rôle, les adversaires d'un jour. Adversaires ? En politique, sur la route, à la poste (non climatisée, trop exiguë, malodorante) au marché, pour une place au parking (il en faudrait un sous terre par quartier et dans les cités) à la mairie, il n'y a pas d'adversaires, il n'y a que des ennemis qu'il faut prendre de vitesse, humilier, insulter et arriver avant eux, partout et toujours.

 De brillants sociologues, urbanistes, psychologues, architectes éducateurs sont sur le front depuis toujours. Par leur connaissance du terroir, des compatriotes, de l'environnement méditerranéen, ils analysent, écrivent, publient, alertent et proposent. En fait, ils prêchent dans le désert et, avec le temps, l'indifférence, sinon le silence méprisant des gouvernants, l'inculture et l'incompétence crasses des partis, eux-mêmes baissent les bras, rentrent dans les rangs de l'uniforme, du parti unique à plusieurs têtes et observent la mutation à grande vitesse des bâtiments, des quartiers, des villes, des gens. L'Algérie vit la grande tentation de la barbarie, des pulsions contradictoires mais toutes violentes, nihilistes, destructrices. Les institutions et l'Etat sont perçus comme des corps étranges et étrangers, des greffes qui ne prennent pas. Sous l'impulsion et la pression rampante, chaque jour, partout, des partis et sectes islamistes, l'Algérien est devenu allergique à l'ordre, à l'autorité, au propre, au beau, à la différence, à la femme (sauf pour ses besoins bestiaux et pour faire des enfants), aux autres peuples. Il déteste l'humanité entière qui est, selon lui, à l'image de chaque autorité algérienne, de chaque administration locale, de chaque ayant oligations, qui sont loin de ses soucis, de ses tragédies et souffrances.
Les îlots chargés d'humanisme, les fonctionnaires, les médecins, les éboueurs qui font avec conscience leur travail dans des conditions plus pénibles que dans d'autres pays deviennent invisibles et inaudibles. Comme la mauvaise monnaie chasse la bonne, le citoyen ne perçoit plus qu'une Algérie brouillée, agressive, sale, barbue et méchante. Devenue à son image ou comme il a conscience de lui-même, il faut donc la punir, la quitter, l'agresser et la rendre aussi laide que lui, que son quartier, son bâtiment, sa rue et sa cité. Pour se défouler, déverser une sexualité bridée, vivre un chômage humiliant, attendre un virtuel logement sachant qu'une voiture ou un voyage à l'étranger lui sont définitivement interdits, le jeune et le moins jeune ont une quantité de cibles désignées, des espaces propices et surtout le maillon faible ou désigné comme tel par d'apprentis clowns déguisés en imams, ou par des partis nains gonflés à l'hélium officiel et à la subvention discrétionnaire. Le maillon faible, validé par une très longue pratique sexiste et cautionné par des hybrides de discours religieux hallucinés, est toujours, encore et encore, la femme. Celle-ci n'atteint un seuil toléré de respectabilité qu'une fois vieille, édentée, malade. En un mot, lorsqu'elle n'a plus de «capacité de nuisance» : séductrice, tentatrice, jolie, belle... Une femme bien est une grand-mère au seuil de la mort. Et encore !
En vrac, en gros et dans la revente au détail, beaucoup d'Algériens se donnent la mission salvatrice de faire du mal, beaucoup de mal, tout d'abord à ce qui touche de près ou de loin à l'Etat, à l'autorité, aux structures plus ou moins organisées. Les compétences et l'expertise algériennes ne sont ni écoutées ni entendues par les partis, les ministres, les walis, les «élus» et encore moins par les véritables décideurs. A l'intérieur de ces derniers, leur crédibilité est battue en brèche par eux-mêmes et par leurs collègues. Au nom de quelle logique, de quelle raison scientifique, le ministère du clergé musulman local est-il plus légitime, plus compétent et surtout, plus responsable (en cas d'épidémie ramenée de la Mecque) que celui de la Santé ? Celui-ci a, logiquement, l'autorité la compétence pour dire que le principe de précaution est supérieur sachant la grippe que connaît le monde, les cas avérés en Algérie (vus à la baisse bien entendu) et les dispositions prises par d'autres gouvernements de pays aussi musulmans sinon plus que notre chargé. Le principe de précaution existe-t-il oui ou non dans les trois principales religions ? Est-il opposable à une religion ? Dans le cas de la grippe porcine, il s'avère que la décision de laisser des citoyens aller à le Mecque peut s'avérer, à Dieu ne plaise, très dangereux au final. Donc, le clergé local n'aime pas les Algériens, ne les protège pas d'un risque pourtant bien réel. Ce manque de courage est-il respectable et ses auteurs méritent-ils d'être écoutés ?
Les violences qui s'expriment chaque jour au marché, sur les routes, dans les administrations, au stade, dans les quartiers n'ont nullement besoin d'un nouveau renfort. Ce dernier peut être ce fameux virus que des pèlerins vont s'échanger allègrement au moment où, des pays développés déroulent des campagnes de prévention, simulent des scénarii et préparent des vaccins. Simple principe de précaution qu'aucune prière ne saurait remplacer. Mais, lorsqu'il il n'y a pas d'amour, de compassion, de respect entre le sommet et la base, aucune précaution ne tient la route, et dès lors que l'ennemi est intérieur.
Source Le Quotidien d’Oran Abdou B.  

Le Pèlerin

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